Alexandre Bompard — Wikipédia

Alexandre Bompard
Fonctions
Président-directeur général
Groupe Carrefour
depuis le
Président-directeur général
Fnac
-
Président-directeur général
Europe 1
-
Directeur des sports (en)
Groupe Canal+
-
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Alexandre Joubert-BompardVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Alain Bompard (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Autres informations
Distinction

Alexandre Joubert-Bompard, dit Alexandre Bompard, né le à Saint-Étienne (Loire), est un haut fonctionnaire et chef d'entreprise français.

D'abord inspecteur des finances, il préside Europe 1 de 2008 à 2010, puis la Fnac de 2011 à 2017. Depuis le , il est président-directeur général du groupe Carrefour.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille et études[modifier | modifier le code]

Alexandre Joubert-Bompard est né le à Saint-Étienne[1] et grandit à Megève. Sa mère est commerçante. Son père, Alain Bompard, est chef de l'antenne Rassemblement pour la République (RPR) de Haute-Savoie, maire adjoint de Megève en 1983[2], puis chef d'entreprise et président du club de football de l'AS Saint-Étienne entre 1997 et 2003[3].

Il envisage son entrée en Institut d'études politiques durant son cursus scolaire au lycée Berthollet à Annecy[4]. Il est admis à l'Institut d'études politiques de Paris et est diplômé de la section Service public en 1994[5]. Il y prépare le concours de l'École nationale d'administration (ENA), où il est admis dans la promotion Cyrano-de-Bergerac (1999). Son classement au quatrième rang lui permet de choisir l'Inspection des Finances[2].

Parcours public[modifier | modifier le code]

De 2001 à 2002, après avoir participé à l’écriture du rapport L’Entreprise et l’hexagone[6] (Édition de Bercy-2001), il devient inspecteur des finances.

En 2003, après un an comme chargé de mission auprès du chef du service de l'Inspection générale des finances, il occupe le poste de conseiller technique auprès de François Fillon, alors ministre des Affaires sociales et du Travail[7].

Dirigeant d'entreprise[modifier | modifier le code]

Canal+[modifier | modifier le code]

Il entre en 2004 chez Canal+ comme directeur de cabinet du président Bertrand Meheut, et en devient directeur des sports en juin 2005, en remplacement de Michel Denisot[8].

Il réussit à obtenir les droits de la Ligue 1 de football[9], et négociant le rachat de TPS[10].

Europe 1[modifier | modifier le code]

Il prend la tête d'Europe 1 en qualité de président-directeur général de la radio, et de sa filiale « sport », en remplacement de Jean-Pierre Elkabbach en [11]. Il remanie rapidement en profondeur la grille des programmes pour la rentrée 2008, avec le recrutement de plusieurs personnalités de la télévision (Michel Drucker, Marc-Olivier Fogiel, Marie Drucker, Alexandre Ruiz), mais aussi en évinçant d'autres présentateurs (Michel Cymes, Isabelle Morizet…).

De nombreux changements sont également effectués au sein de la rédaction afin de privilégier l'émergence de nouveaux formats[12]. Consécutivement à ces choix, l'audience de la station cesse de baisser pour revenir au-dessus de 9 % et dépasse les 10 % de janvier à [13].

Pour sa seconde saison à la tête d'Europe 1, il travaille à la réorientation du format « news and talk[pas clair] » vers une programmation généraliste, à travers l'arrivée de Nagui et le retour du Top 50[14], tout en réaffirmant sa stratégie à long terme de diversifier les revenus de l'entreprise à travers le partage d'intérêts économiques avec l'industrie culturelle (coédition et coproduction, notamment)[15].

Sous sa présidence, la station connait des recettes publicitaires croissantes, une position de prédominance sur les podcasts[16], un club des auditeurs dynamique et un site internet à la fréquentation forte, et décroche deux records d'audience en 2010[17].

Au printemps 2010, son nom est régulièrement cité dans les médias comme possible successeur de Patrick de Carolis à la tête de France Télévisions[18]. La présidence de l'audiovisuel public français, dont le mode de désignation est alors largement débattu à la suite de la réforme initiée par Nicolas Sarkozy, revient finalement à Rémy Pflimlin, ancien directeur de France 3.

Fnac[modifier | modifier le code]

Alexandre Bompard au prix du roman Fnac 2013.

