Liste des temples antoinistes — Wikipédia

Cette page présente une liste des temples construits par le culte antoiniste, un nouveau mouvement religieux fondé au début du XXe siècle en Belgique, présentés par pays et par ordre chronologique. Un temple est un bâtiment dans lequel le culte est pratiqué par les desservants du culte antoiniste deux fois par jour, à 10 heures et à 19 heures, excepté le vendredi et le samedi (ce dernier jour étant consacré au nettoyage du temple), avec quelques différences en France et en Belgique. Tous les temples appartiennent à l'association « Culte antoiniste », à l'exception de l'un des temples de Belgique, qui, lui, est rattaché à l'asbl « Les Disciples de Père et de Mère Antoine ». À son apogée, le culte a compté 64 temples dans le monde : 32 en Belgique, 31 en France et un à Monaco ; toutefois, certains temples de Belgique ont été vendus à partir du XXIe siècle.

Historique[modifier | modifier le code]

Historiquement, la plupart des temples antoinistes en Belgique ont été construits avant la Seconde Guerre mondiale, quand au moins l'un des fondateurs était encore en vie. Le premier temple, celui de Jemeppe-sur-Meuse, a été consacré deux années avant la mort de Louis Antoine, le fondateur du culte. D'autres temples ont souvent été construits en Belgique dans les villes thermales ou dans la campagne, et sont principalement regroupés dans la région francophone du pays — il y a seulement trois temples dans la région néerlandaise, la région flamande — et particulièrement dans la province de Liège qui totalise 21 structures. Toutefois, aucun temple n'a été bâti depuis 1968 et le développement du culte antoiniste est maintenant sur le déclin dans le pays, si bien que certains lieux de culte sont actuellement inusités à cause d'un manque de desservants et/ou d'argent. Le temple de Tournai a été vendu en 2001[1], suivi par ceux de Schaerbeek et de La Louvière dans les années 2010. En Wallonie, les temples antoinistes ont été inclus dans les visites organisées par l'Institut du Patrimoine wallon à l'occasion de la 28e édition des Journées du Patrimoine de 2016 dont le thème était axé sur le patrimoine religieux et philosophique du pays[2].

Au contraire, la construction de temples en France s'est poursuivie jusqu'en 1993. Le premier lieu de culte a été dédicacé en 1913 dans le 13e arrondissement de Paris. Actuellement, il y a un temple antoiniste dans la majorité des grandes villes de France, bien que la plupart d'entre eux sont situés au nord de Paris, et particulièrement dans le département du Nord où cinq temples sont en fonction[1]. Un temple antoiniste qui n'avait pas fait l'objet d'une dédicace à Tergnier a été vendu et transformé en lieu de culte de l'Église gallicane, en [3]. Pour la France, le siège social du culte fut le temple du 19e arrondissement de Paris jusqu'en , date à laquelle il fut transféré à celui du 17e arrondissement[4].

Tous les temples sont bâtis grâce à des dons anonymes ou des patronages[1].

Bâtiments par zone géographique[modifier | modifier le code]

Temples en Belgique[modifier | modifier le code]

