Tournoi de France de rugby à sept 2016 — Wikipédia

Paris Sevens 2016
Description de l'image Logo Paris Sevens 2016.png.
Généralités
Sport rugby à sept
Organisateur(s) World Rugby
FFR
Édition 9e
Lieu(x) France
Date du 13 au
Nations 16
Matchs joués 45
Site(s) Stade Jean-Bouin, Paris
Site web officiel www.paris7s.fr

Palmarès
Tenant du titre Afrique du Sud
Vainqueur Samoa
Deuxième Fidji
Troisième France
Plus titré(s) Nouvelle-Zélande (3 fois)
Meilleur(s) marqueur(s) Seabelo Senatla (10 essais)
Meilleur(s) réalisateur(s) Seabelo Senatla (50 points)

Navigation

Le Tournoi de France de rugby à sept 2016 est la neuvième étape de la saison 2015-2016 du World Rugby Sevens Series. Elle se déroule sur trois jours du 13 au au Stade Jean-Bouin de Paris en France[1].

Cette édition est le retour de l'étape française dans le circuit mondial, 10 ans après l'avoir quitté. Cette édition est marquée par le fait d'être l'avant-dernière étape des World Series avant les Jeux olympiques 2016.

Le tournoi est gagné par l'équipe des Samoa qui bat en finale l'équipe des Fidji sur le score de 29 à 26, après avoir été mené 26 - 7 à la mi-temps[2],[3]. La France se classe troisième et son ailier-arrière Virimi Vakatawa est nommé « impact player » du tournoi.

Présentation[modifier | modifier le code]

Équipes participantes[modifier | modifier le code]

Seize équipes participent au tournoi (quinze équipes permanentes plus une invitée) :

Stade[modifier | modifier le code]

Vue depuis une tribune dans le sens du terrain d'une tribune latérale peu remplie de spectateurs.
Stade Jean-Bouin de Paris accueille pour la troisième fois le France rugby sevens.

Le tournoi se dispute dans la capitale du pays, à Paris. Le stade Jean-Bouin, situé dans le 16e arrondissement, est choisi par les organisateurs. D'une capacité de 20 000 places et récemment rénové (en 2013), il a accueilli les deux dernières éditions du France rugby sevens (en 2005 et 2006).

Calendrier[modifier | modifier le code]

World Series et Jeux olympiques[modifier | modifier le code]

Le tournoi est la 9e et avant dernière étape des World Rugby Sevens Series 2015-2016. Le tournoi est précédé du Singapour rugby sevens 2016 (16 et ) et suivie une semaine plus tard du London rugby sevens 2016, qui clôt la saison (21 et ). Il fait partie de la dernière tournée du circuit mondial, et forme avec le London rugby sevens 2016, la tournée européenne, précédé par la tournée asiatique qui s'est déroulé quatre semaines auparavant (Hong Kong et Singapour).

Le tournoi est donc une des dernières échéances internationales avant l'épreuve olympique (au cours du mois d'août suivant).

Contexte événementiel[modifier | modifier le code]

Le tournoi se dispute en trois journées[4] :

  • Vendredi : à partir de 19 h (le premier match voit s'affronter le Kenya et le Portugal) jusqu'à environ 22 h. Chaque équipe joue son premier match de poule (soit 8 matches au total)
  • Samedi : à partir de 10 h 30 (premier match : Kenya contre Russie) jusqu'à environ 16 h 30. Fin des matchs de poules (soit 2 matchs par équipes pour un total de 16 matches)
  • Dimanche : à partir de 9 h 45 jusqu'à environ 19 h. Phases finales (soit 21 matches)

Le week-end durant lequel se dispute le tournoi, est le même que celui des finales de coupe d'Europe de rugby à XV et de Challenge européen se disputant toutes deux à Lyon. La finale du Challenge européen qui oppose les Harlequins au Montpellier HR se déroule le vendredi soir à partir de 21 h[5]. La finale de la coupe d'Europe (Racing 92 contre Saracens) se déroule le lendemain à partir de 17 h 45, soit pas pendant le tournoi[6].

De plus, le stade Jean-Bouin se situant près du Parc des Princes où se déroule un match de football de Ligue 1 à partir de 17 h. Le stade Jean-Bouin doit alors être vidé avant le début de la rencontre pour des raisons de sécurité[7].

