Arnaville — Wikipédia

Arnaville
Arnaville
Église Saint-Étienne.
Blason de Arnaville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
René Cailloux
2020-2026
Code postal 54530
Code commune 54022
Démographie
Gentilé Arnavillois, Arnavilloise [1]
Population
municipale
558 hab. (2021 en diminution de 1,76 % par rapport à 2015)
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 43″ nord, 6° 01′ 52″ est
Altitude Min. 171 m
Max. 354 m
Superficie 5,22 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-à-Mousson
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Arnaville
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Arnaville
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Arnaville
Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

Arnaville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est. Village de 621 habitants situé au confluent du Rupt de Mad et de la Moselle, à 171 m d'altitude il est le plus bas de Meurthe-et-Moselle. Arrondissement de Toul, canton de Thiaucourt-Regniéville, il intègre le parc naturel régional de Lorraine. 550 hectares environ dans un cadre verdoyant et vallonné à moins de 20 km du centre de Metz.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du parc naturel régional de Lorraine[2].

Localisation[modifier | modifier le code]

Arnaville est située sur le versant est de la colline du Rudemont, sur la cuesta de la Moselle.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arnaville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,8 %), cultures permanentes (10,1 %), zones urbanisées (9,3 %), terres arables (8,9 %), eaux continentales[Note 4] (7,3 %), prairies (5,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune est constituée de plusieurs quartiers différents. La Grand Rue est l'axe majeur, elle est essentiellement composée de maisons anciennes d'avant-guerre. Les demeures de la place de l'Église sont les plus anciennes. La rue de Gorze est très récente, toutes les propriétés sont des résidences construites principalement dans les années 1970.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention du village apparait en 851, dans un acte d'échange entre l'évêque de Metz Drogon et l'abbé Vincent également de Metz, sous le nom de « Arnoldi Villa »[16]

Dans les cartulaires de l'histoire de Metz, de 858 à 864 il apparait sous les noms de « Ernaldivilla », « Alnadivilla » et « Alnaldovilla »[16].

En 967, un titre d'échange entre les religieux de l'abbaye de Gorze et Hardouin dénomme la chapelle sous le nom de « Capelle de Arnaldivilla »

Au XIIe siècle la cure qui appartient à l'abbaye Saint-Vincent de Metz est dénommée « Arnavilla » et « Arnaldivilla ».

En 1248, Jean de Termes, sire de Cons, et Poince et sa femme[17] font « donation des hommes et des femmes qu'ils ont en « Arnalville » en tous profits et en tous us, comme ils les avaient tenus d'acquets » à l'abbaye Saint-Vincent de Metz, nom qui perdure jusqu'à nos jours.

Histoire[modifier | modifier le code]

Présence néolithique (culture de Michelsberg) dans la grotte sépulcrale du Rudemont[18],[19],[20]

Un castellum du bas Empire romain destiné à la défense du passage de la Moselle aurait existé à l'emplacement du lieu-dit Château-de-la-Citadelle[16].

En 851, le village est mentionné sous le nom de « Arnoldi villa »[16].

En 1635, pendant la guerre de Trente Ans, le château est pris par le maréchal de La Force. Le château féodal est ensuite détruit par les espagnols durant les guerres du XVIIe siècle[16].

La consultation des registres paroissiaux tenus entre 1674 et 1700 par l'abbé Antoine Beauguide, curé d'Arnaville jusqu'en , nous permet de comptabiliser 728 naissances et 430 décès pendant cette période.

En 1669, deux protestants, habitants de Metz, se virent confisquer leurs immeubles sur ordre du duc de Lorraine, Charles IV. Arnaville dépendait en partie de la Lorraine et en partie de la Terre de Gorze, donc du roi de France et ne fut entièrement incorporée au duché de Lorraine que de 1718 à 1766.

Au XVIIIe siècle, des fourches patibulaires étaient plantées au lieu-dit la Justice. Un dicton régional indiquait alors « c'est comme la Justice d'Arnaville » pour parler d'un jugement injuste[16].

Durant les guerres, comme en 1870, les habitants se réfugiaient dans des grottes profondes comme le « trou de Botenoi »[16],[21],[22]. Le traité de Francfort en 1871 place la frontière franco-allemande entre Arnaville et Novéant au nord, où eut lieu "l'affaire Schnæbelé" en . Non défendu, le village est occupé dès le premier jour du conflit de 1914-1918. Le , deux aviateurs britanniques étaient abattus par la défense anti-aérienne allemande et s'écrasaient dans un pré situé près de la Moselle.

