Théâtre de l'Atelier (Genève) — Wikipédia

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Théâtre de l’Atelier
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Le Théâtre de l'Atelier est un groupe de création théâtral et d'accueil basé à Genève et actif principalement entre 1962 et 1972. Il s'est nommé Atelier Don Sapristi jusqu'en 1964. Fondé par Marcel Robert et François Rochaix, c'est ce dernier qui en assure la conduite. Le groupe fusionne en 1972 avec le Théâtre de Carouge qui s'intitulera ensuite Théâtre de Carouge - Atelier de Genève.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le groupe démarre comme atelier théâtral de la Maison des Jeunes et de la Culture de Saint-Gervais à Genève (MJC) inaugurée en 1963. Il a pour mission à la fois de monter des pièces et de donner des cours de théâtre. Plusieurs acteurs romands confirmés ont démarré leur formation dans ces cours[1]. Il prendra le nom de Théâtre de l'Atelier en automne 1964 en démarrant sa première saison professionnelle mais c'est en 1967 qu'il sera complètement reconnu comme une institution théâtrale officielle en intégrant le "Cartel des théâtres dramatiques de Genève", au côté du Théâtre de la Comédie, Nouveau Théâtre de Poche et du Théâtre de Carouge, et recevant sa première subvention dédiée de la part de la Ville de Genève.

Le Théâtre de l'Atelier n'est pas une troupe indépendante comme celles qui naîtront en Suisse romande à la fin des années 1960 mais il a été une source d'inspiration (puisque de nombreuses personnes impliquées dans ces compagnies ont participé aux productions du Théâtre de l'Atelier) et il a pu leur apporter un soutien en accueillant leurs premières productions, comme Monsieur Fugue ou le Mal de la Terre du Théâtre O accueillit par le Théâtre de l'Atelier au sein de la MJC en 1970[2].

Le 29 décembre 1971, la compagnie publie un communiqué conjoint avec le Théâtre de Carouge dans lequel le deux théâtres annoncent que dès le 1er janvier suivant, ils fusionnent leur administration et leurs équipes techniques mais que les directions artistiques restent autonomes[3]. Le Théâtre de Carouge se renommera à partir de novembre 1972 dans sa communication Théatre de Carouge - Atelier de Genève et toutes les activités des deux institutions se fusionneront progressivement. En 1975, François Rochaix prend la direction du Théâtre de Carouge ce qui finalise la fusion déjà bien établie.

Productions créées[modifier | modifier le code]

Saison 1962/1963[modifier | modifier le code]

  • En attendant Godot de Samuel Beckett[4]. Présentée les 8, 9 et 10 février au Théâtre de l'Arlequin à Berne[5].
  • Les Cris du silence, minidrame en sept tableaux, composé et mis en scène par Marcel Robert, sur une musique de Guy Bovet avec Jane Friedrich, Marcel Robert, François Rochaix, Charles Dalliinges et Marika Hodji[6].

Saison 1963/1964[modifier | modifier le code]

  • Fantasio d'Alfred de Musset[4]. Présentée à la MJC de Saint-Gervais du 2 au 15 octobre 1963[7].
  • Trois intermèdes de M. de Cervantès[4], mis en scène par Marcel Robert et Michel Barde. Présentée du 18 au 31 décembre 1963[7].
  • Grand-Peur et Misère du IIIe Reich de Bertolt Brecht dans le cadre du Festival Brecht, mise en scène François Rochaix, assisté de Dominique Carron, avec François Rochaix, Laurence Montandon, Jean-Pierre Widmer[8]. Elle est présentée du 11 au 29 février 1964 à la MJC de Saint-Gervais[9].
  • La Fontaine aux Saints de Sygne, mis en scène par Marc Fayolle, présentée au Théâtre Antique de l'Ecole internationale de Genève du 1er au 11 juillet 1964[10].