Indique que le temple est inusité
Photos Adresse et coordonnées[5],[6],[7],[8],[9] Dédicace Notes
Jemeppe-sur-Meuse (rue Rousseau 2)
50° 37′ 09″ N, 5° 29′ 44″ E
Ce temple est le centre mondial du culte antoiniste.
Stembert (Verviers) (rue Brondé 145)
50° 36′ 07″ N, 5° 54′ 13″ E
Bierset (Grâce-Hollogne) (chaussée de Hannut 414)
50° 39′ 11″ N, 5° 26′ 52″ E
Souvret (Courcelles) (rue de l'Avenir 30)
50° 26′ 31″ N, 4° 20′ 54″ E
Villers-le-Bouillet (rue Jehay 5)
50° 33′ 42″ N, 5° 16′ 57″ E
Ecaussinnes (chaussée de Braine-le-Comte 8)
50° 34′ 02″ N, 4° 09′ 08″ E
Verviers (rue des Jardins 1)
50° 35′ 47″ N, 5° 51′ 31″ E
Lors des Journées du Patrimoine de 2016 en Belgique, ce temple a été le seul du culte à participer à l'événement[10].
Seraing (rue de Tavier 2)
50° 35′ 43″ N, 5° 30′ 33″ E
Momalle (Remicourt) (rue Lenoir 14)
50° 41′ 23″ N, 5° 22′ 01″ E
Visé (allée Verte 23)
50° 44′ 09″ N, 5° 40′ 32″ E
Forest (Bruxelles) (boulevard Guillaume Van Healen 132)
50° 49′ 24″ N, 4° 19′ 53″ E
L'architecte est Charles Rifflart.
Liège (Hors-Château 17)
50° 38′ 52″ N, 5° 34′ 42″ E
Classé monument historique, ce temple de 12 mètres de haut a été construit par François Tinlot[11].
Herstal (rue Émile Tilman 81)
50° 40′ 15″ N, 5° 38′ 05″ E
Jupille-sur-Meuse (Liège) (rue Charlemagne 150)
50° 38′ 39″ N, 5° 37′ 37″ E
Ce temple a autrefois été utilisé par l'École du Nouveau Spiritualisme.
Jumet (Charleroi) (rue Jules Destrée 140)
50° 26′ 05″ N, 4° 25′ 23″ E
Montegnée (Saint-Nicolas) (rue Malvis 69)
50° 38′ 33″ N, 5° 30′ 40″ E
Vottem (Herstal) (chaussée de Brunehaut 501)
50° 41′ 13″ N, 5° 34′ 27″ E
Huy (rue de France 22)
50° 31′ 24″ N, 5° 14′ 44″ E
Waremme (avenue Henri Monjoie 53)
50° 41′ 58″ N, 5° 15′ 36″ E
Joachim Camille, frère du Bourgmestre, en a été l'architecte.
Schaerbeek (Bruxelles) (rue Jacques Rayé 29)
50° 52′ 13″ N, 4° 22′ 58″ E
L'édifice, dont la façade avant est répertoriée dans l'inventaire du patrimoine architectural de la Région de Bruxelles-Capitale, comprenait un temple et des logements pour les desservants. Inusité depuis 2010, le bâtiment est racheté en 2014 par deux jeunes couples et transformé en maison bi-familiale à l'occasion du concours d'architecture contemporaine de 2017, remportant le premier prix[12].
Evelette (Ohey) (route de Havelange 111)
50° 24′ 26″ N, 5° 10′ 39″ E
Nandrin (Yernée-Fraineux 32)
50° 31′ 51″ N, 5° 22′ 32″ E
Schoten (Frans De Ceusterlei 18)
51° 14′ 54″ N, 4° 27′ 42″ E
Sprimont (rue Jean Schinler 29)
50° 29′ 57″ N, 5° 40′ 12″ E
Spa (rue du Père Antoine 2)
50° 29′ 22″ N, 5° 52′ 13″ E
Le temple fut précédé par une salle de lecture ouverte en 1913, au n°1 Chemin de la Platte. L'édifice actuel est en briques rouges, sa façade principale est précédée d'une marquise et comprend deux baies ogivales dans sa partie supérieure[13].
Moha (Wanze) (rue Georges Hubin 21)
50° 33′ 13″ N, 5° 11′ 11″ E
La Louvière (rue de l'Olive 33)
50° 28′ 15″ N, 4° 11′ 18″ E
1933 Inusité, le temple est vendu en à la communauté musulmane qui désire le transformer en centre socio-culturel et en mosquée[14],[15].
Angleur (Liège) (quai des Ardennes 77)
50° 37′ 06″ N, 5° 35′ 38″ E
Tournai (rue de la Borgnette 11)
50° 37′ 19″ N, 3° 22′ 15″ E
Ce temple a été vendu en 2001. En , la foudre est tombée sur le bâtiment, si bien que le pignon, qui menaçait de tomber, a dû être retiré par une entreprise[16].
Mons (avenue du Général de Gaulle 143)
50° 26′ 31″ N, 3° 56′ 46″ E
Retinne (Fléron) (rue de la Briqueterie 14)
50° 37′ 31″ N, 5° 41′ 57″ E
Ce temple n'appartient pas à l'association « Culte antoiniste », mais à l'asbl « Les Disciples de Père et de Mère Antoine ».

