Villers-Bocage (Calvados) — Wikipédia

Villers-Bocage
Villers-Bocage (Calvados)
La mairie.
Blason de Villers-Bocage
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité Communauté de communes Pré-Bocage Intercom
Maire
Mandat
Stéphanie Leberrurier
2020-2026
Code postal 14310
Code commune 14752
Démographie
Gentilé Villersois
Population
municipale
3 130 hab. (2021 en augmentation de 0,81 % par rapport à 2015)
Densité 543 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 44″ nord, 0° 39′ 23″ ouest
Altitude Min. 95 m
Max. 217 m
Superficie 5,76 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Monts d'Aunay
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Villers-Bocage
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Liens
Site web www.villers-bocage.info

Villers-Bocage est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 3 130 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Pré-Bocage, désignation récente, sorte de seuil du Massif armoricain aux confins du Bocage virois, du Bessin et de la plaine de Caen. Son bourg est à 8 km au nord de Aunay-sur-Odon, à 12 km à l'est de Caumont-l'Éventé, à 12 km au sud de Tilly-sur-Seulles et à 25 km au sud-ouest de Caen[1].

Villers-Bocage est majoritairement dans le bassin de la Seulles, par son affluent la Seulline qui délimite le territoire à l'ouest. Quatre de ses courts affluents parcourent le territoire communal. Une frange sud-est est dans le bassin de l'Orne, donnant ses eaux à des petits affluents de l'Odon.

Le point culminant (217 m) se situe en limite nord-est, à la sortie de la D 675 du territoire. Le point le plus bas (95 m) correspond à la sortie de la Seulline du territoire, au nord-ouest. Hormis la partie urbaine, la commune est bocagère.

Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Vire[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seulline à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 992,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villers-Bocage est une commune rurale[Note 2],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Elle appartient à l'unité urbaine de Villers-Bocage, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[14] et 3 722 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34 %), zones urbanisées (24,4 %), terres arables (20,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), forêts (2,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Villiers en Boscaige en 1365[20].

L'appellatif toponymique Villers est issu du gallo-roman villare, issu lui-même du latin villa rustica, « domaine rural ». Il est ici adjoint du nom du pays, Bocage, à rapprocher de son homonyme picard où le terme désigne plus directement la végétation[20].

Le gentilé est Villersois[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , lors de sa chevauchée, le roi d'Angleterre Édouard III prend la ville. En 1366, Jeanne Bacon, veuve de Guillaume Bertrand second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec, fonde le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth. En 1417, toujours pendant la guerre de Cent Ans, Henri V d'Angleterre s'empare à nouveau de la ville.

Le , la commune est reliée à la gare de Caen par une ligne de chemin de fer qui va à l'origine jusqu'à Aunay-sur-Odon et qui est ensuite prolongée en 1891 jusqu'à la gare de Vire[22]. Le transport des voyageurs sur la ligne Caen - Vire est interrompu le [23]. Le transport de marchandises est par la suite limité à Jurques, puis définitivement suspendu. La ligne est alors déclassée et déferrée.

Le , Michael Wittmann brise l'offensive Perch de la 7e division blindée britannique qui venait de libérer la ville. Relativement épargnée jusqu'alors, la ville est entièrement détruite par les bombardements alliés qui suivent le retrait britannique. Les Allemands ne se retireront définitivement de la ville que le .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1810   Stanislas de Grandclos Meslé    
Les données manquantes sont à compléter.
v. 1850   Saillenfest[24]    
1900 1919 Émile Samson[25]   Agriculteur, boucher
Conseiller d'arrondissement de Villers-Bocage
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1929 mai 1945 Albert Doublet   Minotier et négociant en grains
mai 1945 octobre 1947 André Doublet    
octobre 1947 mars 1965 Jean Levêque RPF puis RS
puis UNR
Notaire, colonel de réserve
Conseiller général de Villers-Bocage (1945 → 1988)
mars 1965 octobre 1992
(démission)
Stanislas de Clermont-Tonnerre DVD Agriculteur
Conseiller général de Villers-Bocage (1988 → 1994)
octobre 1992[26] mars 2014 Xavier Lebrun[27],[28]
(1947-2023)
DVD Agent d'assurance
Conseiller général de Villers-Bocage (1994 → 2008)
Vice-président du conseil général (2001 → 2008)
Président de Villers-Bocage Intercom (2003 → 2011)
Vice-président de Pré-Bocage Intercom
mars 2014[29] mai 2020 Marc Hébert SE Retraité de l'enseignement
mai 2020 En cours Stéphanie Leberrurier SE Assistante de direction
2e vice-présidente de Pré-Bocage Intercom[30] (2020 → )

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et quatre adjoints[31].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 3 130 habitants[Note 4], en augmentation de 0,81 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). La population a doublé dans les quarante dernières années du XXe siècle.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1211 0101 2231 1771 1781 1781 1461 1341 127
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1051 1561 1551 1471 1391 0841 1471 0571 104
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0471 0731 1411 0391 0601 0931 2027431 431
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8251 9852 3172 6232 8452 9042 8683 0073 110
2021 - - - - - - - -
3 130--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie et tourisme[modifier | modifier le code]

La commune de Villers-Bocage est labellisée village étape depuis 2003. Elle est le siège de l'office de tourisme du Pré-Bocage.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine disparu[modifier | modifier le code]

La statue de François Richard-Lenoir.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Labels[modifier | modifier le code]

La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[39].

Villers-Bocage fait partie du label Village étape depuis 2003.

