Belleville (Meurthe-et-Moselle) — Wikipédia

Belleville
Belleville (Meurthe-et-Moselle)
L'église Saint-Étienne.
Blason de Belleville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Dominique Rouby
2020-2026
Code postal 54940
Code commune 54060
Démographie
Gentilé Bellevilloises et Bellevillois[1]
Population
municipale
1 493 hab. (2021 en augmentation de 4,99 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 09″ nord, 6° 05′ 55″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 333 m
Superficie 10,22 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Entre Seille et Meurthe
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Belleville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Belleville
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Belleville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Belleville

Belleville est une commune française urbaine, située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est. Ses habitants sont les Bellevillois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Site et situation[modifier | modifier le code]

Belleville fait partie du parc naturel régional de Lorraine. L'altitude moyenne de la commune est à 200 mètres.

Les communes les plus proches sont Autreville-sur-Moselle, Bezaumont, Marbache, Millery et Ville-au-Val[2]. Les villes les plus proches de Belleville sont Nancy, située à 15 kilomètres environ vers le sud, et Pont-à-Mousson vers le nord.

Les cours d'eau de la commune sont la rivière Moselle et les forêts sont à proximité[3].

Communes limitrophes de Belleville
Dieulouard Autreville-sur-Moselle
Saizerais Belleville Millery
Marbache

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Belleville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[14] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,4 %), terres arables (22,4 %), zones urbanisées (7,8 %), eaux continentales[Note 4] (6,7 %), zones humides intérieures (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), prairies (2,9 %), cultures permanentes (2,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune est soumise aux risques d'inondations, de mouvements de terrain, au risque industriel et au risque de séisme zone de sismicité 1.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune s'est nommée : Busnei villa en 932 et Bella villa en 948.

Il s'agit d'une Bella Villa, un « beau domaine ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Belleville dépendait de Scarpone (cité antique sur le territoire actuel de Dieulouard), puis du diocèse de Toul.

Jusqu'en 1994, date du décret portant déclassement du canal latéral à la Moselle, le territoire Nord e la commune était traversé par un recoupement latéral à la Moselle de la Moselle canalisée , depuis le barrage jusqu'à l'ancienne écluse n°5[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
20 mai 1945 10 mai 1953 Jean Charbonnier    
10 mai 1953 18 mai 1956 Emile Thomann    
18 juin 1956 1982 René Cabirol SE Industriel
8 mars 1982 1984 Jean-Marie Martin SE  
18 mai 1984 23 mars 2001 Pierre Hinzelin SE Chevalier de la légion d'honneur

Officier de l'ordre national du mérite

23 mars 2001 23 mai 2020 Serge Laurent SE Restaurateur
23 mai 2020 En cours Dominique Rouby [21] SE-DVG[22] Enseignant
Les données manquantes sont à compléter.
La mairie de Belleville.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 1 493 habitants[Note 5], en augmentation de 4,99 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
399387479468481526501504516
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
488487496484444450448447475
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
4565746748128918849221 0701 281
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 2251 1761 1631 2761 2801 4611 4871 4231 441
2021 - - - - - - - -
1 493--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument aux morts,
le soldat face à l'ennemi.

Le monument aux morts[modifier | modifier le code]

L'endroit précis d'érection du monument correspond sensiblement au point d'avance ultime des armées allemandes le 7 septembre 1914 comme en témoigne l'inscription ci-dessus. Ce fait explique que la statue "tourne" le dos au village.

Il semble également que la statue du monument représente monsieur Chaulassel Raymond, ancien poilu et certainement ancien habitant du village. Le monument a été inauguré le 28 juin 1925 et doit son élévation à l'initiative de Norbert Variot, ancien maire, qui joignit sa contribution financière à celle des habitants. Le soldat est représenté vêtu de l'uniforme de 1914.

L'hôpital militaire[modifier | modifier le code]

Pendant la Grande Guerre, Belleville, proche du front, connut la présence d’un hôpital militaire pendant une bonne partie du conflit, notamment pendant la seconde période de la terrible bataille du Bois le Prêtre sur les hauteurs de Pont-à-Mousson et Montauville.

