Lennon (Finistère) — Wikipédia

Lennon
Lennon (Finistère)
Mairie-poste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Châteaulin
Intercommunalité Communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay
Maire
Mandat
Jean-Luc Vigouroux
2020-2026
Code postal 29190
Code commune 29123
Démographie
Gentilé Lennonnais
Population
municipale
789 hab. (2021 en diminution de 3,55 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Population
agglomération
6 685 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 30″ nord, 3° 53′ 52″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 151 m
Superficie 22,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pleyben - Châteaulin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briec
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lennon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lennon
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Voir sur la carte topographique du Finistère
Lennon
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Lennon

Lennon [lɛnɔ̃] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de la commune de Lennon (Finistère) et des communes avoisinantes.

Situation, relief et hydrologie[modifier | modifier le code]

Lennon est sise dans le centre du département du Finistère, entre les monts d'Arrée, plus au nord, et les montagnes Noires, au sud. Le finage communal est délimité au sud par l'Aulne canalisé (canal de Nantes à Brest), à l'est par le Ster Goanez, affluent de rive droite de l'Aulne, à l'ouest par un autre affluent de rive droite de l'Aulne qui conflue avec celui-ci au niveau du pont de Ty Men. Le territoire communal, globalement en pente vers le sud, est compris entre 152 mètres (dans le nord-ouest du finage communal, au sud du hameau de Chelvest) et 29 mètres d'altitude (dans la vallée de l'Aulne, au niveau du pont de Ty Men) ; le bourg, situé sur le plateau, est vers 125 mètres d'altitude.

La commune présente un aspect de bocage avec un habitat rural dispersé entre de nombreux hameaux et fermes isolées.

Transports[modifier | modifier le code]

Le canal de Nantes à Brest n'est plus navigable et l'ancienne voie ferrée à voie étroite du Réseau breton allant de Carhaix à Châteaulin, ouverte en 1904 et fermée en n'existe plus (Lennon possédait une gare, située au nord du hameau de Ty Blaise) ; la commune est traversée par la route nationale 164, aménagée en voie express, allant de Châteaulin à Montauban-de-Bretagne, en direction de Rennes, la commune étant desservie par l'échangeur de Ty Blaise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 146 mm, avec 15,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Ségal à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 126,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lennon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,1 %), prairies (4,6 %), forêts (4,5 %), zones urbanisées (2,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Étymologie et origines[modifier | modifier le code]

En breton lenn signifie « étang ». Selon Joseph Loth, le nom proviendrait peut-être de saint Nonna, mais plutôt de sainte Nonne, deux saints souvent confondus et tous les deux honorés en plusieurs endroits du Finistère (sainte Nonne est aussi honorée par exemple à Dirinon et un lieu-dit "Lannon" existe à Bannalec)[14]. Une autre hypothèse, émise entre autres par Taldir Jaffrennou, avance l'idée que le mot "Lennon" proviendrait du breton lan qui signifie « petit monastère » ou « ermitage ».

Le nom de la paroisse s'écrivait Lemnon en 1217, Lennon dès 1330[15].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Une stèle gauloise en grès, datant de l'Âge du fer, a été trouvée à Kergoniou et représente une divinité à deux têtes adossées, peut-être symbolisant la vie et la mort. Elle se trouve au « Musée départemental breton » de Quimper.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le blason de Claude Mahé, seigneur de Kermorvan en Lennon.

Lennon est issu du démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Pleyben. La paroisse dépendait de la châtellenie de Châteaulin et de l'évêché de Cornouaille[15].

Une motte féodale est encore visible à l'est du hameau de Kérezec.

Claude Mahé, écuyer, seigneur de Quermorvan [Kermorvan], de Kerovant, de Pradenou, de Berdouaré, etc. est confirmé par lettres patentes du roi de France dans ses titres de noblesse en [16].

Les recteurs de Lennon sont connus depuis 1366, année où Jean an Bolaës, de Pont-Croix, cède sa cure à Guillaume Kaër, de Quimper. Le livre d'Yves Chaussy, moine bénédictin à la cure de Lennon, Une paroisse bretonne Lennon, publié en 1953, fournit la liste de tous les prêtres connus de Lennon depuis le Moyen Âge[17].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Lennon (Finistère) : le reliquaire de Saint-Maudez (daté de 1567, en argent).

