Sallenelles — Wikipédia

Sallenelles
Sallenelles
L'église de l'Assomption-de-Notre-Dame.
Blason de Sallenelles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Laurent Lemarchand
2020-2026
Code postal 14121
Code commune 14665
Démographie
Gentilé Sallenellais
Population
municipale
293 hab. (2021 en diminution de 3,62 % par rapport à 2015)
Densité 234 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 50″ nord, 0° 13′ 45″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 40 m
Superficie 1,25 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.sallenelles.net

Sallenelles est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, à proximité de l'agglomération de Caen, situé sur l'estuaire de l'Orne. Elle a une superficie de 1,25 km2, et est peuplée de 293 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

L'estuaire de l'Orne.

Sallenelles se situe à l'embouchure de l'Orne par 49° 15′ 50″ N, 0° 13′ 45″ O à 3 km de Franceville. La baie est une zone de marais très riche avec une flore et une avifaune diversifiées[1]. La commune a dû par le passé s'adapter aux modifications de l'environnement (érosion du littoral, modification du tracé de l'Orne, percement du canal de Caen à la mer). La spécificité environnementale de la baie en fait un centre important d'observation, de sensibilisation et d'étude des milieux humides[1], présentant prés salés, plages, vasières, dunes à argousier. On y trouve de nombreuses espèces rares et protégées au niveau régional et national, telles que le tadorne de Belon, l'aigrette garzette, le gravelot à collier interrompu, la spatule blanche, ou le phoque[2].

La commune a une altitude moyenne de 20 m, avec une altitude minimale de 0 m, et maximale de 40 m. Le centre du bourg, autour de la mairie, présente une altitude de 5 m.

Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[4].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

  • Moyenne annuelle de température : 11 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 680 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 2004 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SALLENELLES (14) - alt : 7 m 49° 15′ 48″ N, 0° 14′ 00″ O
Records établis sur la période du 01-01-2004 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,3 4,1 5,1 8,5 11 12,9 13,1 10,9 8,6 5,3 3,1 7,3
Température moyenne (°C) 5,5 5,7 7,9 9,4 12,7 15,4 17,5 17,7 15,6 12,6 8,6 5,9 11,2
Température maximale moyenne (°C) 8,5 9,2 11,8 13,8 16,9 19,9 22,1 22,4 20,3 16,6 12 8,8 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−9,5
07.01.09
−11,2
11.02.12
−4,8
01.03.05
−3,1
13.04.21
−1
01.05.21
4,7
07.06.15
5,8
31.07.15
7,2
20.08.14
1,8
30.09.18
−0,5
21.10.10
−5,2
30.11.16
−7,8
29.12.05
−11,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
16
29.01.13
19,5
27.02.19
25,4
31.03.21
28,5
21.04.18
29,5
27.05.05
36,9
29.06.19
41
25.07.19
35,9
01.08.13
35
13.09.16
30,1
01.10.11
22,7
01.11.15
16,4
19.12.15
41
2019
Précipitations (mm) 64,3 50,4 53,3 50,1 59,3 55,3 51,9 47,2 60,2 75,8 73,4 74,6 715,8
Source : « Fiche 14665001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sallenelles est une commune rurale[Note 5],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43 %), zones humides côtières (18,9 %), eaux maritimes (13,2 %), zones urbanisées (12,6 %), terres arables (12,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Salinella en 1169, Salinellae en 1198, Salnelles en 1460, Salenelle en 1723[20].

Peut-être adjectif féminin singulier de l'oïl saleine « (eau) salée »[20].

Au XIIe siècle, la plupart des salines étaient à Varaville et sur la rive gauche de l’estuaire de l'Orne, jusqu’aux confins de la baie, vers Sallenelles [21].

Le gentilé est Sallenellais.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune, son nom évoque la saunerie, activité qui pendant longtemps domina l'économie locale avec la construction navale. Une des plus anciennes mentions du sel local date de la fondation de l'abbaye Saint-Martin de Troarn par Roger II de Montgommery, et est un document cosigné par Guillaume le Conquérant et sa femme Mathilde de Flandre, confirmant les donations des salines à l'abbaye[22].

L'autre activité locale, la construction navale, connut son apogée au XVIIIe siècle. À la suite d'un édit royal du , autorisant les commerçants caennais à commercer directement avec le nouveau monde. Le village est alors connu sur tout le littoral normand pour ses frégates (qui atteignent jusqu'à 48 m), ses bisquines, ses sloops, ses picoteux ou encore ses barques[22].

La pêche et la chasse remplacèrent peu à peu ces activités[22], et à partir des années 1950, les villageois récoltèrent les vers de vase, les pelouzes, utilisées dans la pêche amateur en bord de mer[23]. De nos jours, hormis quelques exploitations agricoles[24], la commune vit principalement du tourisme[25] (on peut y noter la Maison de la nature et de l'estuaire de l'Orne[2]), ou alors ses habitants travaillent sur d'autres communes (la commune est proche de l'agglomération de Caen)[25].

La baie et la commune furent également une zone stratégique où se déroulèrent des combats lors de la Bataille de Normandie en 1944[1]. Une stèle y est érigée à la mémoire de la Brigade Piron[26], qui participa à la libération de la commune[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Le conseil municipal est composé du maire, trois adjoints et sept conseillers municipaux[28]. En 2010, la commune employait également deux personnes[28].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 2001 Alain Lavalley[29]    
[29] mars 2008[30] Frédéric Chazal[30] UDF Agent d'assurances[30]
[Note 7],[30] En cours Jean-Louis Greffin[31] - Retraité[30]
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 293 habitants[Note 8], en diminution de 3,62 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). La population est appelée à augmenter légèrement dans les années qui viennent, avec l'autorisation de construire de nouveaux logements[24]. En 2007, la majorité de la population (53,4 %) était des femmes, un quart (24,6 %) avait moins de 20 ans, et 17,7 % avait 60 ans ou plus ; 49,8 % de la population était mariée (contre 35,4 % de célibataires, et 7,4 % de veufs, et la même proportion de divorcés). Plus de trois quarts de la population (77 %) habitait déjà la commune cinq ans auparavant, et 96,9 % habitait alors la même région. 52,3 % de la population était active, contre 17 % de retraités, et 7,9 % d'élèves ou étudiants. Parmi les actifs, le taux de chômage se situait à 12,4 %.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
337316366373357407414435411
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
417350359351306288285287283
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
288302304228229257249267265
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
257306314290240293279277309
2017 2021 - - - - - - -
294293-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de l'Assomption de Notre-Dame ou Saint-Germain.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Liens avec d'autres communes[modifier | modifier le code]

La ville fait partie de la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge, et est jumelée avec la commune de Brunehaut en Belgique.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sallenelles Blason
Taillé : au 1er de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'azur à un navire viking d'argent habillé d'une voile carrée du même et chargée d'une croix pattée de gueules, voguant sur une mer de sinople, à la barre rétrécie d'or chargée de trois canards sauvages de sinople volant vers le chef dans le sens de la barre, brochant sur la partition.
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
Adopté le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les élections de mars 2008 avaient été annulées par le tribunal administratif de Caen ; le maire a été réélu en septembre 2008.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Site officiel de la ville de Sallenelles - Notre Commune, consulté le .
  2. a et b Maison de la nature et de l'estuaire de l'Orne - CPIE Vallée de l'Orne, consulté le
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1105 - (ISBN 2600001336)
  21. Musset, 1995, d’après la liste des tenures relevant du douaire de la reine Jeanne en 1326, connue par une copie du XVe siècle : Arch. Nat., P 19331, Assiette du douaire de la reine Jeanne - « Parties de la ferme de Varaville », fol. 63v. Citons quelques extraits auparavant édités dans : Musset, 1975, p. 17. Les salines de la ferme royale de Varaville rendirent 711 asquets de sel en 1326, ce qui fait un volume assez considérable.
  22. a b c d e et f Site officiel de la ville de Sallenelles, Histoire, consulté le .
  23. CRéCET - " Faire la pelouze ". L'exploitation des vers de vase en baie de Sallenelles et en baie de Somme, consulté le .
  24. a et b Site officiel de la ville de Sallenelles - Plan Local d'Urbanisme, consulté le
  25. a et b Site officiel de la ville de Sallenelles - Accueil, consulté le .
  26. La Brigade Piron - Monuments, consulté le .
  27. La Brigade Piron - Campagne de Normandie, consulté le .
  28. a et b Site officiel de la ville de Sallenelles - Le Conseil Municipal, consulté le
  29. a et b Ouest-France : Résultats élections municipales 2001 - Sallenelles, consulté le
  30. a b c d et e Ouest-France,  : A Sallenelles, les élections créent des remous, consulté le
  31. Réélection 2014 : « Jean-Louis Greffin a retrouvé son fauteuil de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados : Arrondissement de Caen (suite) et Falaise, t. 2, Athènes normande, , 477 p. (ISBN 978-2-9554713-2-6), p. 4.
  37. de Caumont 2018, p. 4.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]