Le est annoncé son départ de la présidence d'Europe 1 pour la présidence de la Fnac, filiale du groupe PPR (rebaptisé Kering en 2013) spécialisée dans la distribution de biens culturels et technologiques[19]. Il succède ainsi à Christophe Cuvillier au début de l'année 2011 et est remplacé par Denis Olivennes à la tête d'Europe 1[20].

Face à la concurrence du commerce en ligne et à l'érosion du marché de la musique et de la vidéo, il présente en un plan stratégique de transformation de l'enseigne baptisé « Fnac 2015 » et reposant sur quatre piliers : l'élargissement de l'offre, le renforcement de la relation client, le développement du parc de magasins dans les villes moyennes et la mise en place d'une intégration multicanale entre les enseignes physiques et le site fnac.com[21].

Pour renforcer la stratégie numérique de l'enseigne et contrer le Kindle d'Amazon, il annonce en le lancement d'une liseuse en partenariat avec le constructeur canadien Kobo[22]. Commercialisée pendant les fêtes de fin d'année, la liseuse atteint ses objectifs de vente en deux semaines, avec 30 000 exemplaires vendus[23]. Depuis son lancement, le Kobo s'est vendu à plus de 180 000 exemplaires[24].

En , il pilote l’introduction en bourse de la Fnac[25], dans un contexte difficile pour le secteur marqué notamment par la liquidation de l’enseigne Virgin Megastore[26]et la numérisation de l’économie[27]. Le cours de référence, fixé à 22 euros par action, dévisse rapidement à la suite du désengagement attendu des actionnaires de la maison-mère, Kering[28]. L’action rebondit ensuite grâce à l’arrivée de nouveaux fonds d'investissement français et étrangers, intéressés notamment par la diversification du modèle économique de la Fnac [29] et le développement de nouvelles activités davantage rentables comme la distribution de produits d’électroménager haut de gamme [30].

Alexandre Bompard est responsable du développement de nombreuses innovations au sein de la FNAC : location d’appareils high-tech, streaming avec Fnac Jukebox, développement d’un rayon papeterie et de partenariats dans la billetterie[31].

Rachat de Darty[modifier | modifier le code]

Le , après quatre mois de négociations, Alexandre Bompard annonce le mariage entre la Fnac et Darty, qui pèse alors trois milliards de chiffres d’affaires de plus que la Fnac[32]. Ce rachat, déroulé dans la nuit du , a nécessité de convaincre Vincent Bolloré à investir 159 millions d'euros, et des banques 950 millions d'euros[33].

Pour verrouiller cette « promesse irrévocable » des fonds Knight Vinke et DNCA, Alexandre Bompard doit encore réussir à prendre le contrôle de plus de 50 % du capital de Darty[34] dans le cadre d’une offre publique d’achat (OPA) en concurrence avec Conforama, intéressée par un mariage avec Darty depuis début 2016[34].

En , la FNAC atteint la barre des 50 % d’actions en acquérant d’abord 18 % environ, puis les actions restantes les jours suivants[34].

En , l’Autorité de la concurrence française donne son accord pour ce rapprochement, moyennant la cession de six magasins[35]. Au , la Fnac est déjà assurée de détenir environ 92 % du groupe au minimum. Le nouveau PDG sera Alexandre Bompard, qui siège également au conseil d’administration du nouvel ensemble, dont le nom sera « Fnac Darty »[35]. Le Groupe Fnac détient finalement au un total de 98,5 % du capital de Darty[36].

Lors de sa prise de fonction chez Carrefour le , il est remplacé par Enrique Martinez en tant que Directeur général et Jacques Veyrat, président du Conseil d'administration[37].

PDG de Carrefour (2017-)[modifier | modifier le code]

Le , le Conseil d'administration du groupe Carrefour annonce sa prise de fonction effective le [38].

Le , après six mois à la tête du groupe, il annonce son plan stratégique, intitulé « Carrefour 2022 », qui fixe comme objectif pour le groupe de « devenir le leader mondial de la transition alimentaire pour tous », établissant un parallèle avec la transition énergétique[39],[40],[41].

Pour illustrer la transition alimentaire, Alexandre Bompard cite parmi les actions déjà engagées ou à venir la gestion des ressources, la durabilité des emballages, la réduction du gaspillage alimentaire, les achats responsables, la démocratisation du bio et la qualité des marques du distributeur[42].