Cette commune fut un village-frontière avec l'Allemagne entre 1871 et 1918.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Arnaville fut le théâtre de dramatiques combats au cours de la bataille de Metz en , opposant la Ve division de la IIIe armée américaine à la 462e Infanterie-Division allemande, appuyée par des panzers des 3e, 15e et 17e SS-Panzergrenadier-Division[23]. Alors que la tête de pont de Dornot est évacuée le , la IIIe armée américaine reprend pied sur la rive ouest de la Moselle dans le secteur d’Arnaville sous la conduite du colonel Yuill, commandant le Xe Combat Team. Pour la première fois en Europe, l’armée américaine utilise des écrans de fumigènes dans une opération offensive. L’opération menée par le 84e Chimical Engineer Compagnie est un succès. Le , la contre-attaque allemande est prévisible. Le 37e Panzer Grenadier Regiment de la XVIIe division blindée, le 8e Panzer Grenadier Regiment et la 103e Panzer-Abteilung de la 3e Panzergrenadier Division et le 115e Panzer Grenadier Regiment de la 15e Panzerdivision sont engagés aux côtés du bataillon Vogt de la 462e Infanterie-Division pour contenir la tête de pont d’Arnaville. L’artillerie de campagne allemande, soutenue par les batteries des forts Driant (Kronprinz) et Verdun (Haeseler), pilonne les troupes américaines. De son côté, l’artillerie américaine répond par un tir de barrage soutenu, tirant plus de 5 700 salves sur ce secteur. L’aviation américaine du 371e groupe TAC appuie ses troupes au sol, détruisant même, par un coup au but, une batterie du fort Sommy, dans le Groupe fortifié Verdun, et des batteries lourdes situées près de Mardigny. Les régiments de PanzerGrenadier et le bataillon Vogt supportent de lourdes pertes. Plus de dix Panzers et plusieurs half-tracks allemands furent détruits ce [24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1670 1672 Jacques Anthoine -  
1673   Estienne Bazaille - Vigneron
1935 1945 Ermend Collignon - Cultivateur
1945 1953 Edmond Leleu - Employé Acierie de Pompey
1953 1971 Léon Bourgon - Instituteur retraité
1971 1989 Raymond Poirson - Fonctionnaire
1989 En cours René Cailloux[25],[26]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Artisan

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont nommés les Arnavillois et les habitantes les Arnavilloises[1].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 558 habitants[Note 5], en diminution de 1,76 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
694476865863882841821827835
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
749787813914851797706634697
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
747779587636713604567668665
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
663640583597609595592605568
2020 2021 - - - - - - -
563558-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Feu de la Saint-Jean : reconnue dans la France, cette fête a lieu le , date symbolique du solstice d'été. Au dernier samedi du mois de juin, l'association locale construit un édifice en bois de plusieurs mètres de hauteur. Cette fête réunit plusieurs milliers de visiteurs chaque année et connait un succès de plus en plus grandissant.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Présence gallo-romaine : vestiges de castellum du bas Empire au lieu-dit Château de la Citadelle.
  • Châtelet à l'emplacement d'une ancienne maison forte, détruite au XVIIe, au lieu-dit la Citadelle.
  • Quelques maisons XVIe/XVIIe autour de l'église.
  • Site préhistorique du Rudemont : à 300 mètres d'altitude, sur le plateau de Rudemont, se trouve un important site préhistorique. Une pointe de flèche laisse à penser que des hommes se sont installés ici à la fin de l'âge de bronze et au début de l'âge du fer. Une enceinte préhistorique domine la vallée de plus de 60 mètres. Des sépultures y sont découvertes en 1979 et 1980. Elles dateraient de plus de 5 000 ans.
  • Canal latéral de la Moselle : écluse.
  • Le barrage sur le Rupt-de-Mad.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Chapelle du cimetière.
  • Église Saint-Étienne XVIIIe siècle : tour romane de défense.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Mont-Carmel au cimetière : nef XVIIIe siècle, chœur XIVe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • André Amellér (1912-1990), compositeur et musicien français, y est né.
  • Jeanne Chaton (1899-1989), historienne et féministe, y est née.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Arnaville Blason
D'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent accompagnée de saint Gorgon à cheval d'azur en chef et d'une crosse senestrée d'une épée haute, du même en pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Articles de Manuel Bazaille parus dans la revue Nos villages lorrains.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Arnaville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Arnaville et Doncourt-lès-Conflans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d e f et g Monographie de la commune d'Arnaville
  17. Augustin Calmet : Notice de la Lorraine, Volume 1, page 238
  18. Blouet, V. Guillaume, Chr. et Leesch, D. (1980) - « La grotte sépulcrale Michelsberg du "Rudemont" à Arnaville (Meurthe-et-Moselle) », colloque néolithique tenu à Sens, p. 135-143.
  19. Blouet, V. et Guillaume Chr. (1984) - « Le Michelsberg en Lorraine », Revue archéologique de Picardie, vol. 1 no 1, p. 125-132.
  20. Massy, J.-L., Guillaume, Chr. & Boura, F. (1985) - « Lorraine », Gallia préhistoire vol. 28 fascicule 2, C.N.R.S., Paris, p. 307-308.
  21. Esquisse géologique de l'arrondissement de Toul page 76
  22. Le Michelsberg en Lorraine
  23. René Caboz, La Bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Editions Pierron, Sarreguemines, 1984. (p. 247-279).
  24. René Caboz, La bataille de Metz, Editions Pierron, Sarreguemines, 1984 (p. 303-304).
  25. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.