Musique djiboutienne — Wikipédia

La musique djiboutienne est caractérisée par la poésie, si bien qu'écouter une chanson djiboutienne c'est d'abord prêter attention à sa signification. L'artiste berce les auditeurs dans la gaieté des refrains et de la tournure des phrases. Souvent chanté par un couple, un morceau est joué sous forme de tour de passe-passe entre un homme et une femme, l'un racontant ses sentiments et son amour, voire sa passion pour l'autre, jusqu'à ce que l'autre accepte ou rejette cette offre.

La chanson djiboutienne se distingue également par le "gouux", une voix grave et sensuelle qui souligne la passion de l'artiste pour son œuvre.

Les chanteurs et chanteuses djiboutiens[modifier | modifier le code]

  • med fouad ali (197 , le roi du Qaï [1], né 01/01/ 1926.
  • kousse monday, le seul chanteur francophone[réf. nécessaire], né en 1983 [2].
  • moussa ibrahin harred (1945-2008)
  • Moumin Bileh Houffaneh (1952-2016)[3]
  • maktireh med hassan [4]

Groupes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Site.
  2. Site qui reprend un article de La Nation.
  3. Sa nécrologie sur le site de La Nation.
  4. Article dans La Nation, consulté le 26/1/2013.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Mohamed Houmed Hassan, «Émergence et évolution d'une culture populaire urbaine à Djibouti», in Amina Saïd Chire (dir.), Djibouti contemporain, Paris: Karthala, 2013, p. 293-316.
  • Ali Moussa Iye, «La chanson djiboutienne : A la recherche d’un nouveau souffle», dans publication collective « La Chanson dans l’espace francophone », ACCT, Paris, 1989.

Articles connexes[modifier | modifier le code]