Liste des maires de Nice — Wikipédia

Maire de Nice
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Armoiries de Nice

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Titulaire actuel
Christian Estrosi
depuis le

Création
Mandant Suffrage universel
Durée du mandat 6 ans
Résidence officielle Hôtel de ville de Nice
Site internet nice.fr
L'hôtel de ville de Nice.

Liste des maires de Nice de 1792 à nos jours :

Ancien régime[modifier | modifier le code]

Au Xe siècle, Guillaume le Libérateur après avoir vaincu les Maures à la bataille de Tourtour, distribue les terres reconquises terra nullius à ses compagnons d'armes et vassaux. La région niçoise revient à Annon puis par ses descendants la famille de Nice-Orange qui prennent le titre de Vicomte de Nice. À partir de 1108, la ville cherche à se détacher de son régime féodal et se dote vers 1144 d'un consulat[1] :

XIIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Guillaume d'Orange - Raimbaud - Laugieri (Laugier?) - Guillaume Assalit[N 1],[2] (1109)
  • Guillaume Badat[3] (1144)
  • Paul Raimbaud – Raimond Serena – Guillaume Ricard (1146 (I))
  • Raimond de Fréjus – Pierre Bernard – Guillaume Chabaud (1146 (II))
  • Pierre Raimbaud – Pierre Bermond – Pierre Audebrand – Raimond Serena (vers 1147)
  • Raimond Ausan – Raimond Astenc – Raimond Raimbaud – Pierre Ricard (vers 1150 )
  • Guillaume Raimbaud – Bernard – Guillaume Roux – Olivier Mairona (1151)
  • Raimond Serena – Foulque Badat – Francon Raimbaud – Foulque Ugoleni (1152)
  • Raimbaud judex – Pierre Raimbaud – Francon Raimbaud – Pons Gisbern (1156)
  • Foulque Badat – Pierre Ricard – Pierre Audebrand – Guillaume Roux[4] (1157)
  • Guillaume Raimbaud – Pierre Ricard – Bernard Ausan – Pierre Ermenaldi (1159)
  • Fulcon Badat[3] - ? - ? - ? (1160)
  • Raimond Serena – Guillaume Travaca – Guillaume Riquier – Foulque Badat (1164)
  • Foulque Astenc – Pierre Ricard – Bertrand Chabaud – Guigue Ricard (1164)
  • Pierre Riquier – Bertrand Badat (1176)[5]
  • Raimond Raimbaud – Raimond Chabaud – Pierre Badat – Bertrand Ricard (1177)
  • Pierre Ricard – Guigue Ricard – Foulque Bernard[N 2] (1184)
  • Pierre Riquier – Pierre Badat – Pierre Meriaut – Caras – Bertrand Badat – Guillaume Raimbaud (1189)
  • Guillaume Mil[on] – Etienne Badat – Raimond Audebrand – Obert Guiraud (1193)

XIIIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Guillaume Rai[m]baud – Milon Badat – Etienne Badat – Guillaume Bermond (1205)
  • Milon (ou Miro[n][6]) Badat – Guillaume Bermond – Pierre Chabaud – Rostang Guillaume[6] (1210)
  • Milon (ou Miro[n][6]) Badat[3] - ? - ? - ? (1215)
  • Fulcon Badat[3] - ? - ? - ? (1227)
  • Milon (ou Miron) Badat[6] - Foulque Badat – Raimond Audebrand (1229)
  • Eugène Badat[3] - ? - ? - ? (1246)
  • Raymond Riquier (consul de Nice? Ou de Sisteron?)[7] - ? - ? - ? (1286)
  • Guillaume Peleti[8] - ? - ? - ? (1288)

XIVe siècle[modifier | modifier le code]

  • ? - François Badat[3] - ? - ? (1305)
  • Pons Pauli[9] (ou Poli)[10] - ? - ? - ? (1306)
  • Raymond de Blacas[11] - ? - ? - ? (1341)
  • Jacques Galliani[12],[13] - ? - ? - ? (1351)
  • Jacques Galliani[12],[13] - ? - ? - ? (1357)
  • Raymond Blac(c)as (d'Eze/d'Eza) - Jacques Gal(l)ean - Raymond Marquesan (ou Marchésan) - Marin Cairasco (ou Marius de Chiérasque) (Fin 1357? 1358?)[14],[15],[16]
  • Raymond de Blacas[11] - ? - ? - ? (1360)
  • André Badat[3] - ? - ? - ? (1370)
  • Jacques Galliani[12],[13] - ? - ? - ? (1371)
  • Antoine Badat[3] - ? - ? - ? (1375)
  • André Badat[3] - ? - ? - ? (1384)

