1625 en santé et médecine — Wikipédia

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Années de la santé et de la médecine :
1622 - 1623 - 1624 - 1625 - 1626 - 1627 - 1628
Décennies de la santé et de la médecine :
1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650

Cet article présente les faits marquants de l'année 1625 en santé et médecine.

Événements[modifier | modifier le code]

  •  : Jacques Stuart, roi d'Écosse et d'Angleterre, meurt atteint de porphyrie congénitale selon certains auteurs, mais, selon d'autres, plus probablement affecté de coliques néphrétiques dues aux calculs rénaux que l'autopsie révélera[1],[2],[3].
  • 1625- : En France, notamment en Anjou[4], en Bretagne[5], en Normandie, dans le Lyonnais, en Bourgogne et à Marseille, « associée à la guerre et à la disette, la peste fait de terribles ravages dans les villes et les campagnes[6] ».
  • 1625- : « La peste bovine frappe le bétail du royaume[6]. »

Publications[modifier | modifier le code]

  • Le médecin et botaniste Nicolas Ager (1568-1634) fait imprimer sa thèse sur les zoophytes (Disputatio de Zoophytis[7]).
  • Marco Antonio Alaimo (1590-1662) donne un ouvrage sur « la maladie contagieuse qui sévit alors à Palerme et dans le royaume de Sicile[8] ».
  • Pedro Camañes, médecin catalan, fait paraître à Valence ses commentaires de l'Ad Glauconem de medendi methodo, de Galien[9].
  • Sous le titre de Tétrade des plus grièves maladies de tout le cerveau[10], publication de la traduction française de la Tetras gravissimorum totius capitis affectuum[11] (1606) de Joseph du Chesne.
  • Sous la signature de Jérôme Comte, « docteur grec de la cité de Constantinople », parution à Toulouse, chez Raymond Colomiez[12], d'un almanach médical intitulé Théâtre des heures planétaires à tous les jours de l'an[13].
  • Giovanni Battista Cortesi (it) (1553 ? – 1633 ?), médecin bolognais, professeur à Messine, fait paraître des « Miscellanées médicinales, réparties en dix dizaines[14] ».
  • Parution à Leyde, chez Isaac Elzevir (en), de l'hymne au tabac (Hymnus tabaci[15]) du médecin et poète flamand Raphaël De Thoor (en) (c. 1565 – 1625).
  • Sous le titre de Sylva chirurgiae[16], Peter Uffenbach (1566-1635) donne une traduction latine de la chirurgie (1596[17]) de Gabriele Ferrara (1543-1627).
  • Jean Germain, médecin et chirurgien, frère de l’ordre des Minimes, publie son « anatomie des principaux animaux comparée à celle de l'Homme » (Trattato intorno alle figure anathomiche delli piu principali aimali […] con la simpatia et convenienza que hanno […] con il corpo humano[18]).
  • Édition posthume du Mirabilium naturae liber de Rudolf Goclenius le Jeune[19].
  • Alonso Gomez de la Parra y Arevalo fait paraître à Madrid ses Polyanthea medicis speciosa, chirurgis mirifica, études de médecine et de chirurgie[20].
  • Philibert Guybert (c.-), médecin parisien, publie son Apothicaire charitable[21] qu'il a fait précéder, en , d'un Médecin charitable, les deux œuvres devant être rééditées près de soixante fois jusqu'en [22].
  • Johannes Hornung (fl. 1611-1625), archiatre de Georges-Frédéric, margrave de Bade-Durlach, publie sa « Corbeille médicale » (Cista Medica), recueil de lettres de médecins allemands et de préceptes de médecine chimique et galénique[23],[24].
  • André Le Gros, professeur de médecine à Paris, fait paraître un régime de santé, « avec la manière de se préserver contre la peste[25] ».
  • Giovanni Manelfi[26] (1581-1654) fait paraître à Rome un traité sur les fièvres, sous le titre de De febribus theoria[27].
  • Bernat Mas, médecin catalan, fait imprimer à Barcelone un traité de peste sous le titre de Orde brev y regiment molt util y profitos pera preservar y curar de peste[28].
  • Henri de Mello, médecin de peste de la ville de Nantes, « publi[e] sur cette maladie un traité fort apprécié à l’époque[29] », sous le titre de Vraie description de la peste, avec les moyens de s’en préserver[30].
