Rivery — Wikipédia

Rivery
Rivery
La mairie.
Blason de Rivery
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Bernard Bocquillon
2020-2026
Code postal 80136
Code commune 80674
Démographie
Gentilé Riverains
Population
municipale
3 620 hab. (2021 en augmentation de 4,81 % par rapport à 2015)
Densité 568 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 11″ nord, 2° 19′ 40″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 76 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Amiens
(banlieue)
Aire d'attraction Amiens
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-3
Législatives 2e circonscription de la Somme
Localisation
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Rivery
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Rivery
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Rivery
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Rivery
Liens
Site web http://www.ville-rivery.fr/

Rivery est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Paysage urbain (rue de Corbie).

Rivery est un bourg de la banlieue d'Amiens, jouxtant au nord-est la ville-centre, situé sur l'axe Amiens - Corbie constitué par l'ex-route nationale 29. La zone urbanisée ne comporte pas de rupture entre les deux communes, et se prolonge jusqu'à la Rocade d'Amiens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Allonville Rose des vents
Amiens N Camon
O    Rivery    E
S
Amiens Amiens
Cliquer sur la carte pour agrandir.

La commune est bordée au nord par Allonville et le faubourg Saint-Pierre de la ville d'Amiens. Camon limite le territoire à l'est, tandis qu'au sud se trouve le quartier dit « de la Vallée » de la métropole régionale. Le faubourg Saint-Pierre borne également le territoire communal à l'ouest[1],[2].

Sol, sous-sol[modifier | modifier le code]

Sur les plateaux, le sol est très majoritairement calcaire. Il prend un caractère argileux dans la vallée de la Renardière et la partie nord du village longeant le faubourg Saint-Pierre. Une couche d'humus recouvre le territoire entre le village et la Somme[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le canal de la Somme et les hortillons.

Le territoire est limité au sud par le fleuve côtier la Somme, le canal de la Somme et leurs marais, dont les terres cultivées constituent une partie des hortillonnages d'Amiens[3].

En 1899, les puits sont alimentés par une nappe phréatique située dans une couche de glaise blanche, sous la craie. L'extraction de la tourbe a généré quelques étangs[1].

Le rieux de Malaquis récolte les eaux de pluie de la rue de Corbie, de la rue du Moulin et d'une partie de la Grande Rue. Il les conduit dans la Somme[1].

Les petits canaux et la Somme servent aux maraîchers pour acheminer leurs produits à Amiens[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rivery est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amiens, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[13] et 164 433 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57 %), zones urbanisées (19,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), forêts (5,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

Logements[19] Nombre en 2016 % en 2016 nombre en 2011 % en 2011
Total 1 673 100 % 1 602 100 %
Résidences principales 1 558 93,1 % 1 510 94,2 %
→ Dont HLM 116 7,4 % 114 7,6 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
16 1,0 % 11 0,7 %
Logements vacants[Note 4] 99 5.9 % 81 5.1 %
Dont :
→ maisons 1 444 86,3 % 1 385 86,5 %
→ appartements 220 13,1 % 203 12,7 %

Projets[modifier | modifier le code]

Le projet « cœur de ville », envisagé en 2008, commence à être réalisé en 2019/2020, avec la construction d'une soixantaine de logements privés avec parking souterrain, ainsi que 1 000 m2 de surfaces commerciales, côté rue Baudrez[20]. La réalisation de ce projet permettra de développer l'offre de logement social, afin que la commune, qui ne dispose que de 10,7 % d'HLM en 2019, puisse respecter l'obligation légale d'en disposer de 20 %[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom primaire de la localité est attesté sous les formes Creusa en 1189 ; Creusses en 1648[22] ; Creuze en 1638 ; Creusses en 1648 ; Creuses en 1733 ; Creuzes en 1753[23].
Mot d'origine gauloise, de l'adjectif féminin de l'oïl cruese, creuse ( « terre » ) : « terrain en dépression »[22], en creux.

Rivery est attesté sous les formes Rivery en 1105[24] ; Riveri entre 1145 et 1196[24] ; Riveries[1] en 1579 ; Riveri[1] et Rivery-les-Amiens en 1733[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le Priape de Rivery provenant de la collection de Claude-Madeleine Grivaud de La Vincelle.

Des armes de pierre et des monnaies gallo-romaines ont été trouvées à Rivery. Elles ont été déposées dans les musées d'Amiens et de Compiègne[1].

Le musée de Picardie possède une statuette en bronze trouvée à Rivery, représentant Priape, dieu de la fertilité, datée de l'époque gallo-romaine. D'une grande finesse, elle est très bien conservée[25].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, le vidame d'Amiens, de par la baronnie de Daours, disposait du droit seigneurial de chasse au cygne. « Par gens experts, les oiseaux étaient amassés au point de la motte Rivery ou de la motte creuse »[1].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En , les habitations de Creuse, dépendance de Rivery, sont détruites par les Espagnols lors du Siège d'Amiens. Les fondations de ces maisons étaient encore visibles en 1899, sur la droite de la route de Rivery à Camon[1].

La commune de Rivery, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Creuse[26].

L'extraction de la tourbe a connu une importance considérable dans la vallée : jusqu'à 500 000 tonnes par an à la fin du XIXe siècle[27].

En 1899, le village compte cinq lieux-dits :

  • le Malaquis, 9 habitants,
  • le Chemin de Rivery à Camon, 5 hab.,
  • la route d'Allonville, 4 hab.,
  • le chemin de Querrieu, 4 hab.,
  • le chemin du Halage, 8 habitants[1].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Juin 1918, cantonnement de soldats australiens à Rivery.

En 1918, des soldats de l'armée australienne cantonnèrent à Rivery.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

De 1790 à 1801, la commune de Rivery relève de l'administration et de la Justice de paix du canton de Querrieux.

En l'an VII et jusqu'au 10 germinal de l'an VIII (), tous les mariages civils du canton sont prononcés au chef-lieu, conformément à l'article IV de la loi du 15 fructidor an VI ( ).

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de la Somme.

Après avoir dépendu du canton de Querrieux, Rivery faisait partie de 1801 à 1973 du canton d'Amiens-2, année où elle intègre le canton d'Amiens 3e (Nord-Est)[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Amiens-3.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée Amiens Métropole.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 ? Martin Lestuvez    
Les données manquantes sont à compléter.
1843 1846 Jean Baptiste Julliard    
1847 1848 Étienne Marcel    
1849 1863 Charles Grigner Lefèvre    
1864 1877 Marcel Cyr    
1878 1882 Jean-Louis Baudrez    
1882 1896 Louis Boucher    
1897 1900 Jean-Louis Baudrez    
1901 1904 Achille Jobard    
1905 1908 Edmond Boucher    
1909 1910 Florimond Jourdain    
1910 1923 Henri Debuigny    
1923 1929 Edmond Cayeux    
1929 1934 Alfred Bouchez    
1934 1936 Marcellin Petit    
1936 1945 Octave Cayeux    
1945 1947 Georges Billot    
1947 1948 Alfred Bouchez    
1948 1953 Raymond Pagnier    
1953 1964 Robert Petit    
1964 1973 André Carpentier    
1973 mars 1977 Robert Daussin    
mars 1977 mars 2001 René Carouge PCF Retraité de la SNCF
Conseiller général du canton d'Amiens-III Nord-Est (1975 → 2001)
mars 2001 mars 2008 Jean-Marie Givry app. PCF  
mars 2008 29 août 2014[28] Jacques Nowak PS Retraité
Démissionnaire
septembre 2014[29] En cours
(au 24 mai 2020)
Bernard Bocquillon PS Fonctionnaire
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Rivery s'appellent des Riverains ou des Riveraines[31].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 3 620 habitants[Note 5], en augmentation de 4,81 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
696669869499114124146
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
142158187152161182195238273
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3263844446278831 1651 3011 5061 581
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 6803 4113 4023 2873 3663 4003 2163 1713 435
2015 2020 2021 - - - - - -
3 4543 6233 620------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école Jeanne Arnaud.

Au niveau de l'enseignement primaire, la ville gère l'école maternelle Pierre-Perret et les écoles élémentaires Jean-Cayeux et Jeanne-Arnaud.

Le collège Jules-Verne permet aux élèves locaux de poursuivre leur scolarité au plus près de chez eux[35].

Sports[modifier | modifier le code]

Amiens métropole a réalisé en 2018, après une longue gestation, quatre courts extérieurs de tennis et un court couvert, pour un coût de 2,9 millions d'euros[20].

Vie associative[modifier | modifier le code]

Pôle socio-culturel.
  • Maison Pour Tous/Centre social
    Présente depuis 1983 sur le territoire de Rivery, la Maison pour Tous - centre social de Rivery accueille et accompagne au quotidien les familles. L'objectif de l'association est de permettre à chacun et chacune de devenir un citoyen actif d'une communauté vivante. Pour cela, l'association met en place de nombreuses actions collectives.
  • Club Nautique
    Le Club Nautique de Rivery permet l'apprentissage de la natation en eau plate, au cœur des hortillonnages, puis l'entrainement en eau vive sur le bassin de Picquigny. Le club permet également la découverte des hortillonnages à bord d'un kayak multiplace au plus près de l'eau.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Le festival des confitures, du chocolat et du sucre, dont la 25e édition a eu lieu en , est organisé tous les ans à Rivery[36].

Économie[modifier | modifier le code]

En 2019, Ametis, le réseau de transports en commun d'Amiens métropole, a inauguré un nouveau dépôt conçu par Cyril Foucault, du cabinet d’architectes-urbanistes L’Heudé. Il est principalement constitué d'un unique bâtiment — certifié HQE — de 6 800 m2, pour un coût de près de 20 millions d'euros et accueille 480 salariés. Il est destiné à la restructuration du réseau en accueillant les bus électriques Irizar et les autres véhicules d'Ametis, en remplacement de celui de la rue Dejean à Amiens[37],[38].

Rivery accueille un hypermarché Leclerc.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Geoffroy.
Vue des hortillonnages.
  • Église Saint-Geoffroy de Rivery, rue Thuillier-Delambre, construite en 1960 en béton précontraint[39].
  • Les hortillonnages[40],[41].
  • Le musée des Hortillonnages[42], espace de 700 m2, créé à l’incitative de René Nowak, un des derniers hortillons aidé par une association de bénévoles. Le musée est inauguré le par Pierre Bonte[43].
  • Monument aux morts, en forme d'obélisque, conçu par Louis Cloquier en 1921[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Caroline Loir, triple championne européenne de canoë-kayak, a fait ses débuts au Club nautique de Rivery.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rivery Blason
De gueules à trois pals de vair ; au franc-canton d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Inventaire général du Patrimoine culturel. Églises et chapelles des XIXe et XXe siècles (Amiens métropole). Textes : Isabelle Barbedor. Photographies : Thierry Lefébure (collection Parcours du Patrimoine n° 331). Lyon : Lieux-Dits, 2008, 72 pages. (ISBN 978-2-914528-47-4).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j et k Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Rivery, J. Jourdain, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  2. http://archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413543766ilo/1/1 Lien vers les Archives.
  3. « Amiens - Les Hortillonnages à Rivery. ND Phot., n°1826. - [carte postale format 11x28 cm] », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Rivery et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
  20. a et b « Rivery: le projet du centre-bourg est enfin sorti des cartons : À moins de quatre mois des élections municipales, nous vous proposons une série d’articles dressant le bilan de plusieurs maires de la métropole amiénoise. À Rivery, le projet de construction de logements et de commerces près de la mairie, vieux de dix ans, a été mené à bien par l’équipe du maire Bernard Bocquillon, qui ne sait pas encore s’il va se représenter », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Le projet Cœur de ville à Rivery, c’est parti : Le maire a annoncé le début des travaux d’ici 16 mois lors de ses vœux vendredi 11 janvier », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 247.
  23. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 275 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  24. a b et c Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 218 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  25. « Priape de Rivery », PlateformeOuverte duPatrimoine (consulté le ).
  26. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « L'extraction de la tourbe à Rivery, album géographique de 1906 ».
  28. Christophe Berger, « Le maire de Rivery, Jacques Nowak, a démissionné », Le Courrier picard, édition Amiens et métropole,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Nowak avait succédé à Jean-Marie Givry, en mars 2008 à la tête de la mairie de Rivery. Il avait été réélu haut la main au premier tour des municipales 2014 avec plus de 56 % des voix. Il se murmure dans son entourage qu’il ne supporterait plus les pressions liées à ses fonctions ».
  29. David Vandevoorde, « Un nouveau maire à Rivery dans la tension », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Estelle Thiebault, « Bernard Bocquillon retrouve son écharpe de maire à Rivery », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les 71,06 % des voix pour la liste « Ensemble pour l’avenir de Rivery » sont « le résultat de six ans de travail », s’est félicité Bernard Bocquillon ».
  31. Habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises » (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Site communal[réf. incomplète].
  36. Sylvie Payet, « La poire, reine de la fête des confitures de Rivery : Le 25e festival des confitures, du chocolat et du sucre se déroule à Rivery, gymnase Louis-Saguez, les 21 et 22 septembre de 9 à 18 heures. Son thème : la poire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Inauguration du nouveau dépôt de bus Ametis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur amiens.fr, (consulté le ).
  38. Bakhti Zouad, « Le dépôt de bus a été inauguré à Rivery : L’inauguration du dépôt de bus a eu lieu samedi 30 mars en marge de la balade urbaine », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Eglise paroissiale Saint-Geoffroy », notice no IA80002959, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Gérard Devaux, Les Hortillonnages d'Amiens, Amiens, CRDP, , 73 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
  41. Alain Musset, « L'agriculture sur l'eau en milieu urbain : les hortillonnages d'Amiens et les chinampas de Xochimilco (On water agriculture in urban area : hortillonnages of Amiens and chinampas of Xochimilco) », Bulletin de l'Association de géographes français, nos 2003-3 « Les territoires de l'eau »,‎ , p. 325-327 (DOI https://doi.org/10.3406/bagf.2003.2339, lire en ligne, consulté le ).
  42. [* http://www.museedeshortillonnages.fr Site du Musée des Hortillonnages].
  43. « Courrier picard, inauguration du musée »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  44. « Rivery. Obélisque, par Louis Cloquier,1921 », Région Hauts-de-France - Inventaire général. (consulté le ).