XVe siècle[modifier | modifier le code]

  • ? - Ludovic Badat[3] - ? - ? (1414)
  • Raymond Blacas[17] - Antoine Papachino - Jacques de Cherasco[18] (1420) (Avec François Tobia comme jurisconsulte[18]?)
  • ? - Ludovic Badat[3] - ? - ? (1425)
  • Bertrand Riquieri - François de Berre - Ludovic de Marseille - Ludovic Jaufré[18],[19] (1432)
  • Cyprien Ronquillonio - Philibert de Berre - Guillaume Paulo - Antoine Gati[20] (1434)
  • Pierre Badat[3] - ? - ? - ? (1449)
  • ? - Jacques II Galleani[12] - ? - ? (1454)
  • Pierre Badat[3] - ? - ? - ? (1455)
  • ? - ? - Humbert Galliani[12] - ? (1456)
  • Pierre Badat[3] - ? - ? - ? (1460)
  • Antoine Tonduti[21] - ? - ? - ? (1463)
  • ? - Humbert Galliani[12] - ? - ? (1469)
  • ? - ? - Jacques II Galleani[12] - ? (1473)
  • François Caïs - Mathieu Marchésan - Obert Galean (ou Humbert Galliani)[22],[12] - ? (1478)
  • Claude de Berre - Pierre Brandis - Honoré Charles - Léon Barralis[22] - (1480)
  • Jacques II Galleani[12] - ? - ? - ? (1485)
  • Bertrand Riquieri - Ludovic Armano - Léance Barralis - Jacques Cavallier[18] (1488)
  • Honoré de Lascaris-du Castellar[23] - ? - ? - ? (1497)

XVIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Honoré de Lascaris-du Castellar[23] - ? - ? - ? (1500)
  • Honoré de Lascaris-du Castellar[23] - ? - ? - ? (1501)
  • Honoré de Lascaris-du Castellar[23] - ? - ? - ? (1508)
  • Etienne de Lascaris-du Castellar[23] - ? - ? - ? (1512)
  • Jean Tonduti[21] - ? - ? - ? (1518)
  • Jean Gallian - ? - ? - ? (1525)
  • Jean Tonduti[21] - ? - ? - ? (1540)
  • ? - Barthélemy Galléan[12] (nombre consul inconnu) - ? - ? (1543)
  • ? - Jean-André Tonduti[21] (nombre consul inconnu) - ? - ? (1570)
  • Pierre Jean Galléan[12] - ? - ? - ? (1577)
  • Pierre Jean Galléan[12] - ? - ? - ? (1580)
  • Vincent Caissotti[24] - ? - ? - ? (1588)
  • Pierre Jean Galléan[12] - ? - ? - ? (1590)
  • Pierre Jean Galléan[12] - ? - ? - ? (1598)

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

  • André Gallian[12] (ou Galléani-Doria)[13] - ? - ? - ? (1603)
  • Gaspard Grimaldi[25] - ? - ? - ? (1614)
  • Marc-Antoine Galléan[12] - ? - ? - ? (1619)
  • François (Lascaris-Vintimille?)[23] - ? - ? - ? (1625)
  • Lazare Galléan[12] - ? - ? - ? (1650)
  • Jean-Paul Lascaris-Vintimille du Castellar[23] - ? - ? - ? (1670)
  • André Galliani[12],[26] (1675)
  • Jérôme Marcel Galléan - ? - ? - ? (1682)
  • Philippe-Emmanuel Grimaldi[27] - ? - ? - ? (1682)
  • Jean-Paul Lascaris-Vintimille du Castellar[23] - ? - ? - ? (1687)
  • Jean-Paul Lascaris-Vintimille du Castellar[23] - ? - ? - ? (1688)
  • Philippe-Emmanuel Grimaldi[27] - ? - ? - ? (1692)
  • François-Gaétan Lascaris-Vintimille[23] - ? - ? - ? (1698)
  • Marcel François (Caissotti?)[28] - ? - ? - ? (1699)

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Charles-Antoine (Lascaris-Vintimille?)[23] - ? - ? - ? (1713)
  • Pierre (Caissotti?)[28] - ? - ? - ? (1727)
  • Marcel François (Caissotti?)[28] - ? - ? - ? (1737)
  • Charles Garin[13] - ? - ? - ? (1752)
  • Joseph-François Ricci[24] - ? - ? - ? (1741)
  • Jean-Paul-Augustin Lascaris-Vintimille[23] - ? - ? - ? (1757)
  • Joseph-Marie-Pierre-Jean Grimaldi de Sauze[27] - ? - ? - ? (1761)
  • Jean-Paul-Augustin Lascaris-Vintimille[23] - ? - ? - ? (1765)
  • Joseph-Marie-Pierre-Jean Grimaldi de Sauze[27] - ? - ? - ? (1768)
  • Joseph-Marie-Pierre-Jean Grimaldi de Sauze[27] - ? - ? - ? (1777)

Révolution, Consulat et Empire[modifier | modifier le code]

En 1792, la ville, qui appartient au royaume de Piémont-Sardaigne, est prise par les armées révolutionnaires et annexée à la France en 1793.

  • Le Seurre, .
  • Joseph-Ignace Giacobi, - .
  • Jacques-Alexandre Pauliani, - .
  • Commission municipale, - .
  • Jacques-Alexandre Pauliani, - .
  • André Chabaud, - .
  • Jacques-Alexandre Pauliani, - .
  • André Chabaud, - .
  • Augustin Balmossiere-Chartroux, - .
  • André Masséna, - .
  • François Paulian, - .
  • Jean-François Defly, - .
  • Louis Romey, - .
  • François de Orestis, - .
  • Caissotti-Roubion, - 1814.

De 1814 à 1848[modifier | modifier le code]

En 1814, la ville est rendue au royaume de Piémont-Sardaigne. Elle est dès lors dirigée par un consul.

  • Ermenegilde Audiberti de Saint-Étienne, comte, de 1814 à 1815.
  • Raymond Garin de Cocconato, comte, de 1815 à 1816[13].
  • Amédée Achiardi de Saint-Léger, comte, de 1816 à 1817.
  • Emile Cacciardi, baron, de 1817 à 1818.
  • Agapit Caissotti de Roubion, comte, de 1818 à 1820.
  • Hippolyte Caïs de Pierlas, comte, de 1820 à 1821.
  • Raymond Garin de Cocconato, comte, de 1821 à 1823[13].
  • Louis Saissi de Châteauneuf, de 1823 à 1824.
  • Alli Maccarani, marquis, de 1824 à 1825.
  • Victor Caravadossi du Toët, de 1825 à 1826.
  • Louis Ratti, chevalier, de 1826 à 1827.
  • Amédée Achiardi de Saint-Léger, comte, de 1827 à 1828.
  • Louis Ongran, comte, de 1828 à 1829.
  • Jules Caravadossi du Toët, baron, de 1829 à 1830.
  • Pierre-Joseph Arson, Commandeur, de 1830 à 1831.
  • Louis Passeron, baron, de 1831 à 1832.
  • Louis-Alexandre Saissi de Châteauneuf, comte, de 1832 à 1835.
  • Agapit Caissotti de Roubion, comte, de 1835 à 1838.
  • Amédée Achiardi de Saint-Léger, comte, de 1838 à 1841.
  • Henri Audiberti de Saint-Étienne, comte, de 1841 à 1844.
  • Caravadossi du Toët, comte d'Aspremont, de 1844 à 1847.
  • Henri Audiberti de Saint-Étienne, comte, de 1847 à 1848.

De 1848 à 1860[modifier | modifier le code]

En 1848, le royaume de Piémont-Sardaigne adopte le Statuto. La ville est alors dirigée par un syndic (sèndegue en niçois, sindaco en italien), élu au suffrage censitaire.

Second Empire (1860-1870)[modifier | modifier le code]

En 1860, la ville est annexée à la France par Napoléon III. François Malausséna, syndic sortant de la ville, est nommé maire.

Nom Parti Début du mandat Fin du mandat
1 François Malausséna Bonapartiste 25 juin
1860
4 septembre[N 3]
1870

Troisième République (1870-1940)[modifier | modifier le code]

À la suite de la chute du Second Empire et de la démission de François Malausséna, les autorités craignent une offensive du parti italien. Le préfet Pierre Baragnon se charge alors de nommer le maire[29]. Il choisit Louis Piccon, mais demande peu après sa démission. S'ensuit une période où la ville est dirigée par une commission municipale présidée d'abord par le préfet lui-même[30] et dont le vice-président est Pacifique Cléricy. Le préfet Marc Dufraisse nomme une nouvelle commission municipale le 15 novembre 1870 dont le baron Joseph Elisi de Saint-Albert prend la présidence[31]. Jean Draghi lui succède le 22 mars 1871 (ou 10 février 1871 selon les sources[N 4]).