En 1593, pendant les guerres de la Ligue, des paysans de Landeleau, de Cléden, de Spézet, de Loqueffret, de Lennon et de plusieurs autres bourgs participèrent au siège du château du Granec en Landeleau alors tenu par le brigand Guy Éder de la Fontenelle, qui en tua environ huit cents[18].

Selon Yves Chaussy, en septembre et octobre 1741, une épidémie de dysenterie provoque de nombreux décès à Lennon (52 décès sont enregistrés pendant ces deux mois). L'épidémie de fièvre typhoïde propagée depuis Brest par l'escadre du comte de la Motte provoque en 1758 70 décès à Lennon, mais c'est une épidémie de nature non précisée survenue en 1786 qui provoqua le plus de décès (12 décès enregistrés dans la paroisse cette année-là)[17].

Tout au long du XVIIIe siècle, la famille de La Sauldraye[19], seigneurs de Kergoniou tentèrent d'imposer leur droit de prééminence qui leur était contesté[15]. Jean-Baptiste Ogée a décrit ainsi Lennon à la fin du XVIIIe siècle :

« Son territoire, plein de vallons et de montagnes, renferme des terres labourables, des prairies, des terres incultes et stériles, et des landes, dont on pourrait cependant tirer un parti avantageux si on les cultivait[20]. »

Selon Louis Charpentier, dans une monographie intitulée "De Funnay à Ty Mur. Mémorable aventure d'Escailleurs ardennais qui s'en furent au pays d'Armor, exploiter les pierres d'ardoises", vers 1777 des Ardennais, venant principalement de la région de Fumay, vinrent trouver du travail dans les ardoisières de la vallée de l'Aulne, apportant avec eux l'art de mieux tailler l'ardoise. Dans l'impossibilité de trouver leur lieu réel d'origine, P.-A. Limon les surnomme "Parisiens" dans son livre "Usages et règlements locaux en vigueur dans le Finistère" publié en 1857, et les ardoises bretonnes furent surnommées "parisiennes". Cette immigration concerna principalement les communes de Port-Launay, Châteaulin, Lopérec, Saint-Coulitz, Pleyben, Lothey, Gouézec, Lennon, Spézet, Motreff, Châteauneuf-du-Faou et Saint-Goazec. Les noms de famille se sont transformés au fil du temps : les Waslet sont devenus Voachelet, Les Lefèvre sont devenus Lefeuvre, les Bouchy Bouché, etc[21]..

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1843, A. Marteville et Pierre Varin, continuateurs d'Ogée, recensent, pour une superficie totale communale de 2 277 ha, 1 182 ha de terres labourables, 164 ha de prés et pâtures, 37 ha de bois, 104 ha de vergers et jardins, 648 ha de landes et incultes. La commune possède alors, outre l'église paroissiale, trois chapelles (celle de Kernac'hguen dans la partie sud de la commune ; celle de Sainte-Barbe, dans sa partie nord-ouest ; celle de Saint-Nicolas, tout près du canal de Nantes à Brest) et six moulins à eau (dont ceux de Sainte-Barbe, Kerivin, Botdoa et Kergoniou). Les auteurs ajoutent : « L'agriculture est peu florissante dans cette commune, où l'on connaît à peine les prairies artificielles ; l'avoine cependant est l'objet d'un assez fort commerce, on en exporte pas moins de 15 à 20 000 hectolitres par an. On fait quelques élèves [élevages] de chevaux ; malheureusement les cultivateurs préfèrent encore les étalons du pays à ceux des haras »[22].

En 1861, le Conseil général du Finistère accorde une subvention de 5 000 francs à la commune de Lennon pour la reconstruction de son église paroissiale et une autre subvention de 2 500 francs en 1872 pour la reconstruction de son presbytère[23]. Le même Conseil général refuse en 1872 la création, demandée par le Conseil municipal, d'une foire à Lennon car « la multiplicité des foires détourne les cultivateurs de leurs travaux » et que « la commune de Lennon se trouve à proximité de celles de Châteauneuf, de Pleyben, de Brasparts, qui possèdent des foires et marchés, où les cultivateurs de Lennon trouvent de faciles débouchés »[24].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Lennon[25] porte les noms de 108 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Jean Gendron[26], caporal clairon au 118e régiment d'infanterie, décédé le des suites de ses blessures à l'hôpital temporaire no 5 d'Amiens (Somme) fut décoré à titre posthume de la Croix de guerre avec étoile de bronze. Huit soldats sont morts sur le sol belge, dont six en 1914 lors de la Course à la mer et les deux autres en 1918 ; deux soldats membres de l'Armée française d'Orient sont morts dans les Balkans, l'un, Yves Miossec[27], décédé en Turquie, et l'autre, Yves Gendron[28], en Macédoine ; un marin, Jean Motreff[29] est mort en mer ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français. Un soldat, Guillaume Ollivier[30] est mort aussi au Maroc en 1914.

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Des jeunes paysans finistériens, notamment 6 familles de Lennon, émigrent pendant la décennie 1920 en direction du Périgord et du sud-ouest de la France ; certains s'installent dans le Périgord, notamment dans le canton de Seyches et dans la région de Monflanquin[31].

L'« auberge rouge » de Ty-Men[modifier | modifier le code]

En 1938 a lieu aux assises du Finistère à Quimper le procès dit de l'« auberge rouge » qui défraya la chronique en son temps : à la suite de la découverte de deux corps, l'un, celui de Jean-Louis Goïc, ouvrier agricole demeurant à Kerisit en Pleyben, le dans le canal de Nantes à Brest à 500 m en amont de l'écluse de Rosvéguen en Lennon, l'autre celui d'un inconnu semblant d'origine asiatique et surnommé le « marchand chinois » car il était marchand ambulant. Trois hommes dont deux originaires de Lennon (le troisième de Châteauneuf-du-Faou) sont accusés de ces meurtres. Selon une version, ces crimes auraient eu lieu dans l'auberge de Ty-men en pleyben, d'où le nom donné à l'affaire. La rumeur publique attribua aux accusés d'autres disparitions survenues dans la région dans la quinzaine d'années précédentes[32]. Les deux accusés principaux furent condamnés aux travaux forcés l'un Joseph-Marie Créteau à perpétuité, l'autre Jean Cadiou à vingt ans et le troisième Jérôme Maudire à 5 ans de réclusion[33].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Lennon porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles, un marin, François Le Saux[34], est mort en mer[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1824 1831 Guillaume Picard    
1832 1848 René Le Menn    
1848 1855 Laurent Derrien fils    
1855 1869 Laurent Le Menn    
1870 1871 Mathias Derrien    
1871 1876 François Chaussy    
1876 1877 Joseph Caro    
1881 1900 Yves Berthélémé Monarchiste Conseiller d'arrondissement (1886 → 1892)
1900 1917 Jean-Michel Berthélémé    
décembre 1919 mai 1935 Jean-Louis Henry URD Agriculteur et apiculteur
Président du Syndicat apicole de Bretagne
Député du Finistère (1924 → 1928)
mai 1935 après 1938 Pierre Paugam    
Les données manquantes sont à compléter.
1947 mars 1977 Yves Hamon MRP puis CD Exploitant agricole
Sénateur du Finistère (1959 → 1971)
Conseiller général de Pleyben (1955 → 1973)
mars 1977 mars 1989 René Le Page[36]
(1919-1996)
  Agriculteur
mars 1989 mars 2001 Jean-Joseph « Jo » Furic
(1929-2021)
  Aviculteur
mars 2001 En cours Jean-Luc Vigouroux DVD Agent technique
Réélu pour le mandat 2020-2026

Lennon a fait partie dès 1790 du département du Finistère, du district de Châteaulin devenu arrondissement en 1801 et du canton de Pleiben devenu Pleyben en 1801.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2041 3071 1471 2191 2291 3541 3951 5081 502
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4501 4561 5121 5681 6671 6551 7231 7591 816
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8411 7631 7561 5601 4271 4181 3541 3831 087
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 042922770652646645738751822
2017 2021 - - - - - - -
788789-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

Monuments et sites[modifier | modifier le code]

  • La maison éclusière de Rosvéguen, où vécut un temps dans son enfance le peintre Jules Noël, présente l'histoire de la partie finistérienne du canal de Nantes à Brest.
  • Le chaland Victor, dernier vestige de la batellerie ayant navigué sur le canal de Nantes à Brest, visible au pont de Ti-Men, à la limite des communes de Pleyben, Gouézec et Lennon.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Lennon et Saint-Ségal », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Segal S A » (commune de Saint-Ségal) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Segal S A » (commune de Saint-Ségal) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Joseph Loth, Les noms de saints bretons, "Revue celtique", 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6473212x/f164.image.r=Lennon.langFR
  15. a b et c « Lennon : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Pleyben) », sur infobretagne.com (consulté le ).
  16. Georges Le Gentil, comte de Rosmorduc, "La noblesse de Bretagne devant la chambre de la réformation, 1668-1671 : arrêts de maintenue de noblesse", tome 3, 1896, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5586686v/f552.image.r=Lennon.langFR
  17. a et b Dom Yves Chaussy, "Une paroisse bretonne Lennon", Librairie Saint-Corentin, Quimper, 1953
  18. Chanoine Jean Moreau, "Histoire de ce qui s'est passé en Bretagne durant les guerres de la Ligue en Bretagne", consultablehttps://books.google.fr/books?id=5bsaAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=Landeleau+histoire&source=bl&ots=BihIjQA9DA&sig=AWIpHydgqFXFNb0bTm50wTbz4CY&hl=fr&ei=bb-RTK6fF9jPjAf6tvSbBQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4&ved=0CB0Q6AEwAziEAg#v=onepage&q=Landeleau&f=false
  19. Par exemple Joachim-Jérôme de La Sauldraye (1672-1754), seigneur de Brigné et de Kergoniou, voir http://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr;p=joachim+jerome;n=de+la+sauldraye
  20. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", Nantes, 1778-1780
  21. « Les escailleurs ardennais au pays d'Arvor », Journal L'Ouest-Éclair,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Jean Ogée, A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", consultable https://books.google.fr/books?id=DI8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ei=-GiOVMD8JMrUasHBgbgG&ved=0CEIQ6AEwBQ#v=onepage&q=Lennon&f=false
  23. "Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère", 1861, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562885b/f112.image.r=Lennon.langFR et août 1872, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55646502/f370.image.r=Lennon.langFR
  24. "Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère", août 1872, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55646502/f372.image.r=Lennon.langFR
  25. a et b Memorialgenweb.org - Lennon : monument aux morts
  26. Jean Gendron, né le à Gouézec
  27. Yves Miossec, né le à Lennon, marsouin au 57e régiment d'infanterie coloniale, disparu le à Seddhul-Bahr (Turquie)
  28. Yves Gendron, né le à Lennon, canonnier servant au 21e régiment d'artillerie coloniale, mort de maladie le à l'hôpital de Prilep (Macédoine)
  29. Jean Motreff, né le à Pleyben, marsouin au 3e régiment d'infanterie coloniale, mort le à bord du Provence
  30. Guillaume Ollivier, né le à Lennon, marsouin au 9e régiment d'infanterie coloniale du Maroc, mort de maladie le à Casablanca (Maroc)
  31. Sylvain Le Bail, Cœurs de Breizh. Aux Bretons d'ici et d'ailleurs, Les oiseaux de papier, 2009, (ISBN 2916359311).
  32. Journal L'Humanité, n° 14275, 18 janvier 1938, Gallica
  33. Journal L'Humanité, n°14278, 21 janvier 1938, Gallica
  34. François Le Saux, né le à Lennon, matelot mécanicien à bord du contre-torpilleur Jaguar coulé au large de Dunkerque le .
  35. [PDF] Maires - Lennon, sur archives.finistere.fr
  36. « Nécrologie : M. René Le Page ancien maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Église paroissiale de la Sainte-Trinité (Lennon) - Inventaire Général du Patrimoine Culturel », sur patrimoine.region-bretagne.fr (consulté le )
  40. http://fr.topic-topos.com/chapelle-sainte-barbe-lennon et https://www.fondation-patrimoine.org/fr/bretagne-6/tous-les-projets-335/detail-chapelle-saint-barbe-a-lennon-3561
  41. Notice no PA00090067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. http://fr.topic-topos.com/chapelle-saint-maudez-lennon
  43. http://fr.topic-topos.com/chapelle-saint-nicolas-lennon

Liens externes[modifier | modifier le code]