Temples en France[modifier | modifier le code]

Photos Adresse et coordonnées[5],[9],[17] Dédicace Historique et description
Paris, 13e arr. (34 rue Vergniaud)
48° 49′ 39″ N, 2° 20′ 43″ E
L'association cultuelle parut au Journal Officiel le , fut dissoute le , réinscrite le , et devint l'Union des associations du culte antoiniste le [7]. L'architecte du temple fut Julien Flegenheimer, et environ 600 fidèles assistèrent à la dédicace du temple, et sept salles de lectures ont été ouvertes à Paris entre 1912 et 1914[7]. Situé dans le quartier de la Butte-aux-Cailles, le temple est souvent mentionné dans les guides touristiques. Pourvu d'un clocheton à flèche, le bâtiment est construit en hauteur ; sa façade principale comprend en son centre une porte en plein-cintre et est percée de neuf baies fines réparties en groupes de trois[18].
Monaco (48 boulevard du Jardin Exotique)
43° 44′ 03″ N, 7° 24′ 51″ E
C'est le seul temple bâti à Monaco.
Vichy (7 rue Bargoing)
46° 07′ 13″ N, 3° 25′ 51″ E
Une salle de lecture se trouvait d'abord 22 rue du Bief (aujourd'hui rue du Onze-Novembre), puis fut transférée au 1 rue Antoine-Jardet de 1917 à 1920, date de création du temple[19].
Tours (75 rue d'Amboise)
47° 22′ 57″ N, 0° 41′ 14″ E
Ce temple succède à six salles de lecture, et dans les années 1950, on trouvait des groupes d'antoinistes à Angers, à Rouessé-Vassé, à Sablé, à Solesmes, à Château-Gontier et à Couptrain[20].
Villeurbanne (25 rue du Dr Ollier)
45° 46′ 04″ N, 4° 52′ 59″ E
22 ou Selon le Père Chéry, le temple était fréquenté par 150 adeptes dans les années 1950, dont plusieurs artistes de l'orchestre de l'Opéra de Lyon[20].
Caudry (13 rue de Denain)
Vervins (6 rue du Tour de Ville)
49° 50′ 11″ N, 3° 54′ 45″ E
1923 L'Unitif de indiquait des salles de lecture à Fontaine-lès-Vervins, Guise et Saint-Gobert ; d'autres s'ouvrirent à Estrées (), Sains-Richaumont () et Saint-Quentin[7].

Inclus dans l'Inventaire général du patrimoine culturel, le temple est entièrement en briques et recouvert d'ardoises ; l'architecte fut Alexandre Duchesne[21].

Aix-les-Bains (3 chemin Saint Exupéry)
45° 41′ 06″ N, 5° 54′ 52″ E
Le temple fut précédé, entre 1914 et 1920, par plusieurs salles de lectures dans la région : à Chapareillan, Chambéry, Le Touvet, Grenoble, Voiron, Bourgoin-Jallieu et Archamps ; on trouvait aussi des adeptes à Domène et Annecy[20]. L'association cultuelle, située alors chemin de la Rotonde à Chambéry, fut déclarée au Journal Officiel en 1923 et comptait alors 28 membres (31 en 1926 et 36 en 1927), principalement issus de milieux modestes[22].

Inclus dans l'Inventaire général du patrimoine culturel, le bâtiment actuel est de forme rectangulaire, comporte trois niveaux (dont des chambres à l'étage) reliés par un escalier en pierre ; la façade ouest est surmontée d'un fronton-pignon tuilé et est ornée d'une petite marquise[23].

Orange (91 rue de la Paix)
44° 08′ 08″ N, 4° 49′ 00″ E
Le temple est issu d'une salle de lecture qui s'était ouverte dans la ville en .
Paris, 19e arr. (49 rue du Pré-Saint-Gervais)
48° 52′ 50″ N, 2° 23′ 51″ E
Selon le Père Chéry, des milliers de personnes fréquentaient ce temple dans les années 1950[20]. Ce temple a été le centre français du culte antoiniste pour la France et Monaco jusqu'en .
Nantes (11 rue de la Constitution)
47° 12′ 21″ N, 1° 35′ 20″ O
Dans les années 1950, le temple regroupait une centaine de personnes, surtout des femmes issues de milieu populaire, tandis qu'on comptait des adeptes à Rennes[20].
Reims (13 rue du Docteur-Thomas)
49° 15′ 56″ N, 4° 01′ 36″ E
Nice (2 avenue de l'Assomption)
43° 43′ 16″ N, 7° 15′ 38″ E
D'après L'Unitif, des salles de lectures s'y sont ouvertes en , en avril et en  ; une autre à Roquebrune en , et une autre à Cap d'Ail en [7]. Dans les années 1950, le temple fut fréquenté par une centaine de personnes[20].
Valenciennes (4 rue de Madagascar)
50° 21′ 15″ N, 3° 29′ 39″ E
Saint-Étienne (14 rue Caussidière)
45° 27′ 25″ N, 4° 22′ 35″ E
Le temple se trouve dans le quartier du Bel-Air.
Tourcoing (68 rue de Varsovie)
50° 44′ 05″ N, 3° 09′ 58″ E
Croix (43 rue Raspail)
50° 41′ 23″ N, 3° 09′ 02″ E
Lille (23 boulevard Montebello)
50° 37′ 30″ N, 3° 02′ 30″ E
Évreux (3 rue de Dreux)
49° 01′ 01″ N, 1° 09′ 33″ E
Selon le Père Chéry, le temple a coûté 5 500 000 francs[20].
Rouen (145 boulevard Jean Jaurès)
49° 27′ 17″ N, 1° 03′ 31″ E
Selon le Père Chéry, le temple a coûté 3 900 000 francs[20].
Bernay (4 rue Anne de Ticheville)
49° 05′ 31″ N, 0° 35′ 30″ E
Dans les années 1950, une salle de lecture à Orbec réunissait une trentaine de personnes chaque dimanche après-midi. Selon le Père Chéry, ce petit temple a coûté 4 000 000 francs[20], les adeptes ayant participé à sa construction afin de réduire le coût des travaux. Répertorié sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux, l'édifice présente une façade principale triangulaire percée de deux fenêtres et précédée d'un escalier[24].
Cherbourg-Octeville (79 rue Saint-Sauveur)
49° 37′ 56″ N, 1° 37′ 45″ O
Paris, 17e arr. (10 passage Roux)
48° 52′ 59″ N, 2° 17′ 51″ E
Il s'agit du centre français du culte antoiniste pour la France et Monaco depuis 2015.
Orléans (7 rue des Juifs)
47° 54′ 13″ N, 1° 55′ 01″ E
Des salles de lecture à Savonnières (1912), Palluau-sur-Indre, Cepoy et Châlette-sur-Loing (1913) ont précédé la construction du temple, tandis qu'une autre est présente à Chartres[7]. À Bourges, une adepte a transformé pendant treize ans son salon en salle de lecture.
Marseille (32 traverse de Tiboulen)
43° 14′ 42″ N, 5° 22′ 29″ E
Roanne (3 rue de la Convention)
46° 01′ 26″ N, 4° 04′ 03″ E
Des fidèles se sont implantés à Roanne à partir de 1925 ; une personne guérie d'une paralysie parle de son expérience et permet l'ouverture d'une salle de lecture en 1937 à Roanne, ce qui conduit plus tard à l'édification du temple[25].
Bordeaux (42 rue de Goya)
44° 50′ 44″ N, 0° 35′ 14″ O
Avant la construction du temple, il y avait une poignée d'adeptes à Arcachon, dirigés par un ancien officier de marine[20].
Mantes-la-Jolie (48 rue des Coquilles)
48° 59′ 53″ N, 1° 42′ 22″ E
Conflans-Sainte-Honorine (50 avenue de Bellevue)
48° 59′ 35″ N, 2° 06′ 30″ E
Saulnes (50 rue Philippe-Auguste Rase)
49° 31′ 48″ N, 5° 49′ 00″ E
Ce petit temple fait suite à une salle de lecture à Strasbourg ouverte en [20].
Cormelles-le-Royal (6 chemin des bœufs) 1991 Banlieue de Caen
Toulouse (14 rue de Cherbourg)
43° 35′ 35″ N, 1° 25′ 47″ E
1993 Ce temple a succédé à une salle de lecture.

Salles de lecture[modifier | modifier le code]

Salle de lecture de Buxerolles.

Le culte antoiniste est également propriétaire de salles de lecture en Belgique, en France métropolitaine, sur l'île de La Réunion, en Guadeloupe, en Australie, au Brésil, en Italie, au Congo et au Luxembourg, mais aucun culte n'est célébré dans ces bâtiments qui ne sont pas dédicacés[26]. La liste de salles à travers le monde est difficile à tenir à jour car, étant parfois simplement hébergées chez des particuliers, elles sont appelées à apparaître et à disparaître beaucoup plus facilement que les temples, lesquels requièrent une construction. Par exemple, une salle de lecture en Égypte eut une courte existence et ferma en [27].

L'une des salles de lecture construite sur le modèle d'un temple est celle située au 31 Voie Romaine, à Buxerolles, commune de la périphérie nord de Poitiers. Listée dans l'inventaire du patrimoine de l'ancienne région Poitou-Charentes, cette salle de forme rectangulaire bâtie en 1963 présente trois fenêtres élancées sur sa façade principale et une verrière sur la façade où est située l'entrée[28].

Au Luxembourg, la salle de lecture se situe au 15, An Der Retsch, à Niederanven[29].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri-Charles Chéry, L'Offensive des sectes, Paris, Le Cerf, , 503 p. (OCLC 865301291)
  • Pierre Debouxhtay, Antoine le guérisseur et l'antoinisme — Les faits d'après des documents inédits, Liège, Fernand Gothier, , 321 p. (OCLC 901593304)
  • Pierre Debouxhtay, L'antoinisme, La Pensée catholique,
  • Régis Dericquebourg, Les Antoinistes, Belgique, Brepols, , 174 p. (ISBN 2-503-50325-X)

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Dericquebourg, 1993, p. 134-135 et 170-171.
  2. « 28e édition des Journées du Patrimoine en Wallonie. Patrimoine religieux et philosophique » [PDF], Institut du Patrimoine wallon, p. 7.
  3. Thibaud Verrier, « Tergnier : première messe à l'église gallicane », L'Aisne Nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Annexe au Journal Officiel de la République française. Annonce n°1204 - page 4798. 75 - Département de Paris. Association. Modification », Journal Officiel, République française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b « Temples en France, Salles de lecture en France et D.O.M., Temples en Belgique », sur le site de culte antoiniste, (consulté le ).
  6. Dericquebourg, 1993, p. 136 et 167.
  7. a b c d e et f « Louis Antoine et l'antoinisme: 1910-2010 » (consulté le ) photos, histoire, architecture, articles de presse, etc., à propos des temples antoinistes (voir la liste des temples sur la droite, cliquer sur l'un d'eux pour plus de détails).
  8. Debouxhtay, 1934 (le livre fournit des détails sur les temples alors en fonction).
  9. a et b « Liste des temples », L'Unitif, Paris, Culte antoiniste,‎ réédition actualisée, p. 4.
  10. Élodie Christophe, « À la découverte d'un temple antoiniste à Verviers », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. « Temple antoiniste », sur pss-archi.eu, (consulté le ).
  12. « Prix Architecture contemporaine 2017 », schaerbeek.be, (consulté le ).
  13. « Le temple antoiniste de Spa rue du Père Antoine », Réalités Spa,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Un centre culturel et une mosquée dans l'ancien temple Antoiniste », La Nouvelle Gazette,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « La communauté musulmane de La Louvière veut construire une mosquée et un centre culturel dans l'ancien temple antoiniste », Sudinfo.be, (consulté le ).
  16. « Tempête et orage », L'Avenir, Belgique,‎ .
  17. Dericquebourg, 1993, p. 137 et 168.
  18. « Temple Antoiniste (centre moral) », Observatoire du patrimoine religieux (consulté le ).
  19. Jérôme Mallat et Maurice Mallat, Vichy à travers les âges, Imprimerie centrale bourbonnaise, , p. 247.
  20. a b c d e f g h i j et k Chéry, 1954, p. 261-265.
  21. « Inventaire général du patrimoine culturel — Temple d'antoinistes, Vervins », Base Mérimée (consulté le ).
  22. Christian Sorrel, Les Catholiques savoyards : Histoire du diocèse de Chambéry (1890-1940), La Fontaine de Siloë, , p. 288 et 409.
  23. « Inventaire général du patrimoine culturel — Rhône-Alpes, Savoie — Aix-les-Bains, Plaine de Marlioz, Saint-Exupéry (chemin) 3 — Temple du culte antoiniste », Inventaire du patrimoine architectural et urbain d'Aix-les-Bains (consulté le ).
  24. « Temple antoiniste », Observatoire du patrimoine religieux, (consulté le ).
  25. Justin Mourez, « Faut-il se méfier des fidèles du Culte Antoiniste ? », Le Progrès, Loire, Édition du Roannais,‎ , p. 15.
  26. Dericquebourg, 1993, p. 167-168.
  27. Debouxhtay, 1934, p. 263 et 269.
  28. « L'agglomération de Poitiers : les 3 262 éléments du patrimoine étudiés », Inventaire du patrimoine de l'ancienne région Poitou-Charentes, .
  29. « Autres groupes », Religions au Luxembourg. Communautés religieuses et mouvements spirituels, 2011-2016 (consulté le ).