Situation sportive[modifier | modifier le code]

Le tenant du titre est l'Afrique du Sud qui s'était imposé le en finale face aux Samoa sur le score de 33 à 12. L'équipe la plus titré depuis que l'étape fait partie des World Series (depuis 2000) est la Nouvelle-Zélande avec deux titres remportés (2000 et 2004).

Avant le début du tournoi, les Fidji, tenant du titre, sont en tête du classement général avec 8 points d'avance sur leur premier poursuivant, l'Afrique du Sud[8]. La Nouvelle-Zélande est 3e au classement et possède 12 points de retard sur les leaders du classement général. En bas du classement, le Portugal est dernier et occupe ainsi la place de relégable. Les russes, avant-dernier, ont 4 points d'avance sur leur poursuivant. Le dernier tournoi (Singapour) a été remporté par le Kenya, qui occupe la 7e avec 85 points[9].

L'équipe de France est 10e avec 58 points, derrière les Samoa (9e avec 62 points) et devant l'Écosse (11e avec 57 points). Lors du dernier tournoi, la France avait terminé en demi finale de plate face aux samoans[9].

Le Brésil est qualifié d'office à l'épreuve olympique, en tant que pays organisateur des Jeux olympiques. Ils sont ainsi invité pour la deuxième fois de la saison (après le Canada).

Arbitres[modifier | modifier le code]

Un homme en tenue en arbitre donne des instructions gestuelles.
Alexandre Ruiz, arbitre français parmi les huit sélectionnés pour le tournoi.

Les huit arbitres sélectionnés pour le tournoi font partie du groupe des douze arbitres olympiques[10] :

Effectifs[modifier | modifier le code]

Afrique du Sud[modifier | modifier le code]

Angleterre[modifier | modifier le code]

  • Tom Bowen, Cameron Cowell, Alex Davis, Richard de Carpentier, Harry Glover, Alex Gray, Charlie Hayter, Oscar Hirskyj-Douglas, Warwick Lahmert Capitaine, Ollie Lindsay-Hague, Ruaridh McConnochie, Ethan Waddleton[11].

Argentine[modifier | modifier le code]

L'Argentine fait appel à Santiago Cordero et à Matias Moroni, joueur des Jaguars en Super Rugby et ayant disputé la coupe du monde de rugby à XV 2015, pour la première fois cette saison. Javier Rojas, joueur du SC Albi, est également appelé pour la première fois cette saison.

Australie[modifier | modifier le code]

L'international à XV australien Nick Cummins est appelé pour la deuxième fois avec l'équipe d'Australie de rugby à sept en vue des Jeux olympiques. Le Toulonnais Quade Cooper souhaitait lui aussi disputer les Jeux olympiques mais n'est pas retenu pour le tournoi[13].

Brésil[modifier | modifier le code]

  • Stefano Giantorno, Martin Schaefer, Juliano Fiori, Felipe Silva, Lucas Duque, Moises Duque, Lucas Muller, Felipe Sancery, Laurent Couhet, Thiago Evaristo, Gustavo Albuquerque, Andre Silva[14].

Canada[modifier | modifier le code]

Écosse[modifier | modifier le code]

États-Unis[modifier | modifier le code]

Fidji[modifier | modifier le code]

L'entraîneur anglais des Fidji, Ben Ryan, fait appel à de nombreux joueurs de rugby à XV évoluant en Europe pour préparer le tournoi, tel que Josua Tuisova (RC Toulon), Leone Nakarawa (Glasgow Warriors), Samisoni Viriviri (US Montauban), Semi Kunatani (Stade toulousain) et Waisea Nayacalevu (Stade français)[12]. Cette sélection marque en particulier le retour de Samisoni Viriviri, meilleur joueur du monde en 2014 et qui n'avait plus joué au rugby à sept depuis un an.

France[modifier | modifier le code]

Quatre joueurs de rugby à XV sont appelés pour la préparation du tournoi, Arthur Bonneval (Stade toulousain), Jean-Pascal Barraque (Stade rochelais), Théo Millet (Stade français) et Arthur Retière (Racing 92)[17]. Le staff de l'équipe de France retient douze joueurs sur les dix-huit, tous sous contrat fédéral.

Kenya[modifier | modifier le code]

  • Andrew Amonde Capitaine, Collins Injera, Humphrey Kayange, William Ambaka, Frank Wanyama, Oscar Ayodi, Augustine Lugonzo, Samuel Oliech, Robert Aringo, Billy Odhiambo, Alex Olaba, Nelson Oyoo[19].

Nouvelle-Zélande[modifier | modifier le code]

Kurt Baker est nommé capitaine d'équipe en raison des absences de DJ Forbes, Liam Messam, Scott Curry ou encore Tim Mikkelson[20].

Pays de Galles[modifier | modifier le code]

Trois joueurs gallois (Traharne, Cross, Roach) sous contrat avec l'équipe de rugby à sept des pays de Galles sont appelés pour ce tournoi. Les autres viennent des équipes galloises de rugby à XV évoluant en Pro12 (Ospreys, Dragons, Blues et Scarlets).

Portugal[modifier | modifier le code]

Russie[modifier | modifier le code]

  • Stanislav Bondarev, Mikhail Babaev, Vladislav Sozonov, Vladislav Lazarenko, Ilya Babaev, Roman Roshchin, Eduard Filatov, Ramil Gaysin, Vitaly Zhivatov, Yury Gostyuzhev, Denis Simplikevich, German Davydov[14].

Samoa[modifier | modifier le code]

Phase de poules[modifier | modifier le code]

Poule A[modifier | modifier le code]

Classement
Rang Pays J V N D Pm Pe Diff Pts
1 Nouvelle-Zélande 3 3 0 0 85 27 +58 9
2 Kenya 3 2 0 1 68 40 +28 7
3 Russie 3 1 0 2 34 67 -33 5
4 Portugal 3 0 0 3 24 77 -53 3

19 h 00 UTC+02:00
Kenya 29 - 14 Portugal Stade Jean-Bouin, Paris

19 h 22 UTC+02:00
Nouvelle-Zélande 35 - 10 Russie Stade Jean-Bouin, Paris

10 h 30 UTC+02:00
Kenya 22 - 7 Russie Stade Jean-Bouin, Paris

10 h 52 UTC+02:00
Nouvelle-Zélande 31 - 0 Portugal Stade Jean-Bouin, Paris

14 h 03 UTC+02:00
Kenya 17 - 19 Nouvelle-Zélande Stade Jean-Bouin, Paris

13 h 41 UTC+02:00
Portugal 10 - 17 Russie Stade Jean-Bouin, Paris

Poule B[modifier | modifier le code]

Classement
Rang Pays J V N D Pm Pe Diff Pts
1 Fidji 3 3 0 0 113 31 +82 9
2 Samoa 3 2 0 1 74 64 +10 7
3 Écosse 3 1 0 2 59 62 -3 5
4 Pays de Galles 3 0 0 3 31 120 -89 3

19 h 44 UTC+02:00
Fidji 38 - 12 Écosse Stade Jean-Bouin, Paris

20 h 06 UTC+02:00
Samoa 52 - 10 Pays de Galles Stade Jean-Bouin, Paris

11 h 14 UTC+02:00
Fidji 33 - 14 Pays de Galles Stade Jean-Bouin, Paris

11 h 36 UTC+02:00
Samoa 17 - 12 Écosse Stade Jean-Bouin, Paris

14 h 47 UTC+02:00
Fidji 42 - 5 Samoa Stade Jean-Bouin, Paris

14 h 25 UTC+02:00
Écosse 35 - 7 Pays de Galles Stade Jean-Bouin, Paris

Poule C[modifier | modifier le code]

Classement
Rang Pays J V N D Pm Pe Diff Pts
1 Afrique du Sud 3 3 0 0 85 12 +73 9
2 Australie 3 2 0 1 62 50 +12 7
3 Angleterre 3 1 0 2 62 60 +2 5
4 Brésil 3 0 0 3 19 106 -87 3