Sports[modifier | modifier le code]

L'Union sportive Villers-Bocage fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en division de district[40].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Manifestations[modifier | modifier le code]

La commune accueille une soirée du festival des Veillées d'été en août, grandes soirées pique-nique et spectacle organisées par l'association Tourisme en Bocage virois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jeanne Bacon est née du second mariage entre Roger V Bacon et Éléonore de Villiers (ou de Villers-Bocage). Elle eut un demi-frère Robert, mort en bas âge, né du premier mariage de Roger avec Aelis d'Asnières. Son autre frère Guillaume, né du second mariage de Roger, est lui aussi mort en bas âge (la plaque funéraire des deux fils de Roger Bacon est d'ailleurs visible sur l'un des murs extérieurs de l'église du Breuil-en-Bessin). Elle est l'unique héritière du fief de la famille de Molay Bacon. Deux grandes familles se disputent alors la main de Jeanne, les Bertran(d) de Briquebec et les d'Harcourt. Jeanne épouse en premières noces en 1340, Guillaume Bertran(d), vicomte de Rocheville, second fils de Robert VIII Bertrand de Bricquebec et de Laurence du Merle (sœur du maréchal Foulques du Merle). Son époux meurt au cours de la bataille de Mauron en Bretagne le . En secondes noces, elle épouse Jean Ier de Luxembourg-Ligny ( 1364), fils de Waléran II de Luxembourg-Ligny, seigneur de Ligny-en-Barrois, de Roussy et de la Roche.
Jeanne fonde de son propre chef le , le prieuré hospitalier de Sainte-Élisabeth à Villers-Bocage. Dans cet endroit seront reçus et soignés les pauvres, les passants, les femmes enceintes et les orphelins jusqu’à l’âge de sept ans. Pour commémorer cet acte de bienfaisance, une rue de la ville de Villers-Bocage porte encore son nom aujourd'hui. Jeanne décède en 1376 et est inhumée dans l'abbaye de Saint-Évroult dans l'actuel département de l'Orne. N'ayant point d'enfant, la lignée directe des Molay Bacon s'éteint et l'héritage de la maison de Molay est dispersé entre les descendants indirects de la famille.
  • Charles de Tilly (1775-1855), homme politique, maire de Villers-Bocage de 1800 à 1825[41].
  • René-Ernest Huet (1886-1914) était un artiste-peintre originaire de Villers-Bocage, prix de Rome en 1908, mort brutalement en 1914 pendant la Première Guerre mondiale à Mametz durant la bataille de la Somme.
  • Régis Bodrug, artiste-peintre reconnu dans le département du Calvados avec plusieurs centaines d'expositions à son actif dans la région Basse-Normandie (et en France, à Paris notamment) et l'obtention de plusieurs prix et distinctions dont notamment le prix Holodomor en 2013[42]. Il vit depuis 2013 à Villers-Bocage[réf. nécessaire] et a organisé dans la ville plusieurs manifestations artistiques (une exposition sur le peintre René Huet[43] originaire de Villers-Bocage en 2015 par exemple). Né d'un père d'origine ukrainienne[réf. nécessaire], son engagement artistique a à plusieurs reprises défendu l'Ukraine de ses origines (notamment pour la reconnaissance du génocide du Holodomor en France.)[pertinence contestée]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Villers-Bocage

Les armes de la commune de Villers-Bocage se blasonnent ainsi :

De gueules aux six quintefeuilles d'argent ordonnées 3, 2 et 1[44].

Il s'agit des armes de la famille Bacon à qui appartenait la seigneurie de Villers-Bocage.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre Villers-Bocage et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Villers-Bocage », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  21. « Ouest-france.fr - Mairie de Villers-Bocage »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  22. Histoire chronologique des chemins de fer européens et russes
  23. Wilez.com
  24. Annuaire du Calvados, année 1850, p.366
  25. Registres d'état-civil de Villers-Bocage 1893-1907, 1908-1930
  26. « Le maire, Xavier Lebrun, ne sera pas candidat », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Laurence Plainfossé, « Ancien maire et conseiller général, Xavier Lebrun s’est engagé pour le Bocage pendant plus de 20 ans : L'ancien maire de Villers-Bocage (Calvados), Xavier Lebrun, est décédé, mardi 3 janvier 2023, à l'âge de 76 ans, à la suite d'une longue maladie. Il fut aussi conseiller général du Calvados, de 1994 à 2008. Sa personnalité et son action ont profondément marqué la commune et le canton. », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. « Décès de Xavier Lebrun, ancien conseiller général du canton de Villers-Bocage : le communiqué de Jean-Léonce Dupont », sur calvados.fr, .
  29. « Marc Hébert a été élu 5e maire de la commune depuis la Libération », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. [1]
  31. « Villers-Bocage (14310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. a et b Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 203.
  37. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 74 (Villers-Bocage).
  38. https://www.villersbocage14.fr/la-ville/histoire/
  39. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  40. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – US Villers-Bocage » (consulté le ).
  41. Fiche de Charles de Tilly sur le site de l'Assemblée Nationale
  42. https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/regis-bodrug-recu-le-prix-holodomor-940710
  43. https://www.ouest-france.fr/normandie/villers-bocage-14310/un-livret-catalogue-edite-sur-le-peintre-rene-huet-3442844
  44. « GASO, la banque du blason - Villers-Bocage Calvados »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Marie, Villers-Bocage : champ de bataille : le combat des tigres: Wittmann contre les rats du désert, Heimdal, 1993
  • Henri Marie, Villers-Bocage Normandy 1944, éditions Heimdal, 2011
  • Frédéric Deprun, Yann Jouault : Villers-Bocage, autopsie d'une bataille, éditions Heimdal, 2015

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]