Tiffauges — Wikipédia

Tiffauges
Tiffauges
L'église Saint-Jean dite Saint-Nicolas.
Blason de Tiffauges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Mortagne
Maire
Mandat
Marcel Brosset
2020-2026
Code postal 85130
Code commune 85293
Démographie
Gentilé Teiphaliens
Population
municipale
1 568 hab. (2021 en diminution de 2,31 % par rapport à 2015)
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 52″ nord, 1° 06′ 36″ ouest
Altitude 89 m
Min. 42 m
Max. 113 m
Superficie 9,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mortagne-sur-Sèvre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Tiffauges
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Tiffauges
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Voir sur la carte topographique de la Vendée
Tiffauges
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Tiffauges
Liens
Site web Site officiel

Tiffauges est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal de Tiffauges s'étend sur 980 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 89 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 42 et 113 mètres[1],[2].

Tiffauges est géographiquement située dans le nord-est de la Vendée, limitrophe du département de Maine-et-Loire, elle est coupée par la route départementale D 753 qui va de Cholet à Saint-Jean-de-Monts. Tiffauges se situe à 18 km des Herbiers, 16 km de Montaigu, et 20 km de Cholet. Elle est implantée au confluent de deux rivières : la Sèvre nantaise et la Crûme.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tiffauges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,4 %), prairies (31,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,3 %), zones urbanisées (10 %), forêts (1,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La région est mentionnée sous la forme teofalgicus pagus en 848, la ville castella theophalgica vers 1050.

Tiffauges doit son nom aux Taïfales (ou Teiphales), un peuple -« barbare » pour les Romains- incorporé à la défense de l'Empire romain qui s'y serait établi au Ve siècle[15]. Les Taïfales étaient arrivés en Gaule en 412 avec les Wisigoths.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les seigneurs de Tiffauges[modifier | modifier le code]

Château de Tiffauges.

Au XIe siècle, Tiffauges appartenait aux vicomtes de Thouars et c'est Geoffroy de Thouars qui construit le château au XIIe siècle. La ville est située le long de la Crûme, au pied du promontoire qui était protégé par un rempart muni de tours.

La tour du Vidame vue de sa façade nord.

Tiffauges est la dot de Catherine de Thouars qui épouse Gilles de Rais en 1420. À la fin du XVe siècle, la seigneurie de Tiffauges était rattachée au vicomté de Thouars qui appartenait à la famille d'Amboise. Après l'épopée aux côtés de Jeanne d'Arc, Gilles de Rais se retire à Tiffauges où ses excès vont jusqu'aux meurtres d'enfants. Il est condamné et pendu. Catherine de Thouars se remarie alors avec Jean II de Vendôme, vidame de Chartres. Celui-ci fait élever en 1520 la tour qui porte en son honneur le nom de tour du Vidame.

Le château est incendié en 1569 et démantelé par ordonnance royale en 1626.

Le château joue encore un rôle dans la bataille de Torfou-Tiffauges, dernière victoire vendéenne, le [16].

La ville sera quant à elle pratiquement rasée par la colonne du général Étienne Jean-François Cordellier-Delanoüe le . Il écrira que « Indépendamment que tout brûle encore, j'ai fait passer derrière la haie 600 particuliers des deux sexes. »[17].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'azur semé de fleurs de lys d'or, au franc-quartier brochant de gueules chargé d'une épée d'argent (al. de sable) au pommeau de sable (al. d'argent).
Blason stylé avec ornements extérieurs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Clément David SE Négociant en bestiaux
1947 1959 Ferdinand Baron SE Limonadier
1959 1962 Joseph Lussault SE Horloger et Campaniste
1962 1989 Paul Bonhomme SE Vigneron et Négociant en vin
1989 2014 Jean-Pierre Giraud[Note 2],[18] MPF Employé en produits pharmaceutique
2014 2020 Michel Blanchet SE Agriculteur
2020 En cours Marcel Brosset SE Sculpteur sur bois

Tendances politiques et resultats[modifier | modifier le code]

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Élection municipale de 2014[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Michel Blanchet
  • 19 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2012 : 1 568 habitants)
  • 2 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CC du Pays-de-Mortagne)
Résultats de l'élection municipale du à Tiffauges[19]
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Michel Blanchet * SE 456 52,17 15 2
Jean-Pierre Giraud DVD 418 47,82 4
Inscrits 1 159 100,00
Abstentions 260 22,43
Votants 899 77,57
Blancs et nuls 25 2,78
Exprimés 874 97,22
* Liste du maire sortant
Élection municipale de 2020[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Marcel Brosset
  • 19 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 1 588 habitants)
  • 2 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CC du Pays-de-Mortagne)
Résultats de l'élection municipale du à Tiffauges[20]
Tête de liste Liste Premier tour Sièges
Voix % CM CC
Marcel Brosset * SE 505 100.00 19 2
Inscrits 1 261 100,00
Abstentions 647 51.31
Votants 614 48.69
Blancs et nuls 106 17.75
Exprimés 505 82.25
* Liste du maire sortant