Alexandre Bompard présente quatre axes de transformation : l'organisation, qu'il souhaite considérablement simplifier ; la productivité et la compétitivité, avec des annonces de réduction de coûts à hauteur de deux milliards d'euros ; l'omnicanal, avec des investissements dans les magasins de proximité, le numérique et le commerce en ligne ; et l'offre alimentaire pour une alimentation plus saine avec des investissements dans les produits frais, le bio et les marques propres[43].

Il annonce notamment l'abandon de 500 projets, le déménagement du siège du groupe de Boulogne-Billancourt à Massy (déjà siège de l'enseigne Carrefour) en 2019, la suppression de 2 400 emplois en France[44], via des départs volontaires, la fermeture de 273 magasins anciennement Dia déficitaires[45], et le passage de cinq hypermarchés en location-gérance. Ce dernier point en particulier suscite l'opposition des syndicats de travailleurs[46].

Alexandre Bompard annonce aussi des partenariats avec Fnac Darty, Showroom Privé et Tencent en Chine, pour le commerce en ligne alimentaire[47]. Il souhaite renforcer les formats de proximité, avec l'ouverture de 2000 magasins de proximité en cinq ans. et annonce l'ouverture de 170 drives. Pour le numérique, il annonce 2,8 milliards d'euros d'investissements en cinq ans, soit une multiplication par six[48], afin de devenir le leader du commerce en ligne alimentaire en France[47]. Il annonce aussi la réorientation des investissements marketing vers le numérique, de 8 % à 50 %[49]. Concernant l'offre alimentaire, il souhaite investir dans les produits frais pour les faire croître trois fois plus vite que le reste de l'offre ; dans le bio avec comme objectif de multiplier le chiffre d'affaires par cinq en 2022[45],[50] ; et le développement des marques propres qui doivent représenter un tiers du chiffre d'affaires en 2022.

À la suite de la crise du Covid-19 de 2020, plus de la moitié des hypermarchés Carrefour de France seraient dans le rouge, soit 104 sur 185. Pendant le confinement, le chiffre d’affaires des magasins Carrefour de l’Hexagone a baissé de 15 à 20 %[51].

Il déclare s'opposer à l'idée d'une « taxe Covid » sur la grande distribution proposée par plusieurs élus afin de mettre à contribution les « gagnants de la crise » face au coût de la pandémie. Malgré des résultats positifs en 2020, il déclare que cet impôt exceptionnel « me gêne un peu parce que la mobilisation au quotidien des équipes depuis un an est exceptionnelle ». Il appelle d'abord à faire respecter l'équité fiscale, en déclarant : « Est-ce qu'à activité égale et à résultat égal, Carrefour paye autant qu'Amazon? Non, Carrefour paye beaucoup plus »[52].

Fin mai 2021, son mandat de PDG de Carrefour est renouvelé pour trois ans[53]. En juin 2022, il s'engage à renforcer l’inclusion et la visibilité des personnes LGBT+ s’inscrivant dans la continuité des actions menées par Carrefour afin de promouvoir l’égalité et la diversité dans l’entreprise[54].

Autres activités[modifier | modifier le code]

Il est Young Leader[55] (2009) de la French-American Foundation. Il est membre permanent du jury du Prix des prix littéraires depuis 2011[56].

Il est nommé au conseil d'administration d'Orange en en remplacement de Bernard Dufau, pour la durée du mandat restant à courir de ce dernier[57].

En août 2023, il est élu président de la Fédération du commerce et de la distribution. Il succède à François Bouriez.

Vie personnelle[modifier | modifier le code]

Il est marié à Charlotte Caubel, conseillère justice de l'ancien premier ministre Édouard Philippe, qu'il avait rencontrée à Sciences Po. Il est père de trois enfants[58]. En 2022, elle est nommée secrétaire d'État chargée de l'Enfance dans le gouvernement Élisabeth Borne.

Controverses[modifier | modifier le code]

Modifications abusives de l'article Wikipédia[modifier | modifier le code]

En mai 2020, une enquête menée par des administrateurs de l'encyclopédie collaborative Wikipédia soupçonne plusieurs comptes contributeurs de la présente page d'être liés à des agences de communication visant à influer très favorablement l'image d'Alexandre Bompard[59].

Controverses relatives aux rémunérations perçues[modifier | modifier le code]

Au sein du groupe Fnac-Darty[modifier | modifier le code]

Le , Le Canard enchaîné révèle qu'Alexandre Bompard toucherait en 2015 un complément de salaire de 11,6 millions d'euros, soit un quart du bénéfice net du groupe pour l'année 2014, en sus de sa rémunération annuelle (qui s'élève en 2014 à 1,8 million d'euros)[60]. Cette rémunération est liée à un plan de performance voté deux ans plus tôt par le conseil d'administration, qui faisait varier son montant en fonction de la cotation du groupe en bourse, qui a triplé depuis lors. Cette révélation provoque une polémique alors que des suppressions de postes sont prévues dans l'entreprise[61]. En réponse aux critiques que la révélation de son bonus déclenche, Alexandre Bompard annonce vouloir réinvestir ce montant dans le groupe pour une durée de deux ans[62].

En avril 2017, le quotidien Libération révèle, sur la base d'une analyse exhaustive du document de référence de Fnac-Darty, que le montant de la rémunération d'Alexandre Bompard s'élève à 13,9 millions d'euros pour l'année 2016, soit une augmentation de 21% par rapport à l'exercice précédent. Dénonçant une rémunération « astronomique », permise grâce à l'obtention d'un « superbonus », le quotidien souligne que les émoluments du dirigeant paraissent être « disproportionnés par rapport au bénéfice net réalisé par le groupe » qui, en 2016, s'établissait à 74 millions d'euros[63].

Au sein du groupe Carrefour[modifier | modifier le code]

Alexandre Bompard a vu sa rémunération augmenter de 27 % entre 2017 et 2018, passant à 7,3 millions d’euros. Carrefour est l’une des entreprises du CAC 40 où les écarts de salaires sont les plus importants avec les rémunérations moyennes des salariés[64],[65].

Il annonce qu’il renonce pendant deux mois à 25 % de sa rémunération fixe. Celles des membres du comité exécutif sont réduites de 10 % pendant deux mois et sont gelées jusqu’à la fin de l’année 2020[66]. Alexandre Bompard et les membres du conseil d'administration diminuent également le montant de leurs jetons de présence de 25 % pour l’année 2020[66]. Ces concessions portent uniquement sur la rémunération fixe et non sur les bonus, qui représentent la plus grande partie de la rémunération d'Alexandre Bompard et des membres du conseil d'administration[67].

Le 22 avril 2020, en réaction à cette série d'annonces de la part du groupe Carrefour concernant la rémunération de son dirigeant et des membres du conseil d'administration, l'hebdomadaire Marianne ironise sur le « (tout abandon) de salaire d'Alexandre Bompard » et souligne que « ramené à l'ensemble de l'année et comparé à la totalité de ses rémunérations perçues en 2019, ce geste équivaudrait à 1,6% de ses émoluments »[68]. Selon Cash Investigation, sa rémunération 2022 est de 9,2 millions d'euros [69].

Livraison de colis alimentaires à Tsahal[modifier | modifier le code]

Alexandre Bompard est à l'origine de l'implantation controversée du groupe Carrefour en Israël[70],[71]. Pendant la guerre Israël-Hamas de 2023-2024, Carrefour livre gratuitement des colis alimentaires aux soldats de Tsahal, ce qui lui attire les foudres des militants propalestiniens[72]. Le , Alexandre Bompard est lui-même pris à partie par ces derniers au Carrefour Market du boulevard de Charonne[73].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Alexandre Bompard : d'Europe 1 à la FNAC » publié le 23 novembre 2010
  2. a et b « Les petits secrets d'Alexandre Bompard, prochain P-DG de la Fnac », Capital, (consulté le )
  3. Luc Chatel, « Saint-Etienne. Le PDG de Carrefour Alexandre Bompard serait tenté par la présidence de l'ASSE », journal,‎ (lire en ligne)
  4. « Le portrait d'Alexandre Bompard », sur lenouveleconomiste, .
  5. Marie Scot, Sciences Po, le roman vrai, Sciences Po, les presses, (ISBN 978-2-7246-3915-5)
  6. « L'entreprise et l'hexagone | Vie publique.fr », sur www.vie-publique.fr (consulté le ).
  7. Notice biographique du Who's Who in France (consulté le 7 juin 2008)
  8. Mouvements Alexandre Bompard remplace Michel Denisot à la direction des sports de Canal
  9. Fabiola Dor, « Qui est Alexandre Bompard, le tout nouveau PDG de Carrefour ? », journal,‎ (lire en ligne)
  10. « Alexandre Bompard sur les ondes », whoswho.fr, semaine du 5 au 12 juin 2008
  11. Bompard, un énarque venu de Canal+, AFP, LeParisien.fr, 3 juin 2008
  12. Europe 1 : la grande purge de Bompard », lepoint.fr, 10 juillet 2008
  13. Europe 1 vise «durablement» les 10% d'audience, LeFigaro.fr, 29 août 2011
  14. Grégoire Poussielgue avec J. C. F., « Rentrée décisive pour les radios généralistes », Les Echos, 24 août 2009
  15. « lenouveleconomiste.fr/JV/JVLNE… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. Europe 1 reste le leader des podcasts, LesEchos.fr, 21 octobre 2010
  17. Marc Pellerin, « Europe 1 perd son prodige », Le Parisien, 24 novembre 2010
  18. « Bompard à bon port chez France Télévisions ? », La Tribune,‎ (lire en ligne)
  19. « Alexandre Bompard est nommé Président-directeur général de la Fnac » publié le 23 novembre 2010
  20. Europe 1 : Denis Olivennes remplace Alexandre Bompard, LeParisien.fr, 30 novembre 2010
  21. Bompard : «Nous voulons bâtir une nouvelle Fnac», LeFigaro.fr, 19 juillet 2011
  22. La Fnac s'allie avec un canadien pour lancer le successeur du Fnacbook, L'Expansion, 11 octobre 2011
  23. Kobo by FNAC : le seuil des 30 000 liseuses vendues dépassé à Noël, ebouquin.fr, 6 janvier 2012
  24. La FNAC prête à défendre son modèle, LesEchos.fr, 18 février 2013
  25. Alexandre Bompard, agitateur de Fnac, L'Expansion, 19 juin 2013
  26. Le tribunal de commerce annonce la liquidation judiciaire de Virgin, Le Monde, 17 juin 2013
  27. FNAC: comment Alexandre Bompard veut séduire les investisseurs, Les Échos, 2 juin 2013
  28. Le cours de l’action Fnac dévisse pour son entrée en bourse, Le Huffington Post, 20 juin 2013
  29. Les résultats de la Fnac réservent une bonne surprise, Le Figaro, 10 septembre 2013
  30. La Fnac vendra machines à café et aspirateurs, Le Figaro, 28 mars 2012
  31. Comment gouverne le PDG de la Fnac, Alexandre Bompard, Challenges, 29 juin 2014
  32. « Et Alexandre devint grand », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  33. « Rachat de Darty : la Fnac relève (une dernière fois) son offre », sur Le Point, (consulté le )
  34. a b et c « Après son coup gagnant, Alexandre Bompard doit construire le nouveau groupe », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  35. a et b Le Point, magazine, « Alexandre Bompard, patron du groupe Fnac-Darty », (consulté le ).
  36. Zone Bourse, « Groupe Fnac : détient 98,5% du capital de Darty. | Zone bourse » (consulté le ).
  37. « Alexandre Bompard passe aujourd'hui de FNAC-Darty à Carrefour », sur Le Figaro, .
  38. « Alexandre Bompard sera PDG de Carrefour le 18 juillet », lesechos.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  39. « Carrefour se veut champion de la « transition alimentaire » - Les Echos », sur www.lesechos.fr (consulté le ).
  40. « Alexandre Bompard veut faire de Carrefour le champion de la transition alimentaire », L'Opinion,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. « Que retenir du plan d'Alexandre Bompard pour transformer Carrefour? », Challenges,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. « Présentation du plan de transformation « Carrefour 2022 », discours d'Alexandre Bompard » [archive du ], sur carrefour.com,
  43. « « CARREFOUR 2022 » : UNE NOUVELLE AMBITION POUR LE GROUPE », Capital.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  44. « Carrefour mise sur le bio, le web et va supprimer 2400 emplois en France », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. a et b « Big bang chez Carrefour : Alexandre Bompard s'explique », leparisien.fr,‎ 2018-01-23cet19:39:55+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  46. « "Les salariés de Carrefour vont perdre tous les accords collectifs" », sur www.europe1.fr (consulté le ).
  47. a et b LSA – Libre Service Actualités, « Alexandre Bompard dévoile la stratégie digitale à 5 ans de Carrefour (analyse) », lsa-conso.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. « Carrefour : les mesures phares de Bompard - Les Echos », sur www.lesechos.fr (consulté le ).
  49. « Carrefour : 2,8 milliards d'euros pour devenir omnicanal », usine-digitale.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  50. « Un virage bio et numérique pour Carrefour », sur www.europe1.fr (consulté le ).
  51. Lorraine Fournier, « Plus de la moitié des hypermarchés Carrefour seraient dans le rouge en France », sur Capital.fr, (consulté le ).
  52. « Le PDG de Carrefour Alexandre Bompard opposé à l'idée d'une "taxe Covid" sur la grande distribution », sur BFM BUSINESS, .
  53. « Carrefour: le mandat du PDG Alexandre Bompard renouvelé pour trois ans », sur LEFIGARO (consulté le ).
  54. « Carrefour s’engage pour l’inclusion des personnes LGBT », sur lsa-conso.fr (consulté le ).
  55. « Annuaire des Young Leaders » [archive du ], French-American Foundation-France
  56. « Le premier "Prix des prix" littéraires à Emmanuel Carrère », Culturebox,‎ (lire en ligne, consulté le )
  57. Alexandre Bompard au conseil d'administration d'Orange, Stratégies, 8 décembre 2016
  58. Qui est le nouveau patron de Carrefour, Alexandre Bompard?, parismatch.com, 9 juin 2017.
  59. Thibault Prévost, « Sur Wikipédia, le business juteux du caviardage », arrêt sur images,‎ (lire en ligne) :

    « Si les suppressions existent, ces comptes ont plus souvent tendance à ajouter du contenu. Exemple : cette fiche sur la "Transition alimentaire", modifiée par un compte (mais non-déclarée par celui-ci dans la liste de ses modifications promotionnelles), qui fait la part belle à Carrefour et son PDG Alexandre Bompard en reprenant généreusement ses éléments de langage. »

  60. BFM BUSINESS, « La vérité sur le super bonus du PDG de la Fnac » (consulté le ).
  61. « Fnac : le jackpot de Bompard ne passe pas chez les salariés | Mediapart », sur www.mediapart.fr (consulté le ).
  62. « Le PDG de la Fnac réinvestira dans l'entreprise tout l'argent du plan de performance » (consulté le ).
  63. Jérôme Lefilliâtre, « Alexandre Bompard, un PDG à 14 millions d’euros », sur Libération (consulté le ).
  64. « CAC 40 : le grand écart salarial », sur Oxfam France, (consulté le ).
  65. « Carrefour, Alstom, PSA, Sanofi... : ces poids lourds du CAC 40, symboles d’un système à la dérive », sur Basta! (consulté le ).
  66. a et b « Carrefour : Alexandre Bompard baisse son salaire, le dividende réduit de moitié » [archive du ], Capital,
  67. Dion Jack et Franck Dedieu, « Bompard, Pouyanné, Faber... Les princes du foutage de gueule patronal en 2020 », sur www.marianne.net, .
  68. Franck Dedieu, « Carrefour : le (tout petit) abandon de salaire d'Alexandre Bompard », sur www.marianne.net, 2020-04-22utc15:14:31+0000 (consulté le ).
  69. La rémunération 2022 d'Alexandre Bompard
  70. « Carrefour, premier distributeur étranger à s'implanter en Israël », Le Figaro, (consulté le )
  71. « Carrefour est « complice et acteur de la colonisation israélienne », selon un rapport associatif », sur Middle East Eye, (consulté le )
  72. Antoine Sauvetre, « Israël-Palestine : ces militants d’Alençon dénoncent la "complicité" de Carrefour », sur Actu.fr, (consulté le )
  73. « Boycott Carrefour : le PDG interpellé dans un de ses magasins (vidéo) », EuroPalestine, (consulté le )
  74. Décret du 2 mai 2017 portant promotion et nomination

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :