GameStick — Wikipédia

GameStick

Fabricant
Type
Génération

Date de sortie
Fin de production
Système d'exploitation
Processeur
Amlogic 8726-MX
Processeur graphique
Mali-400 MP (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Média
Contrôleurs

La GameStick est une microconsole en projet, qui sera produite par PlayJam (en), apparue pour la première fois le 2 janvier 2013 sur internet, sur le site kickstarter. Son lancement a été encore reporté, pour un prix de 79 $, soit environ 60  pour les personnes ayant contribué au financement Kickstarter, le prix public est situé aux alentours de 100 dollars pour sa sortie. Le prix n'est pas officiel pour le moment. Comme sa « concurrente » la Ouya, elle sera basée sur des jeux de type téléchargeable via une connexion Wi-Fi. Elle sera également compatible avec les appareils mobiles iOS et Android, qui pourront être utilisés comme périphériques de la console via Bluetooth.

Histoire[modifier | modifier le code]

Développement[modifier | modifier le code]

Le 2 janvier 2013, PlayJam lance son projet sur Kickstarter, plate-forme sur laquelle la société souhaite récolter 100 000 $ nécessaires au financement. Vingt-quatre heures plus tard, le montant réuni dépasse 140 000 $[1]. Le 8 janvier 2013, une annonce fait part de la possibilité d'utiliser des appareils mobiles tournant sous iOS ou Android comme manettes pour la console[2]. Le 9 janvier, PlayJam annonce diverses variantes de développement des équipements en fonction des sommes collectées[3] : s'il dépasse les 320 000 $, la manette sera disponible en noir. Au-delà d'un seuil de 450 000 $, la manette sera disponible en rouge, en plus d'une troisième couleur qui sera à déterminer par un vote sur Facebook[4][source insuffisante]. Et pour 560 000 $, la console sera équipée d'un port Micro SD, pouvant supporter une carte de 32 Gio. Deux jours plus tard, les 320 000 $ sont atteints[5]. 450 000 $ sont réunis le 22 janvier. PlayJam ayant entre-temps revu à la baisse ses seuils proposera donc l'ajout du port Micro SD[6]. Le 29 janvier, PlayJam dévoile le design final de la console[7],[8], et le lendemain, à deux jours de la fin du financement du projet, le seuil des 560 000 $ est finalement dépassé. Le montant final de la campagne s'élève à 647 658 $. Le 28 mars 2013, Anthony Johnson, responsable marketing de PlayJam, annonce que la console doit sortir fin juin à un prix de 79 £ en Angleterre (soit environ 90 ), et serait surtout tournée vers le casual gaming[9]. Le 18 juin, la date de sortie est encore repoussée au mois d’août[10]. Le 16 août 2013, le fabricant annonce que la production commencera dans le mois après les essais concluants des prototypes, et que les premières consoles arriveront chez les détaillants au milieu du mois de septembre[11].

La console[modifier | modifier le code]

Design[modifier | modifier le code]

La console en elle-même fait la taille d'une clé USB (qui se branche sur le port HDMI de la télévision), qui peut s'emboîter dans la manette pour être emmenée partout. Elle sera disponible en coloris blanc, noir, rouge et en une couleur « special Kickstarter edition » (noir et vert) votée sur Facebook.

Spécifications techniques[modifier | modifier le code]

Les caractéristiques techniques de la console[réf. nécessaire] :

Accessoires[modifier | modifier le code]

La manette du GameStick est très classique, avec deux sticks analogiques, une croix directionnelle, quatre boutons d'action, trois boutons d'action et deux gâchettes. Le bouton d'allumage de la console est cependant situé sur la manette, et elle dispose d'un LED qui indique son niveau de batterie ou le mode de jeu (souris/clavier/manette)[réf. nécessaire].

Le 18 janvier 2013, PlayJam annonce qu'un périphérique pour la console, le Dock GameStick[12], sera disponible au lancement de la console. Il sera équipé d'un port Ethernet, Micro SD (possibilité d'avoir 64 Gio de mémoire supplémentaire) et de 3 ports USB et HDMI. Il sera ainsi possible de le connecter à plusieurs accessoires : micro, clavier, souris, caméras… Il permettra aussi de recharger la manette juste en la posant sur le périphérique[réf. nécessaire].

Jeux[modifier | modifier le code]

Bien que ne donnant pas de noms de jeux précis, PlayJam a identifié 200 titres Android qui seraient idéalement adaptables à la GameStick. PlayJam travaille avec plus de 250 développeurs, y compris des studios tels que Madfinger Games, Hutch, Disney pour « vous apporter le meilleur line-up, (« to bring you the better line-up »). Le coût moyen d'un jeu sur GameStick sera de quelques dollars »[réf. nécessaire].

Parmi les jeux sortant sur la console à son lancement, on trouve Shadowgun, Smash Cops, Another World, Vector, Aftermath[Lequel ?], Boulder Dash, Raiden Legacy, Hungry Shark[13].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « La console GameStick déjà financée », sur jeuxvideo.com, .
  2. (en) kickstarter, « GameStick demo showing support for iOS / Android mobile devices », .
  3. (en) « Variantes ».
  4. « Troisième couleur »
  5. (en) « Stretch #1 Reached! », sur kickstater.com, .
  6. « Somme réunie ».
  7. « GameStick, un design finalisé et de nouvelles caractéristiques en vues », sur frandroid.com.
  8. « Annonce officielle du design final ».
  9. « Nouvelle console GameStick : premières impressions », sur jeuxvideo.com, .
  10. « Update #32 », sur kickstarter.com, .
  11. « Update #40 », sur kickstarter.com, .
  12. « Périphérique ».
  13. « Jeux sortie sur la console a son lancement », sur gamestick.tv

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles externes[modifier | modifier le code]