21 h 12 UTC+02:00
Afrique du Sud 24 - 5 Angleterre Stade Jean-Bouin, Paris

21 h 34 UTC+02:00
Australie 38 - 0 Brésil Stade Jean-Bouin, Paris

12 h 42 UTC+02:00
Afrique du Sud 30 - 7 Brésil Stade Jean-Bouin, Paris

13 h 04 UTC+02:00
Australie 24 - 19 Angleterre Stade Jean-Bouin, Paris

16 h 15 UTC+02:00
Afrique du Sud 31 - 0 Australie Stade Jean-Bouin, Paris

15 h 53 UTC+02:00
Angleterre 38 - 12 Brésil Stade Jean-Bouin, Paris

Poule D[modifier | modifier le code]

Classement
Rang Pays J V N D Pm Pe Diff Pts
1 France 3 3 0 0 92 31 +61 9
2 Argentine 3 2 0 1 78 33 +45 7
3 États-Unis 3 1 0 2 45 72 -27 5
4 Canada 3 0 0 3 24 103 -79 3

20 h 28 UTC+02:00
Argentine 36 - 0 États-Unis Stade Jean-Bouin, Paris

20 h 50 UTC+02:00
France 42 - 5 Canada Stade Jean-Bouin, Paris

11 h 58 UTC+02:00
Argentine 28 - 7 Canada Stade Jean-Bouin, Paris

12 h 20 UTC+02:00
France 24 - 12 États-Unis Stade Jean-Bouin, Paris

15 h 31 UTC+02:00
Argentine 14 - 26 France Stade Jean-Bouin, Paris

15 h 09 UTC+02:00
États-Unis 33 - 12 Canada Stade Jean-Bouin, Paris

Phase finale[modifier | modifier le code]

Résultats de la phase finale[22].

Tournois principaux[modifier | modifier le code]

Cup[modifier | modifier le code]

Quarts de finale Demi-finales Finale
  - 11 h 13 UTC+02:00       - 15 h 03 UTC+02:00       - 18 h 15 UTC+02:00
  Nouvelle-Zélande  17
  Argentine  19  
  Argentine  12
  - 11 h 35 UTC+02:00
    Samoa  14  
  Afrique du Sud  10
  Samoa  21  
  Samoa  29
  - 11 h 57 UTC+02:00
    Fidji  26
  France  24
  - 15 h 25 UTC+02:00
  Kenya  5  
  France  5
  - 12 h 19 UTC+02:00 Match pour la 3e place
    Fidji  22  
  Fidji  17   - 17 h 41 UTC+02:00
  Australie  15     Argentine  17
  France  26

Bowl[modifier | modifier le code]

Quarts de finale Demi-finales Finale
  - 9 h 45 UTC+02:00       - 13 h 35 UTC+02:00       - 16 h 45 UTC+02:00
  Russie  33
  Canada  0  
  Russie  7
  - 10 h 07 UTC+02:00
    Angleterre  19  
  Angleterre  21
  Pays de Galles  14  
  Angleterre  10
  - 10 h 29 UTC+02:00
    Écosse  28
  États-Unis  19
  - 13 h 57 UTC+02:00
  Portugal  17  
  États-Unis  12
  - 10 h 51 UTC+02:00
    Écosse  14  
  Écosse  38
  Brésil  14  

Matchs de classement[modifier | modifier le code]

Plate[modifier | modifier le code]

Demi-finales Finale
  - 12 h 51 UTC+02:00       - 16 h 17 UTC+02:00
  Nouvelle-Zélande  19
  Afrique du Sud  29  
  Afrique du Sud  17
  - 13 h 13 UTC+02:00
    Australie  7
  Kenya  7
  Australie  26  

Shield[modifier | modifier le code]

Demi-finales Finale
  - 12h 51 UTC+02:00       - 17 h 13 UTC+02:00
  Canada  12
  Pays de Galles  17  
  Pays de Galles  19
  - 13 h 13 UTC+02:00
    Portugal  24
  Portugal  24
  Brésil  5  

Bilan[modifier | modifier le code]

Statistiques sportives[modifier | modifier le code]

  • Meilleur marqueur du tournoi : Le Sud-Africain Seabelo Senatla fini en tête du classement des meilleurs marqueurs avec 50 points inscrits, uniquement par l'intermédiaire d'essais.
Cinq meilleurs marqueurs du tournoi
Place Nom Équipe Points
1 Seabelo Senatla Afrique du Sud 50
2 Tila Mealoi Samoa 49
3 Terry Bouhraoua France 45
4 Scott Wight Écosse 38
5 Cecil Afrika Afrique du Sud 31
  • Meilleur marqueur d'essais du tournoi : Seabelo Senatla (10 essais)[23]
  • Joueur de la finale : Faalemiga Selesele
  • Impact Player : Virimi Vakatawa[24]
  • Équipe type : L'équipe type du tournoi est composée de deux Fidjiens, deux Français, un Argentin, un Samoan et un Sud-Africain.
Poste Nom Équipe Classement
Avants Alex Müller

Faalemiga Selesele

Jasa Veremalua

Argentine

Samoa

Fidji

4e

1er

2e

Demi Terry Bouhraoua France 3e
Arrières Josua Tuisova

Virimi Vakatawa

Seabelo Senatla

Fidji

France

Afrique du Sud

2e

3e

5e

Affluences et réception populaire[modifier | modifier le code]

L'affluence total sur trois jours de compétition est de 50 000 entrées selon le vice-président de la FFR, Jean-Louis Boujon[25]. Quant au bilan général de l'événement, il ajoute : « Si on prend en considération nos objectifs, c'est une réussite. Moi-même je le reconnais, ce n'était pourtant pas gagné au départ. Mais on a rempli le contrat sportif, organisationnel et populaire »[25]. Le tournoi est une réussite aussi du côté des supporteurs qui ont participé à la mise en place d'une bonne ambiance[26].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « portail d'accueil de l’événement », sur www.worldrugby.org, World Rugby (consulté le )
  2. « Paris Sevens: Samoa pulls off shock win against series leader Fiji », sur CNN
  3. « Les Samoa sur les toits de Paris », sur www.worldrugby.org, World Rugby, (consulté le )
  4. « Rugby à 7 - Sevens - Circuit mondial : Le programme complet de l'étape de Paris (13-14-15 mai 2016) », sur Rugbyrama, (consulté le )
  5. « EN DIRECT / LIVE. Harlequins - Montpellier - Challenge Cup - 13 mai 2016 », sur Rugbyrama, (consulté le )
  6. « EN DIRECT / LIVE. Racing Metro 92 - Saracens - Champions Cup - 14 mai 2016 », sur Rugbyrama, (consulté le )
  7. « Sevens - Paris : Entre 14 000 et 18 000 personnes attendues chaque jour », sur Rugbyrama, (consulté le )
  8. worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  9. a et b « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  10. « Paris 7S : Alexandre Ruiz, objectif Rio ! - FFR », sur www.ffr.fr (consulté le )
  11. a b et c worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  12. a b et c Thibault Perrin, « Rugby à 7. Du lourd au Paris 7s avec SBW, Nick Cummins, Josua Tuisova et Perry Baker », sur Le Rugbynistère (consulté le )
  13. « Australie 7 - Quade Cooper ne sera pas aux JO de Rio », sur Rugbyrama, (consulté le )
  14. a b c d et e worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  15. worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  16. « 2015/16 HSBC World Rugby Sevens Series - Paris - Fiji 7s », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  17. Le Club Rugby, « Rugby à 7 : Le groupe Bleu pour Paris et Londres - Le Club Rugby », sur Le Club Rugby (consulté le )
  18. worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  19. « Ayimba Makes Two Changes For Paris And London - Kenya Rugby Union KRU », sur www.kru.co.ke (consulté le )
  20. a et b « Baker to captain NZ Sevens », sur Stuff (consulté le )
  21. « Wales Sevens name squad for Paris », sur www.wru.co.uk (consulté le )
  22. (en) « 2015/16 HSBC Sevens World Series - Paris - Results », sur www.worldrugby.com, World Rugby (consulté le )
  23. « 2015/16 HSBC World Rugby Sevens Series - Paris - Statistics », World Rugby, (consulté le )
  24. worldrugby.org, « HSBC Sevens World Series », sur www.worldrugby.org (consulté le )
  25. a et b « Rugby à 7 - Paris Sevens: "Une réussite" selon la FFR qui dénombre "50 000 entrées" », sur Rugbyrama, (consulté le )
  26. Clément Dossin, « Une crémaillère d'enfer », L'Équipe,‎ (lire en ligne)

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]