  • Traduction latine des Instituciones para el aprovechamiento y examen de los algebristas (1599), de Luis Mercado (es) (1525-1611), par Charles Le Pois (1563-1633[31]).
  • René Moreau (1587-1656), médecin parisien, donne une édition de la Schola Salernitana[32] attribuée à Jean de Milan, dont Guy Patin qualifiera de « beaux et doctes » les commentaires[33].
  • Parution de la traduction française[34] de la Tabacologia (1622) de Johann Neander (de) (1596 ? – 1630 ?).
  • Jean Pagès, docteur en médecine, fait paraître son ouvrage sur l'Œconomie des trois familles du monde sublunaire[35].
  • Simeon Partlitz (de) (1590 – c.1640), astronome, mathématicien et médecin originaire de Bohême, fait paraître à Francfort un « système harmonique de médecine » (Medici systematis harmonici[36]).
  • David de Planis Campy (1589-1644), médecin spagyriste, conseiller et chirurgien ordinaire du roi Louis XIII, publie son Epydimyomachie, ou Combat du chirurgien charitable contre la peste[37].
  • Sous le titre de Quaestionum medicarum paradoxarum et endoxarum, juxta partes medicinae dispositarum centuria, Thomas Platter (1574-1628) donne une édition posthume de « questions médicales » rédigées par son demi-frère Félix[38].
  • Michaël Reuden (1571-1630), médecin à Bamberg, fait imprimer une « lettre[39] à Adam Schwartz sur la gomme-gutte purgative[40] », substance récemment importée de Chine.
  • Johann Conrad Rhumel (1574-1630), médecin ordinaire de la ville de Neumarkt, publie son étude sur les récentes épidémies qui ont sévi dans le Haut-Palatinat de Bavière[41].
  • Galeotto Rubini dalla Mirandola, médecin à Bologne, publie un traité de peste (Trattato contra la peste nuovamente composto[42]).
  • Charles Romatet, docteur en médecine, fait paraître les deux parties de sa Crisologia, qui traitent des maladies dans leur phase critique[43].
  • Francisco Ruiz, médecin à Saragosse, en Espagne, publie son « Discours sur la composition du sucre rose[44] ».
  • Giovanni Domenico Sala (it) (1579-1644), médecin italien, fait paraître ses réflexions « sur la nature de la médecine » (De natura medicinae libellus[45]).
  • Santorio Santorio publie ses « Commentaires sur le premier chapitre du livre Ier du Canon d'Avicenne[46] ».
  • Louis de Serres publie son Discours de la nature, causes, signes, et curation des empêchements de la conception, et de la stérilité des femmes[47],[48].
  • Johann Stephan Strobelberger (1593 ? – 1630) et Joachim Burser (de) (1583-1639) publient une « concertation épistolaire sur la fièvre maligne ou à pétéchies[49] ».
  • Johann Volck (1574–1631), médecin officiel de la ville de Gotha, en Thuringe, publie un ouvrage sur le « baume de Hanau », ou bitume de Lampertsloch[50],[51].

Naissances[modifier | modifier le code]

Décès[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ (en) John C. G. Röhl, Martin Warren et David Hunt, Purple Secret : Genes, « Madness » and the Royal Houses of Europe, Bantam Press, (ISBN 0-593-04148-8).
  2. ↑ (en) Geoffrey Dean, The Turnstone : A Doctor's Story, Liverpool University Press, (ISBN 0-85323-757-3, lire en ligne), chap. 14 : « King George III and the Royal Malady », p. 128-129.
  3. ↑ (en) Pauline Croft (en), King James, Basingstoke and New York, Palgrave Macmillan, , 214 p. (ISBN 978-0-333-61395-5, présentation en ligne).
  4. ↑ François Lebrun, Les Hommes et la Mort en Anjou aux XVIIe et XVIIIe siècles : Essai de démographie et de psychologie historiques, Paris, Flammarion, , 382 p. (ISBN 978-2-08-210648-1, présentation en ligne), chap. 9 : « La Conjoncture démographique : Peste et méfaits des gens de guerre », 3 : « La Peste, de 1625 à 1640 », p. 222 et suiv..
  5. ↑ Nicolas Travers, Histoire civile, politique et religieuse de la ville et du comté de Nantes, vol. 3, Nantes, Forest, (présentation en ligne), p. 253 et suiv.
  6. ↑ a et b Thierry Sabot, « 1625-1629 : Le Démantèlement des forteresses », dans Guide chrono-thématique, Thisa, coll. « Contexte », (lire en ligne).
  7. ↑ Antoine Jacques Louis Jourdan, Biographie médicale, t. 1, Paris, C. L. F. Panckoucke, (lire en ligne), « Ager ou Agerius (Nicolas) », p. 61.
  8. ↑ (it) Marco Antonio Alaimo, Discorso di Marco Antonio Alaymo, filosofo e medico intorno alla preservatione del morbo contagioso e mortale che regna al presente in Palermo et in altre città e terre del Regno di Sicilia, nel quale si cavano ancora molti documenti per preservare da ciascun' altra infermità, Palerme, Angelo Orlandi, , in-4° (BNF 30006681).
  9. ↑ (la) Pedro Camañes, Petri Camañes Villafranchensis medici Valentini, In duos libros artis curativae Galeni ad Glauconem commentaria, in quibus omnes fere materiae quae ad praxin medicam et chirurgicam occurrunt dilucide explanantur et subtiliter explicantur, opus nunc primum in lucem editum, physicis et chirurgicis necessarium [etc.], Valentiae [à Valence], apud Michaelem Sorolla [chez Michel Sorolla], m dc xxv [1625], 2 part. ([14-2 bl.]-344-[i.e. 347-1 bl.], [1] f. de pl. dépl. ; 151-[21] p., [1] f. de pl. dépl.), ill., in-4° (lire en ligne).
  10. ↑ Joseph du Chesne, Tetrade des plus grieves maladies de tout le cerveau, composée des veilles, observations et pratique des plus sçavans et experts medecins, tant dogmatiques que hermetiques, par Joseph du Chesne, sieur de la Violette, conseiller et medecin ordinaire du roy [« Tetras gravissimorum totius capitis affectuum [etc.] »], à Paris, chez Claude Morel, m.dcxxv [1625], XI−499 p. et table, in-8° (lire en ligne).
  11. ↑ (la) Joseph du Chesne, Tetras gravissimorum totius capitis affectuum, ex doctissimorum medicorum, tu dogmaticorum cum Hermeticorum, assiduis vigiliis et accurata theoria et praxis observatione elucubrata […], Josepho Quercetano regio medico authore, Marpurgi [à Marbourg], typis Pauli Egenolphi [sur les presses de Paul Egenolff], mdcvi [1606], pièces limin., 488 p. et index (lire en ligne).
  12. ↑ (de) Jürgen Hamel, Bibliographie der astronomischen Literatur bis 1700, Berlin, Förderverein der Archenhold-Sternwarte und des Zeiss-Großplanetariums, (lire en ligne), p. 120.
  13. ↑ Lire dans l'édition de 1627 : Jérôme Comte, Theatre des heures planetaires à tous les jours de l'an, esquelles se pourront recueillir de la terre, dessous les influences celestes de diverses sortes d'herbes, racines, fueilles, fruicts, escorces, fleurs, semences, pierres, animaux, etc. à l'usage de la medecine, afin que plustost et heureusement puissent guerir les infirmitez, adjousté les maux qui viennent, causez des 7 planettes, l'amitié et la haine entr'eux, le lever du soleil la matinée, pour trouver l'heure determinée […], composé par Hierome Comte, docteur grec de la cité de Constantinople, translaté de grec en françois, à Paris, s. n., m.dc.xxvii [1627], [6]-16-[4] p. (lire en ligne).
  14. ↑ (la) Giovanni Battista Cortesi (it), Joannis Baptistae Cortesii, medici ac philosophi almi collegii Bononiensis comitis Palatini […], Miscellaneorum medicinalium decades denae, in quibus pulcherrima ac utilisima quoeque ad anatomen, chirugiam et totius fere medicinae theoriam et praxim spectantia sparsim quidem sed jucundissimo ordine continentur, Messanae [à Messine], ex typographia Petri Breae, sumptibus Raynaldi Reinae [imprimé par Pietro Brea pour le compte de Rinaldo Reina], mdcxxv [1625], pièces liminaires, 833 p. et l'index, titre gravé, in-fol. (lire en ligne).
  15. ↑ a et b (la) Raphaël De Thoor (en), Hymnus tabaci, autore Raphaële Thorio, Ludgduni Batavorum [à Leyde], typis Isaaci Elsevirii [sur les presses d'Isaac Elzevir], , 2e éd. (1re éd. 1625) (lire en ligne)
  16. ↑ (la) Gabriele Ferrara (trad. Peter Uffenbach), Sylva chirurgiae, in tres libros divisa, in quorum I : De observationibus chirurgicis, II : De medicamentis itidem ad chirurgiam pertinentibus, III : De medicamentis per destillationem acquisitis, et quam maxime etiam in chirurgia usurpandis agitur, quibus figurae non solum instrumentorum chirurgicorum in secundo libro, sed in tertio etiam vasorum destillatoriorum sunt adjecta, primo quidem a Gabriele Ferrara, chirurgo Mediolanense experientissimo, Italico idiomate descripta et collecta nunc vero per Petrum Uffenbachium reipub[licae] Moeno-Francofurtensis medicum ordinarium Latinitate donata et in lucem emissa, Francofurti [à Francfort], sumptibus Jacobi de Zetter, typis H[artmanni] Palthenii [imprimé par H[artmann] Palthen pour Jakob Zetter], anno 1625 [l'an 1625], pièces liminaires, 405 p. et l'index, in-8° (lire en ligne).
  17. ↑ (it) Gabriele Ferrara, Nova selva di cirugia, divisa in due parti, nella prima sono gli avertimenti del manual e artificioso modo di curare molte e gravi infermità del corpo humano, nella seconda sono molti medicamenti esquisiti, e molti cavati per arte destillatoria, con le sue figure [etc.], in Venetia [à Venise], presso Bartolomeo Carampello [chez Bartolomeo Carampello], m d xcvi [1596], [12]-118 f. (lire en ligne).
  18. ↑ (it) Jean Germain, Breve e sustantiale trattato intorno alle figure anathomiche delli più principali animali terrestri, aquatili et volatili, con la simpatia et convenienza que hanno, o in parte, o in tutto, con il corpo humano, con maturi e succincti discorsi dalle loro naturali proprietà di geroglifichi et moralità più curiosi, cavati, composto da F[ra]. Gio[vanni] Germano Francese, medico chirurgico et al presente religioso minimo del ordine di S. Francisco di Paola [etc.], in Napoli [à Naples], per Dominico Maccarano [par Domenico Maccarano] [année=1625, pièces limin. et 58 p., titre et pl. gravés, in-fol. (lire en ligne).
  19. ↑ (la) Rudolf Goclenius le Jeune, Mirabilium naturae liber, concordias et repugnantias rerum in plantis, animalibus, animaliumque morbis et partibus manifestans, nunc primo in lucem datus a Rodolpho Goclenius medicinarum D. et professore Marpurgense, adjecta est in fine brevis et nova Defensio magneticae curationis vulnerum ex solidis principiis, Francofurti [à Francfort], typis Egenolphi Emmelii, impensis Joan[nis] Caroli Unckelii [sur les presses d'Egenolff Emmel pour Johann Karl Unckel], anno m.dc.xxv [l'an 1625], [14]−303 p., in-8° (lire en ligne).
  20. ↑ (la) Alonso Gomez de la Parra y Arevalo, Polyanthea medicis speciosa, chirurgis mirifica, Myrepsicis valde utilis et accessaria, in quinque partes divisa, authore Alphonso Gomerio de la Parra et Arevalo, medico in oppido Tembleti, Matriti [à Madrid], ex officina Joannis Gonçalez [des ateliers de Juan Gonzalez], anno 1625 [l'an 1625], pièces limin., 180 f ts et index, in-4° (lire en ligne).
  21. ↑ Lire la réimpression en de l'édition de  : Philibert Guybert, L'Apothiquaire charitable, enseignant à faire en la maison les medicamens composez, avec grande facilité, peu de frais, et peu de temps, par Philbert Guibert, escuyer, docteur regent en la faculté de medecine de Paris, Paris, , recueilli dans Philibert Guybert, Toutes les œuvres charitables de Philbert Guybert, sçavoir, Le Medecin charitable, Le Prix et Valeur des medicamens, L'Apothicaire charitable, [etc.], Paris, Jean Jost, , 8e éd. (lire en ligne), p. 153-326.
  22. ↑ Joël Coste, La Médecine pratique et ses genres littéraires en France à l'époque moderne, bibliothèques de l'université de Paris, (lire en ligne), « La Vulgarisation médicale de Liebault à Buchan ».
  23. ↑ (fr + la) Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « De Thomas Bartholin, le 21 juillet 1663 », n. 4.
  24. ↑ (la) Johannes Hornung, Cista Medica, qua in Epistolae clarissimorum Germaniae medicorum familiares, et in re medica, tam quoad hermetica et chymica, quam etiam Galenica principa, lectu jucundae et utiles, cum diu reconditis experimentis asservantur, potissimum ex posthuma clarissimi quondam philosophiae et medicinæ doctoris, Dn. Sigismundi Schnitzeri, Ulmensis, archiatri Babebergensis p.m. bibliotheca, publico medicorum bono communicata, et fideliter non necessariis omissis, ad prælum elaborata, etc. a Johanne Hornungo Rotenburgo-Tuberano, phil. et medic. doct. illustriss, principis ac march. Badens. Dn. Georgii-Friderici archiatro, Noribergae [à Nuremberg], sumptibus Simonis Halbmayri [chez Simon Halbmayer], [1625], pièces limin., 516 p., titre avec encadr., in-4° (lire en ligne).
  25. ↑ Le Gros [André], Regime de santé souverain bien de l'homme en ceste vie, observant les preceptes de ces deux anciens auth[eurs] de la medecine rationelle Hyppoc[rate] et Gal[ien], avec la manière de se preserver contre la peste, ensemble la protestation d'Hyppoc[rate] mise en vers françois par un ancien medecin de la Faculté de Paris, dedié à Messieurs de Paris par un docteur de la mesme Faculté, à Paris, de l'imprimerie de Pierre Le-Mur, m.dc.xxv [1625], 16 p., in-8° (lire en ligne).
  26. ↑ (it) Saverio Franchi, « Manelfi, Giovanni », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 68, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  27. ↑ (la) Giovanni Manelfi, De febribus theoria, authore Joanne Manelpho Eretano Sabino medico Romano collegiato, Romae [à Rome], ex typographia Andreae Phaei [des presses d'Andrea Fei], mdcxxv [1625], pièces limin., 320 p., in-8° (lire en ligne).
  28. ↑ (ca) Bernat Mas, Orde brev y regiment molt util y profitos pera preservar, y curar de peste, fet y ordenat per Bernat Mas, en arts y medicina doctor, natural de la ciutat de Manresa, en Barcelona [à Barcelone], per Esteve Liberos [par Esteve Liberos], any 1625 [l'an 1625], pièces limin., 96 f., in-8° (lire en ligne).
  29. ↑ Jules Mathorez, « Notes sur l'histoire de la colonie portugaise de Nantes », Bulletin hispanique, vol. 15, no 3,‎ , p. 330-331 (lire en ligne).
  30. ↑ Henri de Mello, Vraye description de la peste, avec les moyens de s'en preseruer, par noble homme Henry de Mello le Jeune […], Nantes, par P[ierre] Doriou, , IV-47 p., in-4° (BNF 30923136).
  31. ↑ (la) Luis Mercado (es), DN Lud[ovici] Mercati, medici a cubiculo Philippi II et III […], Institutiones ad usum et examen eorum qui luxatoriam exercent artem […], in quibus denique agitur De ossium fractura et curatione, ex Hispanico idiomate in Latinum vertit Carolus Piso, doctor Parisiensis, nunc primum in Germania […] in lucem editae, Francoforti [à Francfort], typis Hartm[anni] Palthenii, sumptibus haeredum D. Zachariae Palthenii [sur les presses d'Hartmann Palthen pour les héritiers de D. Zacharias Palthen], m.dc.xxv [1625], pièces limin., 36 p., fig., in-fol. (lire en ligne).
  32. ↑ (la) [Jean de Milan ?] et René Moreau (éd.), Schola Salernitana, hoc est De valetudine tuenda […], adjectae sunt animadversiones novae et copiosae Renati Moreau, doctoris medici Parisiensis, Parisiis [à Paris], sumptibus Thomae Blasii [chez Thomas Blaise], m. dc. xxv [1625] (lire en ligne).
  33. ↑ Magdalena Kosluk, « Le Régime de Guy Patin : De l'enseignement à la polémique », Histoire des sciences médicales, vol. 50, no 4,‎ , p. 469 (lire en ligne).
  34. ↑ Johann Neander (de) (trad. Jacques Veyras), Traicté du tabac, ou nicotiane, panacée, petun, autrement herbe à la reyne, avec la preparation et son usage, pour la plus part des indispositions du corps humain, ensemble les diverses façons de le falsifier et les marques pour le recognoistre, composé premierement en latin par Jean Neander, medecin à Leyden, et mis de nouveau en françois par J[acques] V[eyras], œuvre tres-utile, non seulement au vulgaire, mais à tous ceux qui font la medecine et notamment à ceux qui, voyageants, n'ont moyen de porter quantité de medicaments [« Tabacologia, hoc est Tabaci seu nicotianae descriptio vel ejus preparatio et usus »], à Lyon, chez Barthelemy Vincent, m.dc.xxv [1625], [8]−342-[1] p., [8] f. de pl., ill., in-8° (BNF 31007093) (lire en ligne dans la 2e éd. (1626).
  35. ↑ Jean Pagès, L'Œconomie des trois familles du monde sublunaire, à sçavoir animale, vegetale et minerale, et particulierement de la nature de l'homme, contre toute fausse philosophie naturelle, alchymie, cabale, astrologie judiciaire, charmes, predictions, sortileges et atheisme, par Jean Pages, docteur en medecine, à Paris, chez Claude Collet, m.dc.xxv [1625], [28]−478-[55] p., in-8° (BNF 39314796) (lire en ligne dans la deuxième édition (1626).
  36. ↑ (la) Simeon Partlitz (de), Medici systematis harmonici, in quo nova plane et artificiosa discendae et exercendae medicinae methodus per praecepta brevia traditur […] opera et studio Simeonis Partlicii [etc.], Francofurti [à Francfort], sumptibus Danielis et Davidis Aubriorum et Clementis Schleichii [chez Daniel et David Aubry et Clemens Schleich], m.dc.xxv [1625], pièces limin., 290 p. et index, in-8° (lire en ligne).
  37. ↑ David de Planis Campy, Epydimyomachie ou le Combat du chirurgien charitable contre la peste [etc.], par David de Planis Campy, Paris, Pierre II Ramier, , 16 p., in-8° (BNF 31120604) (lire en ligne dans l'édition des Œuvres, de 1646 : David de Planis Campy, Œuvres, Paris, Denis Moreau, , p. 373 et suiv. : Epydimyomachie ou le Combat du chirurgien charitable contre la peste : Asseurée preservation et indubitable guerison par un seul remede, par David de Planis Campy, conseiller et chirurgien ordinaire du roy).
  38. ↑ (la) Félix Platter et Thomas Platter (éd.), Felicis Plateri quondam archiatri et profess[oris] Basil[eae] ordinar[ii] Quaestionum medicarum paradoxarum et endoxarum, juxta partes medicinae dispositarum, centuria posthuma opera Thomae Plateri […] nunc primum edita, Basileae [à Bâle], impensis Ludovici Regis [au compte de Ludwig König], mdcxxv [1625], pièces limin., 271 p. et l'index, in-8° (lire en ligne).
  39. ↑ Datée de Leipzig, 1614 (voir (la) Bartholomaeus Zorn, Botanologia medica, Berlin, Ben Johann Christoph Papen, (lire en ligne), p. 339).
  40. ↑ (la) Michaël Reuden, D. Michaelis Reudenii philosophi ac medici Bambergensis De novo gummi purgante epistola ad D. Joannem Adamum Schwartzium medicum Vinariensem, ejusdem Apologia ad D. Philippum Hechsteterum, medicum Augustanum, Lugduni Batavorum [à Leyde], apud Joannem Maire [chez Jean Maire], , 58 p., in-12 (BNF 31201135).
  41. ↑ (la) Johann Conrad Rhumel, Historia morbi, qui ex castris ad rastra, a rastris ad rostra, ab his ad aras et focos in Palatinatu Superioris Bavariae se penetravit anno CIↃ IↃC XXI et permansit CIↃ IↃC XXII [et] CIↃ IↃC XXIII, recensita a Jano-Chunrado Rhumelio philosopho, medico et per XXX annos Novi-Fori physico ordinario, Norimbergae [à Nuremberg], typis Simonis Halbmayeri [sur les presses de Simon Halbmayer], m.dc.xxv [1625], pièces limin., 111 p., in-8° (lire en ligne).
  42. ↑ (it) Galeotto Rubini, Trattato contra la peste nuovamente composto dal molto eccellente signor Galeotto Rubini dalla Mirandola, medico in Bologna, diviso in cinque parti [etc.], in Bologna [à Bologne], per Nicolo Tebaldini [par Nicolo Tebaldini], , 38 p., in-4° (lire en ligne).
  43. ↑ (la) Charles Romatet, Caroli Romateti Crisiologia sive tractatus de judiciis […] libelli duo, ex gravissimis doctissimorum […] authorum medicorum et aliorum effatis discerpti [etc.], Argentorati [à Strasbourg], typis P[aul] Ledertz [sur les presses de Paul Ledertz], , pièces limin., 122 p., in-12 (BNF 31240792) (lire en ligne la seconde édition, publiée à Paris en 1635 : (la) Charles Romatet, Caroli Romateti Bayonensis doctoris medici Crisologia medica sive Doctrina de morborum indicationibus, in duos libellos divisa, quorum alter est De crisibus, alter vero De diebus criticis […], editio secunda [etc], Parisiis [à Paris], apud Nicolaum Gasse [chez Nicolas Gasse], m.dc.xxxv [l'an 1635]).
  44. ↑ (es) Francisco Ruiz, Discurso sobre la composicion del azucar rosado solutivo, defendiendo las ordinaciones reales y las del Collegio de medicos y cirujanos, atendiendo al beneficio comun de la salud […], echo por el doctor Francisco Ruyz, medico y ciudadano de la ciudad de Zaragoça [etc.], en Çaragoça [à Saragosse], por Pedro Verges [par Pedro Verges], anno 162[5] [l'an 1625], 47-40 p. (lire en ligne).
  45. ↑ (la) Giovanni Domenico Sala (it), De natura medicinae libellus Jo[hannis} Dominici Sala Patavini primi theorici extraordinarii, in quo prolegomena explicantur, Patavii, apud Societatem Patavinam, , pièces limin., 27 p., in-4° (lire en ligne).
  46. ↑ (la) Santorio Santorio, Sanctorii Sanctorii Justinopolitani, olim in Patavino gymnasio medicinae theoricam ordinar[iam] primo loco profitentis, Commentaria in primam fen primi libri Canonis Avicennae, Venetiis [à Venise], apud Jacobum Sarcinam [chez Jacopo Sarcina], mdcxxv [1625] (lire en ligne).
  47. ↑ Louis de Serres, Discours de la nature, causes, signes et curation des empeschemens de la conception, et de la sterilité des femmes, mis en lumiere en faveur des jeunes dames ausquelles Dieu ne donne point d'enfans ez premieres années de leur mariage, par M. Louys de Serres, docteur en medecine et aggregé à Lyon, à Lyon, chez Antoine Chard, m.dc.xxv (lire en ligne).
  48. ↑ Valérie Worth-Stylianou, « Rédiger un traité sur la médecine des femmes en 1625 : Dans le sillage des Essais », Bulletin de la Société internationale des amis de Montaigne, no 74,‎ , p. 37-53 (lire en ligne).
  49. ↑ (la) Johann Stephan Strobelberger et Joachim Burser, Epistolaris concertatio super variis, tam theoricis, quam practicis quæstionibus, febrim malignam seu petechialem concernentibus, agitata inter d. Joan Stephanum Strobelbergerum […] et d. Joachimum Burserum Annæbergensium medicum, annexa est et disceptatio de venenorum natura et qualitatibus, habita inter eundem D. Burserum et M. Valentinum Hertelium Annaebergensem, Lipsiae [à Leipzig], sumtibus Zachariæ Schüreri & Matthiæ Götzen, excudebat Gregorius Ritzsch [imprimé, pour le compte de Zacharias Schürer et Matthias Goetze, par Gregorius Ritzsch], , [264] p., in-8° (lire en ligne).
  50. ↑ (de) Johann Volck, Hanawischen Erdbalsams, Petrolei oder weichen Agsteins Beschreibung, welcher bey […] Dorff Lampersloch […] gefunden wird, sampt seiner Tugend, Kraftt und Würckung […] Jedermänniglich zu Nutz […] an Tag geben worden durch Johan Volcken [etc.], Strassburg [Strasbourg], in Josiae Riheln Sel. Truckeren [chez les successeurs de Josiah Rihel], anno m.dc.xxv [l'an 1625], 38 p., in-8° (lire en ligne).
  51. ↑ Philippe-André Grandidier, Œuvres historiques inédites, t. 6, Colmar, aux bureaux de la Revue d'Alsace, (lire en ligne), Description historique et topographique de quelques villes et bourgs ainsi que des principaux endroits de l'Alsace et autres lieux des pays voisins ayant fait partie du diocèse de Strasbourg, L : « Lampersloch, ou Lamperthesloch », p. 5.
  52. ↑ (it) Marco Catucci, « Moniglia, Giovanni Andrea », dans Dizionario biografico dgli Italiani, vol. 75, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  53. ↑ Érasme Bartholin et Pierre Cuvelier (éd. et trad.), « Les Experimenta crystalli Islandici disdiaclastici d'Erasme Bartholin, traduction française commentée », Revue d'histoire des sciences, vol. 30, no 3,‎ , p. 193-224 (lire en ligne).
  54. ↑ (la) Érasme Bartholin, Erasmi Bartholini Experimenta crystalli Islandici disdiaclastici quibus mira et insolata refractio detegitur, Hafniae [à Copenhague], sumptibus Danielis Paulli [à compte de Daniel Paull], anno 1669 [l'an 1669], [4]-60 p. (lire en ligne).
  55. ↑ Antoine Jacques Louis Jourdan, Biographie médicale, t. 1, Paris, C. L. F. Panckoucke, (lire en ligne), « Barnstorf (Bernard) », p. 560.
  56. ↑ (en) Records of the Family of Gregory, London [Londres], not published [non publié], printed by Veale, Chifferiel and Co. [imprimé par Veale, Chifferiel et Cie], mdccclxxxvi [1886], [10]-92-[4] p. (lire en ligne), p. 17 et suiv..
  57. ↑ (en) Agnes Grainger Stewart, The Academic Gregories, Édimbourg et Londres, Oliphant, Anderson et Ferrier, coll. « Famous Scots Series », [1901] (lire en ligne), chap. 2 : « David Gregorie of Kinairdy, 1625-1720 », p. 19-26.
  58. ↑ Charles-Théodore Beauvais, Dictionnaire historique ou Biographie universelle classique, Paris, Charles Gosselin, m.dccc.xxvi [1826] (lire en ligne).
  59. ↑ Kilien Stengel (préf. Jean-Robert Pitte), Poètes du vin, poètes divins : Une anthologie des plus beaux poèmes de Virgile à Aragon, Écritures, , 278 p. (ISBN 978-2-35905-064-6, lire en ligne).
  60. ↑ « Thomas Lodge (1558-1625) », BNF 12380335.
  61. ↑ Henri Fluchère, « Lodge Thomas (1557-1625) », dans Encyclopaedia Universalis, s. d. (présentation en ligne).
  62. ↑ « Thomas Lodge, écrivain anglais (Londres v. 1557 – id. 1625) », dans Pascal Mougin (dir.) et Karen Haddad-Wotling (dir.), Dictionnaire mondial des littératures, Paris, Larousse, (lire en ligne), p. 744.
  63. ↑ Nicolas Lenglet Du Fresnoy et Jean-Louis Barbeau de La Bruyère (éd.), Tablettes chronologiques de l'histoire universelle [etc.], t. 2 : Histoire moderne, à Paris, chez les frères De Bure et chez P. M. Delaguette, (lire en ligne), p. 726.
  64. ↑ L[éon] Elaut (nl), « Raphaël Thorius de Bailleul, médecin, humaniste et poète », Revue du Nord, vol. 39, no 156,‎ , p. 227-234 (lire en ligne).
  65. ↑ Jean-Noël Paquot, Mémoires pour servir à l'histoire littéraire des dix-sept provinces des Pays-Bas, de la principauté de Liège et de quelques contrées voisines, t. 1, Louvain, Imprimerie académique, , 678 p. (lire en ligne), « Adrien vanden Spieghel, ou Adr. Spigelius », p. 167.
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