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution de la population
1791 1796
1 107213

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 1 568 habitants[Note 3], en diminution de 2,31 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
210653784847941916948960978
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0911 1641 2051 2001 1791 2201 2981 2961 156
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1521 1781 0941 1261 0989801 0341 0271 027
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 0521 1211 1881 2081 3281 4601 4791 5681 588
2021 - - - - - - - -
1 568--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 820 hommes pour 761 femmes, soit un taux de 51,87 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,7 
6,4 
75-89 ans
9,5 
14,2 
60-74 ans
14,2 
21,3 
45-59 ans
22,8 
18,5 
30-44 ans
18,7 
17,7 
15-29 ans
15,5 
20,9 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Économie[modifier | modifier le code]

- L'entreprise Lussault, fabricante d'horloges, particulièrement d'horloges d'églises à cloches et d’horloges pour châteaux, est implantée à Tiffauges.

- L'usine CTS Cousin-Tessier, transformateur de plastique, qui employait 215 personnes[15] en 2011.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Tiffauges.
Horloge de l'église d'Ascain.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Dans la culture[modifier | modifier le code]

  • Le personnage principal du Roi des Aulnes, roman de Michel Tournier ayant obtenu le Prix Goncourt en 1970, s'appelle Abel Tiffauges. Le sujet du roman est en lien indirect avec les agissements de Gilles de Rais.
  • En est sorti l'album du groupe de black metal symphonique Cradle of Filth : Godspeed on the Devil's Thunder, celui-ci a pour thème principal la vie de Gilles de Rais, et Tiffauges est le titre de la cinquième piste de cet album.
  • Dans le jeu vidéo « Shadow Hearts: Covenant », le héros, Yuri, a l'occasion de se rendre dans le château de Tiffauges pour y rencontrer la divinité Amon afin d'obtenir ses pouvoirs. Le château ne peut être traversé que par tout un jeu de miroirs à travers lesquels il faut passer, et est hanté par les fantômes des nombreux jeunes enfants qui y sont morts.
  • Le groupe de Black Metal poitevin Quintessence sort son deuxième album Le Bourreau de Tiffauges, en .
  • Dans la série de livres fantastique jeunesse Les Revenants, Jean Molla fait de Tiffauges et du château de Gilles de Rais le point culminant de l'intrigue.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Réélu en 1995, 2001 et 2008.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 10491 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Tiffauges », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Tiffauges et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a et b Yves Blomme, Poitou gothique, éditions Picard, 1993, (ISBN 2-7084-0439-3).
  16. Poitou gothique,Yves Blomme, éditions Picard, 1993, (ISBN 2-7084-0439-3).
  17. Yves Gras, La Guerre de Vendée, p. 129.
  18. Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
  19. Résultats officiels pour la commune Tiffauges
  20. Résultats officiels pour la commune Tiffauges
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tiffauges (85293) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  27. Les amis du vieux Tiffauges, L'Eglise Saint-Nicolas
  28. Musée du Patrimoine sur Saint-Jean
  29. Fondation Patrimoine sur Saint-Niclas
  30. Vendéens et Couans sur Saint-Niclas

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Joseph Aubert, Le Vieux Tiffauges, Sitol-Guibert, 1976, 158 p.
  • Association Culturelle du château de Tiffauges (d'après A. Billaud), Le Château de Gilles de Rais et son histoire, 2001, 68 p.
  • Emilie Carpentier, Les prisonniers de Tiffauges, Illustrations de E.Mas et Guillaume, Hatier, 1892. (Roman)
  • Paul Marchegay, « Recherches sur les seigneurs de Tiffauges (1099-1789) », in Annuaire départemental de la Société d'émulation de la Vendée, 19e année, (2e année de la 2e série), La Roche-sur-Yon, L. Gasté imprimeur, 1872, p. 183-226, [lire en ligne].
  • Paul Plessy, « La papeterie à Tiffauges en Vendée », Le Marcheton, no 9, 2011, p. 65-76.
  • Paul Plessy, « Tiffauges en Vendée, Histoire d'un site industriel sur la Sèvre Nantaise », Amis du Vieux Tiffauges, 2009, 51 p. 1 tableau, 72 ill.
  • Louis Prével, « Histoire de Tiffauges », Bulletin de la Société archéologique de Nantes et du département de la Loire-inférieure, t. 14, 1875, p. 151-176, [lire en ligne] ; t. 15, 1876, p. 175-198, [lire en ligne] Nantes, imprimerie de Vincent Forest & Émile Grimaud.
  • Noël Roul, Jean-Pierre Brégeon, Château de Tiffauges, Chartrier de Thouars, 1255-1647, B.R.A.H.M. 2008, 48 p.
  • Rousseau (abbé), Tiffauges, Gilles de Retz dit Barbe bleue, (P.)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :