AREA (société d'autoroutes) — Wikipédia

AREA
logo de AREA (société d'autoroutes)

Création 15 juin 1970
Fondateurs État français
Forme juridique Société d'économie mixte à conseil d'administration
Slogan Autoroutes APRR et AREA, Nous sommes là.
Siège social Bron
Drapeau de la France France
Direction Philippe Nourry
Actionnaires Consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie Infrastructure Group aujourd'hui Intoll)
Activité Services auxiliaires des transports terrestres
Produits Gestion d'autoroutes
Société mère Autoroutes Paris-Rhin-Rhône
Effectif 845 en 2018 (effectif moyen annuel)
SIREN 702027871[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web voyage.aprr.fr

Chiffre d'affaires 638 000 000 € en 2018
Résultat net 238 000 000 € en 2018[2]

L'AREA est une société concessionnaire d'autoroutes. Elle a été fondée en 1970, sous le nom de AREA (Société des Autoroutes Rhône-Alpes). Filiale du groupe Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), elle gère des autoroutes en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Historique[modifier | modifier le code]

Un premier projet d'autoroute des Alpes est proposé dans les années 1930 par la Compagnie des Autoroutes du Sud Est de la France (CARSEF), visant à relier Lyon à Évian-les-Bains via Chambéry et Annecy. Ce projet n'aura pas de suite[3].

L'idée d'un réseau d'autoroutes alpines se précise à la fin des années 1960 avec un appel d'offres lancé en 1969[4]. On note que dans les candidats pressentis, il y a le groupement « constitué de la Société chimique, routière et d'entreprise générale, ainsi que de l'entreprise Campenon-Bernard, avec l'aide de plusieurs banques (BNP, BUP, Société générale, etc.) », qui a échoué sur les autoroutes Paris-Poitiers et Paris-Le Mans.

En janvier 2023, le groupe lance sa marque de services de mobilité « Fulli » pour « faire vivre le meilleur du voyage » à ses clients.

Premier contrat de concession[modifier | modifier le code]

Le décret du [5] établit le premier contrat de concession avec un consortium d'entreprises de BTP (Compagnie française d'entreprise, Citra-France, SPIE Batignolles, Gerland, Campenon-Bernard, Société française de dragage et de travaux publics, et la Société chimique routière et d'entreprise générale) et de banques (Banque de Suez et de l'union des mines, Banque de l'union européenne et Banque de l'union parisienne CFCB). Ces sociétés doivent constituer une société spécifique pour la concession. Ce sera l'AREA Association pour la Réalisation et l’Exploitation des Autoroutes et non pas Société des autoroutes Rhône-Alpes, immatriculée le [6] et qui modifie ses statut le pour devenir société concessionnaire[7]. Le sigle AREA porte lui-même à confusion. S'il est souvent fait référence à Autoroutes Rhône - Alpes, on trouve aussi le nom d'Association pour la Réalisation et l'Exploitation d'Autoroutes[8],[9],[10]. Cet intitulé, qui n'a pas de rattachement géographique, était peut-être le nom du consortium qui a candidaté à plusieurs réseaux autoroutiers avant d'obtenir le réseau rhônalpin. Le nom de Société des Autoroutes Alpines semble aussi avoir été employé familièrement au début[11]. Il existe encore des panneaux avec le nom Autoroutes Alpines à plusieurs entrées[12]. C'est aussi la dénomination utilisé sur autorouteinfo 107.7, la radio des autoroutes APRR : Pas d'évènements à signaler sur les Autoroutes Alpines (21 septembre 2020).

Le contrat prévoit la réalisation de l'A41 (GrenobleScientrier/jonction A40), l'A43 (Lyon–Chambéry–MontmélianPont-Royal), l'A48 (Bourgoin–Grenoble), l'A49 (Grenoble–Valence) et la desserte du futur aéroport de Satolas. La réalisation de certaines sections doit démarrer rapidement alors que d'autres sont soumises à des conditions.

Sections obligatoires du premier contrat.
Section Date de mise en service
au 31 décembre
Lyon - Bourgoin-Est 1973
Bourgoin-Est - Saint-Égrève 1975
Bourgoin-Est - Chambéry-Nord 1974
Chambéry-Nord - Annecy-Nord 1977
Meylan - Pontcharra 1976
Pontcharra - Chambéry-Sud 1977
Montmélian - Arbin 1977
Annecy-Nord - Col d'Évires 1978
Chambéry-Sud - Ragès
Contournement Est de Chambéry
1981
Sections conditionnelles du premier contrat.
Section Conditions
A43 - Aéroport de Satolas Si l'aéroport est bien décidé avant le
Arbin - Pont-Royal Si le ministère le demande avant le
Col d'Évires - Scientrier Si plus de 10 000 véhicules/jour sur la nationale mais pas après le
Voreppe - Valence Si plus de 14 000 véhicules/jour sur les deux nationales mais pas après le

La majorité des sections sont prévues en 2x2 voies. Mais les sections Villy-le-Pelloux - Scientrier et Voreppe - Valence pourront être mises en service en 1x3 voies. Elles devront être passées en 2x2 voies si le trafic est supérieur à 13 000 véhicules/jour. De même, Rives - Voiron et Montmélian - Chambéry-Sud devront être élargies à 2x3 voies si le trafic est supérieur à 32 000 véhicules/jour. Pour Lyon - Bourgoin-Est et Voiron - Saint-Égrève, l'élargissement en 2x3 voies est prévu pour 35 000 véhicules/jour et en 2x4 voies pour 63 000 véhicules/jour.

Pour les sections avec des tunnels (Bourgoin-Chambéry et contournement de Chambéry), le concessionnaire peut commencer à mettre en service les tunnels avec un seul tube à double-sens, le temps de terminer les travaux du second.

La concession doit se terminer le de la trente-septième année après la mise en service de la moitié du réseau. La moitié ayant été atteinte en 1975, cela donnait la date du .

Si les travaux démarrent bien et les ouvertures de section s'enchaînent, la fréquentation est beaucoup plus faible que prévue : « les taux de fréquentation sur l'A43 ont été jusqu'ici inférieurs de 50 % à ceux que laisseraient prévoir les études de rentabilité »[13]. La situation financière de l'AREA devient rapidement inquiétante surtout que sa gestion est aussi mise en cause. Dès 1973, la Cour des comptes s'émouvait que les actionnaires de l'AREA soient aussi ses fournisseurs quasi-exclusifs[14]. Dans son rapport de 1977, la Cour note que les chantiers sont attribués sans appel d'offres, avec en plus un versement de 14 % de frais supplémentaires tout en versant des dividendes même s'il y a des dépassements des coûts (dans la limite des 10 % de dépassement)[15],[16]. En pratique, ceci a permis aux actionnaires de récupérer plus que les capitaux qu'ils ont investis[17]. Seul le fait de ne pas devoir rembourser ses crédits immédiatement permet à l'AREA de ne pas faire faillite. Des négociations sont engagées. En contrepartie d'un assainissement de la gestion de l'AREA, d'une baisse des dividendes et d'une réduction des coûts des travaux, celle-ci obtient de nouveaux crédits garantis par l'État pour terminer les travaux. Un avenant au contrat de concession est signé.

Premier avenant[modifier | modifier le code]

Un premier avenant est validé par décret du [18].

Dans cet avenant, toutes les sections doivent être réalisées directement en 2x2 voies. La section col d'Évires - Scientrier n'est plus optionnelle et l'ensemble Annecy - Scientrier doit être livré en 1980. Un an supplémentaire est accordé pour Pontcharra - Chambéry-Sud. La date limite de décision pour Voreppe - Valence est aussi retardée d'un an. La mise en service des seconds tubes des tunnels de l'Épine et de Saint-Saturnin (sur le futur contournement de Chambéry) n'ont plus à être mis en service immédiatement mais après avoir atteint un trafic de 14 000 véhicules/jour.

La concession prend fin le si la section Voreppe-Valence est réalisée, sinon le .

La situation financière de l'AREA reste difficile, voire avec le début de remboursement de certains crédits, « on reconnaît qu'AREA va connaître prochainement des problèmes de trésorerie phénoménaux »[19]. En pratique, les sections conditionnelles sont enterrées. Il reste le problème du contournement de Chambéry qui paraît de plus en plus hypothétique. Aussi, il est demandé à l'AREA de participer à la construction de la voie rapide urbaine (VRU) de Chambéry, laquelle va servir à relier l'A43 (Chambéry-Nord) à l'A41 (Chambéry-Sud)[20].

Second avenant[modifier | modifier le code]

Un second avenant est validé par décret du [21]. La date limite de réalisation de la section Annecy-Nord - Scientrier est reporté au .

Fin 1981, le réseau initialement prévu est globalement réalisé, y compris la section optionnelle au nord de l'A41 pour rejoindre l'« Autoroute Blanche » (A40). Par contre, l'option pour Valence n'a pas été mise en œuvre. Surtout le contournement autoroutier est de Chambéry, qui n'était pas optionnel, manque. À défaut, l'AREA a participé à 50 % du coût de construction de la VRU de Chambéry, laquelle est en service partiel (double-sens sur une chaussée) fin 1981 et en service complet en 1982. Il manque aussi un premier barreau obligatoire de 2 km depuis Chignin vers Montmélian, comme amorce vers Pont-Royal, option non réalisée.

En 1984, face à ses difficultés récurrentes, l'AREA est nationalisée de fait, à travers son rachat par la Caisse des dépôts et consignations[22]. Elle est transformée en une société d'économie mixte concessionnaire d'autoroutes (SEMCA).

Second contrat de concession[modifier | modifier le code]

Un nouveau contrat qui annule et remplace le précédent contrat et ses avenants est mis en place par décret du [23].

La section Montmélian - Pont-Royal doit être réalisée pour le avec une prolongation éventuelle jusqu'à Albertville. La section Voreppe - Bourg-de-Péage doit être livrée pour le . Il n'est plus question de contournement autoroutier de Chambéry. Les terrains gelés sont libérés.

Ce contrat va être l'objet de nombreux avenants.

Avenants au second contrat.
Avenant Décret Principaux points Date de fin de concession
Contrat initial
Premier [24] Maintenant, c'est toute la section Montmélian - Pont-Royal - Albertville qui doit être livrée pour le (NDLR : pour les Jeux Olympiques d'Albertville). Grenoble - Sisteron (section Nord) et Saint-Julien-en-Genevois (A40) - Cruseilles sont mentionnés comme éléments futurs de la concession. Enfin, il est demandé à l'AREA de prendre en charge 50 % des coûts de mise en 2x2 voies de la RN 532 entre Bourg-de-Péage et Saint-Marcel-lès-Valence et qui sert de débouché à l'A49.
Deuxième [25] Purement technique et concerne toutes les sociétés d'autoroute (frais de gendarmerie)
Troisième [26] Prévoit la contribution de l'AREA (et de l'APRR) à la construction de la route devant relier les deux sections disjointes de l'autoroute A432, au niveau de l'aéroport de Lyon-Satolas, en contrepartie d'une hausse du péage perçu à la barrière de Saint-Quentin-Fallavier
Quatrième [27] Participation à Coraly, le système de régulation de trafic de l'agglomération lyonnaise
Cinquième [28] Concerne principalement les péages avec l'introduction de modulations spatiales et temporelles
Sixième [29] Concerne les péages
Septième [30] Prévoit la mise en service de la section Grenoble-Coynelle (A51) pour le 31 décembre 1999. La section Coynelle - Col du Fau sera réalisée ultérieurement, à la demande du ministère.
Huitième [31] Concerne les péages
Neuvième [32] Traite de détails technico-administratifs
Dixième [33] Traite de la section Coynelle - Col du Fau qui devra être mise en service avant 1er mars 2007. Le Tunnel de Sinard et le viaduc de Monestier-de-Clermont peuvent être initialement en 1x2 voies. L'AREA devra procéder au passage en 2x2 voies si le trafic atteint certains seuils.
(le changement de date est en fait antérieur, à la suite de la réforme de 2001 sur les SEMCA, voir ordonnance no 2001-273[34])
Onzième [35] Détails technico-administratifs
Douzième [36] Prévoit l'élargissement de l’A43 entre Coiranne et Chambéry (9,5 km) avant et l'élargissement de l'échangeur A43–A432 avant le
Treizième [37] Hausse des péages pour compenser une nouvelle taxe
Quatorzième [38] Prévoit l'élargissement de l'A41 entre Annecy-Nord et Villy-le-Pelloux à 2x3 voies et le début du réaménagement de l'échangeur de Chambéry-Nord
Quinzième 21 août 2015[39] L'A480 est ajoutée à la concession de même que le dernier morceau de l'A48 entre l'A480 et Saint-Égrève-nord. L'A480 doit être élargie à 2x3 voies entre l'A48 et l'échangeur du Rondeau
Seizième 6 novembre 2018[40] Prévoit l'achèvement du réaménagement de l'échangeur de Chambéry-nord

Autres évènements administratifs[modifier | modifier le code]

En 1994, dans le cadre de la réforme autoroutière, l'AREA est transférée à l'APRR en tant que filiale, les deux sociétés demeurant des SEMCA[41].

Par ailleurs, la société APRR a été partiellement privatisée fin 2004 puis complètement privatisée le . En 2005, un consortium regroupant plusieurs entreprises de BTP et l'AREA pour 49,9% remporte la concession de l'autoroute Liane (A41 entre Villy-le-Pelloux et Saint-Julien-en-Genevois/A40). Une société spécifique, l'ADELAC, est créée à l'occasion. L'AREA assure la gestion technique quotidienne de la section correspondante.

Réseau[modifier | modifier le code]

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Logotype[modifier | modifier le code]

Le logotype actuellement utilisé est dérivé de celui du groupe de construction Eiffage dont le libellé est remplacé par la mention AREA.

Galerie de photos des panneaux AREA[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. https://www.societe.com/societe/area-702027871.html
  3. « Pouvoirs urbains et ingénieurs de l’État La construction d’infrastructures routières dans la région lyonnaise au vingtième siècle », Sébastien Gardon, Métropoles 2(2007)63-102 ; doi:10.4000/metropoles.462.
  4. « Les autoroutes alpines (250 kilomètres) devront être construites par le secteur privé avant 1976 », Le Monde, le 12 septembre 1969, lien
  5. « Décret du approuvant la convention de concession en vue de la construction et de l'exploitation des autoroutes A41 Grenoble-Scientrier, A43 Lyon-Chambéry et Montmélian-Pont-Royal, A48 Bourgoin-Grenoble et A49 Grenoble-Valence », lien
  6. infogreffe : AREA Société des autoroutes Rhône-Alpes
  7. Le rapport public annuel 1977, Cours des Comptes
  8. « La voie rapide urbaine de Chambéry », Louis Chabert, Géocarrefour, 58-1(1983)19-31
  9. BNF, œuvres de la Société des autoroutes Rhône-Alpes
  10. « Autoroutes : la longue marche », ECO des Pays de Savoie hors série, janvier 2010, p.37
  11. « Les ouvriers de la Société des autoroutes alpines poursuivent leur grève », Le Monde, 11 septembre 1976, lien
  12. Entrées avec panneau Autoroutes Alpines : Aiguebelette, Aix-les-Bains-sud, Aix-les-Bains-nord
  13. Lyon-Grenoble par autoroute, Le Monde, le 27 octobre 1975, lien
  14. Le rapport public annuel 1973, Cours des Comptes
  15. Le rapport public annuel 1977, Cours des comptes
  16. Des commissions excessives auraient été versées aux actionnaires de l'AREA, Le Monde, le 20 septembre 1976, lien
  17. RHÔNE-ALPES : le système des autoroutes concédées en accusation, Le Monde, le 2 octobre 1976, lien
  18. Décret du 17 mars 1978 APPROUVANT UN PREMIER AVENANT A LA CONVENTION[...]
  19. Échéances financières difficiles pour les autoroutes alpines, Le Monde, le 7 février 1979, lien
  20. Feu vert pour la voie rapide de Chambéry, Le Monde, le 17 juin 1981, lien
  21. Décret du 3 avril 1981 APPROUVANT UN DEUXIEME AVENANT A LA CONVENTION DE CONCESSION[...]
  22. « La Caisse des dépôts rachète les autoroutes alpines », Le Monde, 15 octobre 1984
  23. Décret du 9 mai 1988 APPROUVANT LA CONVENTION PASSEE ENTRE L'ETAT ET LA SOCIETE DES AUTOROUTES RHONE-ALPES (AREA) POUR LA CONCESSION DE LA CONSTRUCTION,DE L'ENTRETIEN ET DE L'EXPLOITATION D'AUTOROUTES
  24. Décret du 17 juillet 1990 approuvant le premier avenant à la convention passée entre l'Etat et la Société des autoroutes Rhône-Alpes (AREA) pour la concession de la construction, de l'entretien et de l'exploitation d'autoroutes
  25. Décret du 12 avril 1991 approuvant les avenants aux conventions de concession[...]
  26. Décret n°2007-815 du 11 mai 2007 approuvant des avenants aux conventions passées, d'une part, entre l'Etat et la Société des autoroutes Paris-Rhin-Rhône (SAPRR) et, d'autre part, entre l'Etat et la Société des autoroutes Rhône-Alpes (AREA) et aux cahiers des charges annexés à ces conventions.
  27. Décret du 31 mars 1992 approuvant des avenants aux cahiers des charges annexés aux conventions passées entre l'Etat et les sociétés des autoroutes Paris-Rhin-Rhône et des autoroutes Rhône-Alpes pour la concession de la construction, de l'entretien et de l'exploitation d'autoroutes
  28. Décret du 26 octobre 1995 approuvant des avenants aux cahiers des charges annexés aux conventions[...]
  29. Décret du 26 décembre 1997 approuvant des avenants aux cahiers des charges annexés aux conventions[...]
  30. Décret du 29 décembre 1997 approuvant le septième avenant à la convention passée entre l'Etat et la Société des autoroutes Rhône-Alpes pour la concession de la construction, de l'entretien et de l'exploitation d'autoroutes
  31. Décret du 30 décembre 2000 approuvant des avenants aux cahiers des charges annexés aux conventions[...]
  32. Décret du 30 novembre 2001 approuvant des avenants aux cahiers des charges annexés aux conventions[...]
  33. Décret du 5 novembre 2004 approuvant des avenants aux conventions passées entre l'Etat et la société des Autoroutes Rhône-Alpes (AREA)[...]
  34. Ordonnance n° 2001-273 du 28 mars 2001 [...] réformant le régime d'exploitation de certaines sociétés concessionnaires d'autoroutes
  35. Décret no2007-815 du 11 mai 2007 approuvant des avenants aux conventions[...]
  36. Décret n° 2011-17 du 5 janvier 2011 approuvant des avenants aux conventions[...]
  37. Décret n° 2011-120 du 28 janvier 2011 approuvant des avenants à des conventions de concession autoroutière et aux cahiers des charges annexés à ces conventions et relatif aux péages autoroutiers
  38. Décret n° 2014-55 du 24 janvier 2014 approuvant [...] le quatorzième avenant à la convention passée entre l'Etat et la société des Autoroutes Rhône-Alpes (AREA)
  39. Décret n° 2015-1044 du 21 août 2015 approuvant des avenants aux conventions[...]
  40. Décret n° 2018-960 du 6 novembre 2018 approuvant des avenants aux conventions[...]
  41. Rapport d'information sur la valorisation du patrimoine autoroutier, Enregistré à la Présidence de l'Assemblée nationale le 22 juin 2005, pdf

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]