Pange (Moselle) — Wikipédia

Pange
Domangeville, Mont
Pange (Moselle)
Le château de Pange.
Blason de Pange Domangeville, Mont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
(siège)
Maire
Mandat
Roland Chloup
2020-2026
Code postal 57530
Code commune 57533
Démographie
Gentilé Pangeois
Population
municipale
873 hab. (2021 en diminution de 1,36 % par rapport à 2015)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 08″ nord, 6° 21′ 28″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 289 m
Superficie 8,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays messin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pange
Domangeville, Mont
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Pange
Domangeville, Mont

Pange est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Elle comprend Domangeville et Mont.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Pange est située à environ 15 kilomètres au sud-est de Metz. Son territoire communal est traversé par la Nied française.

Accès[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[1].


Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « M.n.l. », sur la commune de Goin à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 678,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,3 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Nied, le ruisseau de Chee et le ruisseau de l'Étang de Pange[Carte 1].

La Nied, d'une longueur totale de 96,7 km, prend sa source dans la commune de Marthille, traverse 47 communes françaises, puis poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Pange.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Nied, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Gare de Metz-Ville.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,1 %), forêts (28,3 %), terres arables (27,2 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Le village est mentionné sous les formes tardives Spanges en 1093 et Espanges en 1137[16]. D'après ces formes anciennes, il n'y a sans doute pas lieu d'y voir un archétype germanique en -ing > -ange, comme ailleurs dans la région, d'autant plus que Pange n'est pas situé dans l'aire de diffusion de ces noms de lieux qui commence plus au nord et plus à l'est. Gamillscheg[17] considère qu'il s'agit du francique spanga, verrou ou solive (cf. la commune néerlandaise de Spanga), dont la signification toponymique reste cependant obscure. Un /s/ final roman est souvent ajouté aux noms de lieux d'origines germaniques (cf. Bierges, Bouafles, Neaufles, Avesnes, etc.). La phonétique régulière attendue aurait dû être « Épanges », conformément à l'évolution des formes anciennes connues. Homophonie sans doute fortuite avec Panges (Côte-d'Or) (de Pangis 1147, Paanges 1199).
  • Spanges (1093), Espanges (1137), Pangis (1138), Espenges (1238), La maison Despaignes (1404), Painge (1404), Penge (1423), Painges (1490), Pangis/Panges/Pangia (1544), Penges (1585), Panche (1756), Pange (1793).
  • En lorrain roman : Painge.
  • En allemand : Spangen (1915-1918), Spangen an der Nied (1940-1944).

Histoire[modifier | modifier le code]

Pange est pourvue d’un château témoignage de sa splendeur d’autrefois mais aussi de son importance dont les possesseurs, la famille Thomas de Pange, portent depuis le XVIIIe siècle, le titre de marquis et a donné plusieurs des siens à la littérature française.

Village du duché de Lorraine qui dépendait du bailliage de Boulay en 1770, devient français en 1766. Chef-lieu de canton depuis 1801, le village fut donné à l’Allemagne en 1871, revint à 1918 à la France, retourna à l’Allemagne en 1940 au gré des défaites de ses possesseurs. Il est français depuis 1944. Pange était un véritable pôle local, satellisée par plusieurs localités qui dépendaient d’elle, on peut citer Ogy et Puche.

Mont (Moselle) est réuni à Pange par décret du [18].

Le presbytère est construit en 1842[19].

En 1844, le village compte 412 habitants. L’école est fréquentée par 44 garçons et 42 filles et les revenus de l'instituteur sont de 500 fr[20].

En 1852, il y a 447 habitants pour 86 maisons. L’école est fréquentée par 45 filles et une autre par 50 garçons. Le village possède 11 granges, 2 fermes, 62 chevaux, 4 puits publics. Les revenus communaux sont de 100 fr. L’économie du village est basée sur l’élevage de bestiaux et un peu de volailles. La chasse est peu abondante en lièvres, cailles et perdrix. Il y a un boulanger, un moulin à l’anglaise pour la farine et le plâtre. On cultive la vigne pour le vin, les terres donnent du blé, de l’avoine, des pommes de terre, des légumes secs et de bons foins et pâturages. La commune peut loger 100 chevaux et 200 hommes[19].

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, la commune, rebaptisée Spangen, est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1919. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent loyalement pour l’Empire allemand. En dépit de leur attachement à l’Empire, les habitants de la commune accueillent avec joie la fin des hostilités. Le village n'eut pas à souffrir de dégâts à cette époque.

La commune est de nouveau annexée de 1940 à 1944 à l'Allemagne. En 1940-1941, de nombreux Mosellans sont expulsés. Au cours de la bataille de Metz, la commune n'est pas épargnée par les combats. Malgré la combativité de la 462e Volks-Grenadier-Division, Pange est libérée par les troupes du XXe corps américains, le [21], à la fin de la bataille de Metz.

Pange reçoit Domangeville en 1936.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
an VIII-   Pierre Marsal   Ancien maire de Mont
an VIII   François Chatel    
mars 1977 2014 Marc Mayot PS puis SE  
2014 En cours Roland Chloup SE-DVD Cadre
Président de la Communauté de communes
Conseiller départemental suppléant

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 549 000 , soit 615  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 456 000 , soit 511  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 320 000 , soit 359  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 368 000 , soit 412  par habitant ;
  • endettement : 584 000 , soit 655  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 18,93 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,35 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 47,64 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 29 460 [23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 1844, le village possède 412 habitants pour 45 maisons[20].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 873 habitants[Note 4], en diminution de 1,36 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
192229265412443412394361295
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
329335358317310283327318231
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
231235247340412364484505732
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
857781814865930885876873-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27]. |recens-prem=20.)
Histogramme de l'évolution démographique

Évolution de la population de Mont[28] :

  • 1793 : 139 ;
  • 1800 : 149 ;
  • 1806 : 139.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[29] :

  • Écoles maternelles et primaires.
  • Collèges à Rémilly, Peltre, Metz.
  • Lycées à Courcelles-Chaussy, Metz, Peltre.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[30] :

  • Médecins à Pange, Courcelles-Chaussy, Courcelles-sur-Nied, Retonfey.
  • Pharmacies à Courcelles-Chaussy, Courcelles-sur-Nied, Rémilly.
  • Hôpitaux à Jury, Charleville-sous-Bois, Boulay-Moselle, Metz.
  • Centre hospitalier régional de Metz-Thionville.

Cultes[modifier | modifier le code]

  • Culte catholique, Communauté de Paroisses Saint-Élie et Sainte-Claire du Sillon d'Espérance du Val de Nied[31], Diocèse de Metz.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture et élevage associés[32].
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage d'autres animaux.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et restauration à Laquenexy, Silly-sur-Nied, Vaucremont[33].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Metz, Courcelles-Chaussy, Lemud, Liéhon[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Jardin bénéficiant du label Jardin remarquable[39],[40],[41].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin, style néo-gothique, avec chapelle castrale ; signalée pour la première fois dans un document de 1093, reconstruite pour la dernière fois de 1842 à 1844 grâce à la générosité de l’abbé Bégin, curé de la paroisse, ainsi que de dons particuliers, notamment du marquis de Pange[42]. La restauration de l'église a bénéficié du soutien de la Fondation du patrimoine[43],[44].
L’édifice est béni par Mgr Paul Dupont des Loges le .
Le clocher culmine à 33 m ; la nef fait 33 m de long et 16 de large ; la voûte, de forme ogivale, avec bas-côtés, a 12 m de hauteur ;
Verrière allégorique[45] ;
Verrière figurée[46] ;
Le chœur contient six vitraux de Laurent-Charles Maréchal[19].
Orgue Dalstein-Haerpfer (1888)[47].
Réfection du clocher et du système campanaire par la Société Bodet en 2022.
  • Croix dans le parc du château et une autre dans les champs[48].
  • Chapelle Saint-Laurent de Domangeville.
  • Monument aux morts[49] : Conflits commémorés : 1870-1871- 1914-1918[50].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pange (Moselle) Blason
Écartelé: aux 1er et 4e d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent, au 2e de gueules à la fleur de lis d'argent florencée de deux palmes de sinople, au 3e de gueules à deux clefs d'or, les pannetons adossés, et accostées de deux croix de Lorraine d'argent[51].
Détails
Création : Commission Héraldique de la Moselle. Adopté le 2 mars 1949.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Pange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Informations sur les risques naturels et technologiques
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Pange et Goin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « M.n.l. », sur la commune de Goin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. Sandre, « la Nied »
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968.
  17. Mentionné par Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cité.
  18. Louis Emmanuel de Chastellux, Le territoire du département de la Moselle : histoire et statistique, Maline, 1860, 232 p., p. 219
  19. a b et c Verronais, 1852.
  20. a et b Verronnais, 1844.
  21. 1944-1945 : Les années liberté, Le républicain Lorrain, 1994 (p.15: Recensement préfectoral sur les dates de libération).
  22. Les comptes de la commune
  23. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Ldh/EHESS/Cassini
  29. Établissements d'enseignements
  30. Professionnels et établissements de santé
  31. Communauté de Paroisses Saint-Élie et Sainte-Claire du Sillon d'Espérance du Val de Nied
  32. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  33. Hébergements et restauration
  34. Commerces et services de proximité
  35. Histoire
  36. « Château », notice no PA00106932, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Vue partielle du château dans son environnement depuis le Sud-Ouest », notice no AP12R039861, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  38. Reconversion du château de Pange : enjeux, perspectives et méthode. Association de préfiguration
  39. « Jardin du château de Pange », notice no JAR0000146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Jardin ; Vue partielle de la façade », notice no AP22K002758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  41. « Jardin », notice no AP22K004231, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  42. La chapelle renferme les cendres de la famille de Pange.
  43. Le soutien de la Fondation du patrimoine )à la restauration de l'église
  44. L'intervention de l'Atelier Ergon
  45. Notice no IM57001493, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Verrière allégorique : force, justice, tempérance
  46. Notice no PM04000154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Verrière figurée : Vierge à l'Enfant, têtes, saint Jean-Baptiste, calvaire, Samson combattant le lion (?)
  47. Inventaire de l'orgue Dalstein-Haerpfer (1888)
  48. Denkmal Archiv 24Fi844 et 24Fi845
  49. Monument aux morts
  50. Conflits commémorés 1914-18
  51. L'Armorial des Villes et des Villages de France