Du 14 août au 11 octobre 1896, entre les mandats de François Alziary de Malausséna et d'Honoré Sauvan, la ville est dirigée par une délégation spéciale nommée par le préfet et présidée par Emile Aubé, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées (Base Léonore, dossier Aubé Emile).

Nom Parti Début du mandat Fin du mandat
2 Louis Piccon Républicain modéré[réf. nécessaire] 11 septembre[N 5]
1870
25 septembre
1870
3 Auguste Raynaud Républicain modéré 30 avril
1871
6 janvier
1878
4 Alfred Borriglione Républicain modéré 29 janvier
1878
9 mai
1886
5 Jules Gilly Républicain modéré[réf. nécessaire] 30 mai
1886
10 novembre
1886
6 François Régis Alziari de Malaussène Républicain modéré[réf. nécessaire] 10 novembre
1886
10 mai
1896
7 Honoré Sauvan Républicain modéré puis DVG[réf. nécessaire] 11 mai
1896
12 mai
1912
8 François Goiran SE 11 mai
1912
12 décembre
1919
7 Honoré Sauvan DVG[réf. nécessaire] 16 décembre
1919
18 janvier
1922
9 Pierre Gautier PRDS[32] 18 février
1922
23 avril
1927
10 Alexandre Mari DVG[réf. nécessaire] 23 avril
1927
15 octobre
1928
11 Jean Médecin RI (jusqu'en 1936 ; à partir de 1939)

PPF (1936-1939)

16 décembre
1928
10 juillet
1940

Régime de Vichy (1940-1944)[modifier | modifier le code]

Nom Parti Début du mandat Fin du mandat
11 Jean Médecin RI 10 juillet
1940
1er septembre
1944

GPRF et Quatrième République (1944-1958)[modifier | modifier le code]

Du 2 au 19 septembre 1944, la ville est dirigée par une délégation spéciale présidée par Hector Cendo, un fonctionnaire de la préfecture[33], puis par Virgile Barel (PCF) du 19 septembre 1944 au 18 mai 1945.

Nom Parti Début du mandat Fin du mandat
12 Jacques Cotta SFIO 18 mai
1945
25 octobre
1947
11 Jean Médecin RI 25 octobre
1947
4 octobre
1958

Cinquième République (depuis 1958)[modifier | modifier le code]

Nom Parti Début du mandat Fin du mandat
11 Jean Médecin RI 4 octobre
1958
18 décembre
1965
13 Jacques Médecin CR, FNRI, PR, RPR puis CNI 11 février
1966
16 septembre
1990
14 Honoré Bailet RPR 26 septembre
1990
29 octobre
1993
15 Jean-Paul Baréty RPR 8 novembre
1993
25 juin
1995
16 Jacques Peyrat DVD, RPR puis UMP 25 juin
1995
21 mars
2008
17 Christian Estrosi UMP puis LR 21 mars
2008
1er juin
2016
18 Philippe Pradal LR 1er juin
2016
15 mai
2017
17 Christian Estrosi LR puis LFA-Horizons 15 mai
2017
en cours

Odonymie[modifier | modifier le code]

Plusieurs voies publiques de Nice ont reçu le nom de l'un de ses maires :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Guillaume? Ou Guillaumé?
  2. Autres graphies: Guido Ricard; Fulco Bernard. Voir https://books.google.com/books?id=qXI5AAAAcAAJ&hl=fr&pg=PA177#v=onepage&q&f=false
  3. D'après Thierry Couzin de l'université de Nice Sophia Antipolis, qui s'appuie sur une délibération du conseil municipal, François Malausséna annonce son intention de démissionner lors du conseil municipal du 7 septembre 1870 (Thierry Couzin, 2007), ce qui contredit la date de fin de mandat indiquée par la mairie de Nice sur son site internet (4 septembre 1870).
  4. D'après Henri Courrière de l'université de Nice Sophia Antipolis, qui s'appuie sur le journal Le Phare du Littoral du 11 février 1871, Jean Draghi est nommé président de la commission municipale le 10 février 1871 (Henri Courrière, 2007), ce qui contredit la date du 22 mars 1871 indiquée par la mairie de Nice sur son site internet.
  5. D'après Thierry Couzin de l'université de Nice Sophia Antipolis, qui s'appuie sur une délibération du conseil municipal, Louis Piccon est nommé maire de Nice lors du conseil municipal du 13 septembre 1870 (Thierry Couzin, 2007), ce qui diffère de la date indiquée par la mairie de Nice sur son site internet (11 septembre 1870).

Références[modifier | modifier le code]

  1. NAISSANCE ET AFFIRMATION DU CONSULAT DE NICE
  2. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 145.
  3. a b c d e f g h i j k l m et n « Noblesse de Comtat Venaissin, d'Avignon,de la Principauté d'Orange », sur jean.gallian.free.fr (consulté le ).
  4. Autre graphie: Fouques Badat, Pierre Richard, Pierre Aldebrandi, Guillaume Ruffi (https://books.google.com/books?id=qXI5AAAAcAAJ&hl=fr&pg=PA161#v=onepage&q&f=false)
  5. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 167.
  6. a b c et d (en) « Romée de Villeneuve », sur calameo.com (consulté le ).
  7. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 213.
  8. Bonaventure Salvetti, L'abbaye de Saint-Pons : hors les murs de Nice : essai historique, , 173 p. (ISBN 978-2-86410-398-1, lire en ligne), p. 58.
  9. vicomte Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel, , 356 p. (lire en ligne).
  10. (it) Collegio araldico, Rivista, , 824 p. (lire en ligne), p. 380.
  11. a et b https://sites.google.com/site/chateauneufvillevieille/Home/histoire/la-noblesse/co-seigneurs-jusqu-au-xviieme-siecle
  12. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r (en) « Généalogie famille Gallean », sur calameo.com (consulté le ).
  13. a b c d e f et g http://www.corpusetampois.com/che-20-chaixdestange20.pdf
  14. Louis Durante, Histoire de Nice depuis sa fondation jusqu'á l'année 1792, avec un aperçu sur les événemens qui ont eu lieu pendant la Révolution francaise á tout 1815 inclusivement, , 402 p. (lire en ligne), p. 283.
  15. Jean-Baptiste Toselli, Precis historique de Nice depuis sa fondation jusqu'en 1860 : Nice depuis sa fondation jusq'en 1789, , 312 p. (lire en ligne), p. 64.
  16. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 242.
  17. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 274.
  18. a b c et d https://www.departement06.fr/documents/Import/decouvrir-les-am/rr183-cathmedievales.pdf
  19. Graphie d'origine: Bertrando Richieri,Francesco di Berra, Ludovico di Marsiglia e Ludovico Gioffredo
  20. Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 283.
  21. a b c et d http://www.corpusetampois.com/che-19-lachesnayedesbois3ed19.pdf
  22. a et b Eugène François Tisserand, Histoire civile et religieuse de la Cité de Nice et du Département des Alpes-Maritimes : Chronique de Provence, , 320 p. (lire en ligne), p. 304.
  23. a b c d e f g h i j k l et m (en) « Généalogie de la famille Lascaris », sur calameo.com (consulté le ).
  24. a et b « Familles niçoises et provençales », sur chroniqueprovencale.blogspot.com (consulté le ).
  25. « Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes », sur bnf.fr, (consulté le ).
  26. « GALLEAN de CHATEAUNEUF », sur chroniqueprovencale.blogspot.com (consulté le ).
  27. a b c d et e (en) « Généalogie de la famille Grimaldi », sur calameo.com (consulté le ).
  28. a b et c https://www.departement06.fr/documents/Import/decouvrir-les-am/rr162-jesuites.pdf
  29. Thierry Couzin, 2007.
  30. Henri Courrière, 2007.
  31. Henri Courrière, 2008.
  32. « Les élections municipales de Nice - Les résultats définitifs », L'Éclaireur de Nice et du Sud-Est, vol. 44, no 125,‎ , p. 5 (lire en ligne, consulté le ).
  33. Jean-Louis Panicacci, « La vie politique à Nice de 1942 à 1945 », Cahiers de la Méditerranée, no 2,‎ , p. 43 (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Les anciens maires de Nice, sur le site de la mairie de Nice
  • Alain Ruggiero (dir.), Nouvelle histoire de Nice, Privat, 2006, 383 p.
  • Ralph Schor (dir.), Dictionnaire historique et biographique du comté de Nice, Nice, Serre, 2002.
  • Henri Courrière, « Les troubles de à Nice », Cahiers de la Méditerranée, no 74, 2007, mis en ligne le [lire en ligne]
  • Henri Courrière, « Les enjeux d’un discours. Particularisme et politique à Nice de 1860 à 1900 », Cahiers de la Méditerranée, no 77, 2008, mis en ligne le [lire en ligne]
  • Thierry Couzin, « Le renouvellement d’une identité de frontière », dans Cahiers de la Méditerranée, no 74, 2007, mis en ligne le [lire en ligne]

Articles connexes[modifier | modifier le code]