Cet hôpital a réellement fonctionné à partir du 6 mai 1915. Il était installé au centre du village, le long de la ligne de chemin de fer Nancy-Metz. Bien qu’il ait occupé en partie le château Variot, propriété de Norbert Variot le maire de l'époque, et mairie actuelle en 2009, il était essentiellement constitué de baraquements en bois permettant de dispenser des soins à 700 blessés, dont 200 couchés et 500 assis suivant les termes de l’époque. Cet hôpital dépendait directement des services sanitaires de la 73 DI du général Lebocq et était placé, comme toutes les unités du service de santé de la 73e, sous le contrôle du médecin divisionnaire, le docteur Viela.

Au début du conflit, les formations sanitaires divisionnaires étaient constituées d’un groupe de brancardiers doté de trois ambulances hippomobiles et de deux sections d’hospitalisation. En janvier 1915, le QG, le groupe des brancardiers, l’Ambulance no 1, et la Section d’Hospitalisation no 1 sont à Manonville, l’A2 à Avrainville, l’A3 à Martincourt, la SH2 à Toul. Une ambulance est « soit un hôpital militaire ambulant, soit une formation sanitaire, équipé de voitures légères chargé des premiers soins des blessés » (Petit Robert). L’attaque française du 17 janvier 1915 au Bois le prêtre nécessite l’envoi d’une section du groupe de brancardiers à l’hôpital auxiliaire no 45 de Pont-à-Mousson où 85 blessés sont relevés. Le 8 février, l’A2 est déplacée au couvent des Moines à Dieulouard, elle fera office d’infirmerie de garnison. En mars, les formations se déplaceront, une demie section à Dieulouard, l’autre moitié à Maidières/Montauville et l’A1 vient à Belleville pour repartir ensuite à Pont-à-Mousson à l’école supérieure de Filles. L’A3 est au hameau Saint-Georges à Saizerais. En avril 1915, l’HOE (Hôpital Organisé d’Etape), l’hôpital d’évacuation vers l’intérieur du pays, est à Toul. Les blessés y sont acheminés depuis la gare de Dieulouard.

Le 27 avril 1915 la salle d’évacuation de Dieulouard, qui se tenait dans la salle des fêtes, est abandonnée du fait des lourds bombardements qui obligent à évacuer par la gare de Belleville. Le 2 mai 1915, l’ambulance no 3/64 (a priori une ambulance « prêtée » par la 64e DI) arrive à Belleville. Les blessés sont divisés en trois catégories : - les blessés ou les malades qu’il y a intérêt à conserver à proximité ; - ceux provenant des postes de secours répartis entre l’HA (hôpital auxiliaire) 45 de Pont-à-Mousson (ainsi qu’à Saint Charles et à la Nativité) et l’A2 de Dieulouard ; - les blessés ou malades devant être évacués à l’H.O.E de Toul.

À cette date, la partie « centre d’évacuation » est composée de deux tentes Hébert, d'une baraque Adrian, de deux tentes tortoises et de différentes tonnelles destinées aux blessés qui attendent le train. Les blessés arrivent à un rythme effréné, 2 712 entre le 28 avril et le 31 juillet 1915, avec les 2 179 qui furent comptabilisés entre le 30 mars et le 11 avril de la même année, cela fait un total effroyable de près de 5 000, nombre toutefois bien en deçà des 22 000 blessés et des 7 000 morts que firent les combats du Bois le Prêtre, sur la seule période de janvier à août 1915. À partir du 7 août 1915, alors que cette terrible bataille est sur le point de prendre fin, l’ambulance chirurgicale no 9 est affectée à la 73e DI avec pour lieu de stationnement, l’hôpital de Belleville. Cette unité est installée essentiellement dans le parc, sauf les grands blessés, intransportables nécessitant une intervention immédiate, qui sont hospitalisés dans le château Variot lui-même. En août 1915, on trouve également plusieurs baraquements, dont quatre Faravian, implantés pour l’A3/64 avec cuisine, remise à matériel etc., ainsi qu’un service dédié aux blessés atteints de maladies contagieuses, un vaste dépôt de matériel sanitaire et un cimetière militaire sis derrière l’actuel cimetière civil. Un peu plus tard, à la fin de l’année 1915, la guerre des gaz fait rage un peu partout sur le front et la 73e se dote à Belleville d’un laboratoire de toxicologie. Pour l’accueillir, un nouveau baraquement est construit parallèlement à la ligne de chemin de fer.

Le 14 février 1916, la SSU2 de l’AAFS, c’est-à-dire la section no 2 d’ambulanciers volontaires américains quitte le secteur pour la Meuse, elle est remplacée par la section française d’ambulance automobile no 96 équipée de véhicules F.I.A.T. Un peu plus tard, le 4 juin 1916, l’AC9 quitte Belleville pour Bar-le-Duc à la disposition du Chef du Service Sanitaire de la 3e Armée Française. Ce point tend à montrer que malgré la proximité de la bataille de Verdun, engagée depuis plus de trois mois, l’activité militaire au Bois le Prêtre nécessita jusqu'à juin 1916 une antenne chirurgicale à proximité.

Au printemps 1916, on pratiquait à Belleville l’héliothérapie, c’est-à-dire un traitement des plaies, (amputation notamment) par l'irradiation solaire. On notera qu’en ce début de XXe siècle, cette méthode était assez couramment employée dans le traitement de la tuberculose osseuse. Dans son article consacré aux ambulanciers US volontaires au Bois-le-Prêtre en 1915, maître Charles François, Loup du Bois-le-Prêtre, évoque les hôpitaux militaires de Dieulouard, Belleville et Pont-à-Mousson : "Et ils (les ambulanciers américains) sillonnaient les routes et les chemins, passant partout, allant chercher les blessés à l'auberge Saint-Pierre, au Gros-chêne, au Père Hilarion, pour les conduire aux hôpitaux de Pont-à-Mousson, de Dieulouard et de Belleville" Charles François, (27 juin 1893-9 décembre 1980), fut notaire à Pont-à-Mousson. Il possédait avant guerre un bois au Bois le Prêtre même.

Édifice religieux[modifier | modifier le code]

  • Église médiévale Saint-Étienne XVe siècle/XVIe siècle comme le montrent la nef et les bas-côtés, remaniée XVIIIe siècle et XIXe siècle : mobilier XVIIIe siècle. Sa construction a été réalisée à partir d'un édifice plus ancien. Propriété de la commune, l'église a été classée monument historique en juin 2004[27]. Elle est de style gothique. Son clocher date de la fin du XVIIe- début XVIIIe siècle. Le chœur a été réalisé en 1868[28].

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Belleville est située sur le territoire des IGP des Mirabelles de Lorraine et de la Bergamote de Nancy. La commune appartient également à l'AOR de l'Eau-de-vie Mirabelle de Lorraine.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Belleville
Blason de Belleville Blason
D'argent à l'olivier terrassé de sinople, accompagné en chef de deux tours de gueules, au chef d'azur chargé d'un lion léopardé d'or.
Détails
Adopté en 1985, ce blason figure un lion "léopardé" et un arbre, un olivier, en souvenir des armes du baron Olivier, seigneur de Belleville, toujours visibles sur une pierre sculptée à l'entrée de la mairie, suivies de celles de Christine de Longeville. Les deux tours symbolisent les Saintignon qui eurent un rôle considérable.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Belleville », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  3. « Mairie de Belleville et sa commune (54940) (Meurthe-et-Moselle). », sur belleville.mairie54.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Belleville et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Nancy », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Décret du 18 mars 1994 PORTANT DECLASSEMENT DU DOMAINE PUBLIC FLUVIAL (lire en ligne), NOR:EQUT9400358D
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-54-02-2-acc.pdf
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église médiévale Saint-Étienne », notice no PA54000060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Eglise médiévale Saint Etienne », sur petit-patrimoine.com (consulté le ).