Saison 1964/1965[modifier | modifier le code]

  • Reprise avec modifications de la Grand-Peur et Misère du IIIe Reich de Bertolt Brecht. Elle est présentée en tournée du 20 au 30 octobre 1964 au Théâtre de Vidy dans le cadre de l'exposition nationale suisse, à Morges et à la Chaux-de-Fonds[11].
  • Les Hussards de Pierre Aristide Bréal, mise en scène par Patrick Antoine, scénographie de Michel Braun et musique de Guy Bovet. Présentée du 17au 28 février 1965 à la MJC de Saint-Gervais[12].
  • Récital poétique de José Herrera Petere avec trois comédiens, un guitariste et en présence du poète. Présentée en mai 1965 à la MJC de Saint-Gervais[13].

Saison 1965/1966[modifier | modifier le code]

  • Le Double de Friedrich Dürrenmatt[14]. Mise en scène par Philippe Mentha. Présentée du 13 octobre au 25 novembre 1965 à la MJC de Saint-Gervais[13].
  • Chapeaurouge ou le cheminement d'un échec de Raymond Golaz[14]. Présentée du 8 décembre 1965 au 9 janvier 1966[15].
  • Récital poétique autour du poète Jean Hercourt, présenté en janvier 1966 à la MJC de Saint-Gervais[16].
  • Vu du pont d'Arthur Miller. Présenté du 2 février au 20 mars 1966 à la MJC de Saint-Gervais[16].

Saison 1966/1967[modifier | modifier le code]

  • Gilles ou l'habit du roi inspiré des contes d'Andresen. Spectacle jeune public, écrit et réalisé par Alain Le Coultre, qui part en tournée dans le canton de Genève[17].
  • Premier avertissement d'August Strindberg, mise en scène de Armen Godel, scénographie et costumes de Jean-Claude Maret[18]. Présentée dans les principaux centres de loisirs du Canton de Genève[17].
  • Godot est arrivé de Miodrag Bulatović, mis en scène par Jorge Lavelli, scénographie de Jean-Claude Maret[19]. Présentée à la MJC de Saint-Gervais à partir de 19 octobre 1966[20].
  • À quoi bon fixer le soleil de Mustapha Haciane, mis en scène par François Rochaix, scénographie et costumes de Jean-Claude Maret[18]. Présentée à la MJC de Saint-Gervais dès le 25 janvier 1967[21].
  • Cédarts de Sicile de Luigi Pirandello. Pièce en un acte. Mise en scène par Dominique Catton. Elle tourne à nouveau dans les centres de loisirs genevois[22].
  • Garden Party de Vaclav Havel, mis en scène par Vaclav Hudecek avec Laurence Montandon, Nicole Rouan, Dominique Catton, Alain Le Coultre, Armen Godel et François Rochaix[23]. Première mondiale en langue française. Dans le cadre du Festival culturel tchécoslovaque au sein de la Maison des jeunes et de la culture de Genève[24]. Présentée du 3 mai au 17 juin 1967 à la MJC de Saint-Gervais[25].

Saison 1967/1968[modifier | modifier le code]

  • Reprise en tournée (Belgique, France, Espagne) de Godot est arrivé de Miodrag Bulatović sous le titre Il est arrivé pour des questions de droits[26].
  • Cabaret Brecht 1925, poèmes de Bertolt Brecht et musique de Kurt Weill, mis en scène par François Rochaix, scénographie et costumes de Jean-Claude Maret[18]. Donné en mars 1968 à la MJC de Saint-Gervais.
  • Chant du fantoche lusitanien de Peter Weiss, mis en scène par François Rochaix, Armen Godel et Jean-Claude Maret, scénographie et costumes de Jean-Claude Maret, avec Claire Dominique, Laurence Montandon, Nicole Rouan, Dominique Catton, Patrick Lapp, Alain Le Coultre, Armen Godel remplacé pour la création par François Rochaix. Les musiciens : Josef Strnad, André Jéquier, Guy Bovet et Daniel Spielberg en alternance. Le régisseur est Georges Vallet. Masques de Liliane Maret. Croquemitaine : Dutch White[23]. Création mondiale en français[27]. La première a lieu le 26 avril 1968 à la MJC de Saint-Gervais[28].

Saison 1968/1969[modifier | modifier le code]

Saison 1969/1970[modifier | modifier le code]

  • Dans la jungle des villes de Bertolt Brecht mis en scène par François Rochaix avec François Germond et Marcel Imhoff[23]. Présentée à la MJC de Saint-Gervais du 22 octobreau 30 novembre 1969[33].
  • Liguarel de Michel Viala. Présentée de 19 et 31 décembre 1969, puis du 6 février 1970 au 22 juillet 1970 épisodiquement[34].
  • Tournée en février 1970 en Algérie du Chant du fantoche lusitanien de Peter Weiss avec une distribution modifiée[35].
  • Reprise à partir du 29 avril 1970 à la MJC de Saint-Gervais de Le Testament du chien de Ariano Suassuna avec une distribution modifiée[35].
  • Le soleil foulé par les chevaux de Jorge Enrique Adoum. Création mondiale de la pièce avec une traduction de Michel Viala. Mise en scène par François Rochaix, Genève, scénographie de Jean-Claude Maret[18], musique de Guy Bovet, avec François Berthet, Jean-Fred Bourquin, Dominique Catton, Erika Denzler, Armen Godel, André Schmidt, Michel Viala (Pizarre), Jacques Denis, Philippe Herren, Nicole Rouan, Jacques Michel, Jean-Luc Bideau, Alain Le Coultre, Patrick Lapp, Jean-René Glayre[23]. Présenté en plein air du 14 juillet au 29 août 1970 au Parc des Bastions de Genève[36].

Saison 1970/1971[modifier | modifier le code]

  • Reprise à la MJC de Saint-Gervais puis en tournée de la pièce Le soleil foulé par les chevaux de Jorge Enrique Adoum avec une scénographie adaptée et une distribution modifiée [37].
  • Le Bunker de Michel Viala. Mise en scène par l'auteur avec une scénographie de Jean-Claude Maret. La Distribution comprend Armen Godel et François Berthet. Présentée à la MJC de Saint-Gervais du 24 février au 3 avril 1971[38].
  • Les Aventures de Bidi et Bobo en Helvétie, pièce crée par les membres du Théâtre de l'Atelier. Présentée en plein air du 17 mai au 7 juin 1971[39].
  • Le Malade imaginaire de Molière. Mise en scène par Guillaume Chenevière, en coproduction avec le Théâtre de Carouge. Présenté en août 1971 au Théâtre Antique de l'Ecole Internationale de Genève[40].

Saison 1971/1972[modifier | modifier le code]

  • Reprise de la pièce Le Malade imaginaire mais en intérieur dans la Salle Pitoëff à Genève en septembre et octobre 1971, puis tournée dont en France jusqu'au 30 novembre 1971[3].
  • Britannicus de Racine. Présentée en tournée à Lausanne et La Chaux-de-Fonds en janvier 1972 puis de février à mars à la MJC de Saint-Gervais. Mise en scène Armen Godel. Scénographie de Jean-Claude Maret. Distribution comprenant François Rochaix, Monique Mani, Laurence Montandon (remplacée par Yvette Théraulaz) et François Berthet [41].
  • Baal de Bertolt Brecht. Présentée tout d'abord du 7 au 10 juin à Lausanne puis 20 juin et 15 juillet dans la toute nouvelle salle du Théâtre de Carouge. Mise en scène François Rochaix. Musique de Guy Bovet. Scénographie Jean-Claude Maret. Distribution comprenant Roger Jendly, François Berthet, Nicole Dié, Claire Dominique et Jean-René Clair[42].

Saison 1972/1973 et suivantes[modifier | modifier le code]

Dès la saison 1972/1973 et progressivement jusqu'en 1975, date à laquelle François Rochaix en prend la direction, les productions du Théâtre de l'Atelier se confondent avec celle du Théâtre de Carouge, qui prend dès lors le nom de Théâtre de Carouge - Atelier de Genève.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ On peut nommer François Berthet, Domninique Catton, François Germond et Bernard Heyman.
  2. ↑ Anne-Catherine Sutermeister, Sous les pavés, la scène : L'émergence du théâtre indépendant en Suisse romande à la fin des années 60, Basel/Lausanne, Theaterkultur Verlag/Éditions d'en bas, , 280 p., p. 138.
  3. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 307Voir et modifier les données sur Wikidata
  4. ↑ a b et c « La saison 1963-1964 à la Maison des Jeunes », Journal de Genève, no 223,‎ , p. 8 (lire en ligne, consulté le ).
  5. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 260Voir et modifier les données sur Wikidata
  6. ↑ Maryvonne Stepczynski-Maitre, Saint-Gervais : trente ans de culture à Genève, Genève, Saint-Gervais, , 160 p., p. 31
  7. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 266Voir et modifier les données sur Wikidata
  8. ↑ Maryvonne Stepczynski-Maitre, Saint-Gervais : trente ans de culture à Genève, Genève, Saint-Gervais, , 160 p., p. 36
  9. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 267Voir et modifier les données sur Wikidata
  10. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 270Voir et modifier les données sur Wikidata
  11. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 271Voir et modifier les données sur Wikidata
  12. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 272Voir et modifier les données sur Wikidata
  13. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 273Voir et modifier les données sur Wikidata
  14. ↑ a et b P. B., « La Maison des jeunes de la rue du Temple a publié son (copieux) programme 1965-1966 », Journal de Genève, no 217,‎ 18-19 septembre 1965, p. 8 (lire en ligne, consulté le ).
  15. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 275Voir et modifier les données sur Wikidata
  16. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 276Voir et modifier les données sur Wikidata
  17. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 278Voir et modifier les données sur Wikidata
  18. ↑ a b c et d « Maret », dans Giovanni Lista (Ed.), La scène moderne. Encyclopédie mondiale des arts du spectacle dans la seconde moitié du XXe siècle, Paris/Arles, Éditions Carré/Actes Sud, , p. 676.
  19. ↑ Maryvonne Stepczynski-Maitre, Saint-Gervais : trente ans de culture à Genève, Genève, Saint-Gervais, , 160 p., p. 43.
  20. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 279Voir et modifier les données sur Wikidata
  21. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 281Voir et modifier les données sur Wikidata
  22. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 283Voir et modifier les données sur Wikidata
  23. ↑ a b c d et e Anne-Catherine Sutermeister, Sous les pavés, la scène : L'émergence du théâtre indépendant en Suisse romande à la fin des années 60, Basel/Lausanne, Theaterkultur Verlag/Éditions d'en bas, , 280 p., p. 269-270.
  24. ↑ Maryvonne Stepczynski-Maitre, Saint-Gervais : trente ans de culture à Genève, Genève, Saint-Gervais, , 160 p., p. 42.
  25. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 285Voir et modifier les données sur Wikidata
  26. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 286Voir et modifier les données sur Wikidata
  27. ↑ Peter Weiss (trad. Jean Baudrillard), Chant du fantoche lusitanien, Éditions du Seuil, Voir et modifier les données sur Wikidata
  28. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 289Voir et modifier les données sur Wikidata
  29. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 290Voir et modifier les données sur Wikidata
  30. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 292Voir et modifier les données sur Wikidata
  31. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 293Voir et modifier les données sur Wikidata
  32. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 294Voir et modifier les données sur Wikidata
  33. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 296Voir et modifier les données sur Wikidata
  34. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 298Voir et modifier les données sur Wikidata
  35. ↑ a et b Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 301Voir et modifier les données sur Wikidata
  36. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 302Voir et modifier les données sur Wikidata
  37. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 304Voir et modifier les données sur Wikidata
  38. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 305Voir et modifier les données sur Wikidata
  39. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 306Voir et modifier les données sur Wikidata
  40. ↑ François Truan, « De la "commedia" à Molière », Journal de Genève, Genève, no 98,‎ , p. 12 (ISSN 1010-2108, BNF 13577509, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  41. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 308Voir et modifier les données sur Wikidata
  42. ↑ Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0), p. 326Voir et modifier les données sur Wikidata

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Maryvonne Stepczynski-Maitre, Saint-Gervais : trente ans de culture à Genève, Genève, Saint-Gervais, , 160 p..
  • Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN 978-2-8399-0379-0)Voir et modifier les données sur Wikidata

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