Salaise-sur-Sanne — Wikipédia

Salaise-sur-Sanne
Salaise-sur-Sanne
Mairie de Salaise-sur-Sanne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Entre Bièvre et Rhône
Maire
Mandat
Gilles Vial
2020-2026
Code postal 38150
Code commune 38468
Démographie
Population
municipale
4 505 hab. (2021 en diminution de 1,01 % par rapport à 2015)
Densité 280 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 43″ nord, 4° 49′ 12″ est
Altitude 134 m
Min. 137 m
Max. 234 m
Superficie 16,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Vienne
(banlieue)
Aire d'attraction Roussillon
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Roussillon
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Salaise-sur-Sanne est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois située dans l'ancienne province royale du Dauphiné, la commune fut tout d'abord adhérente à la communauté de communes du Pays Roussillonnais avant de rejoindre la communauté de communes Entre Bièvre et Rhône en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Située dans la partie septentrionale du département de l'Isère, Salaise-sur-Sanne est rattachée à l'aire urbaine de Vienne, dans son unité urbaine, mais elle est cependant adhérente à la communauté de communes Entre Bièvre et Rhône, dont le siège est fixé dans la commune voisine de Saint-Maurice-l'Exil.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Salaise-sur-Sanne est limitrophe de sept autres communes dont une située en Ardèche.

Géologie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Sud-est du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 797 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sablons », sur la commune de Sablons à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Salaise-sur-Sanne fait partie du bassin versant du Rhône, fleuve qui borde a partie occidentale du territoire et qui la sépare de la commune de Limony située dans le département de l'Ardèche.

Le territoire communal est également traversé par la Sanne, un modeste affluent du Dolon et sous-affluent du Rhône[7].

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

On peut accéder au centre de la commune en empruntant l'autoroute A7 depuis la sortie de Chanas (au sud).

  • Sortie 12 Chanas à 24 km : (vers Roussillon).

La route nationale 7 (RN7) traverse le territoire de la commune selon un axe nord-sud.

La gare ferroviaire la plus proche est la gare du Péage-de-Roussillon desservie par la ligne 5 du réseau TER rhônalpin.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Salaise-sur-Sanne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vienne, une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes[11] et 95 276 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (23,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,6 %), zones agricoles hétérogènes (21,2 %), zones urbanisées (13,7 %), forêts (10,3 %), terres arables (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (2,4 %), prairies (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune de Salaise-sur-Sanne est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Risques d'inondation[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , le comte Otton fait don à l’abbaye de Condat (devenue par la suite Saint-Claude), d’un vaste domaine marécageux, planté de saules et d’oseraies, entourant la rivière Sanne. C’est dans le secteur du prieuré que quatre ou cinq moines vont développer leur petit monastère. Le nom de Salegiae Salibicus est donné à cette vallée plantée de saules (Salegine signifie « saulée » en français), d'où le nom de Salaise.

Avec le prieuré pour berceau, le village se développe peu à peu au cours des siècles, d'abord paroisse dépendant de l'administration civile de Roussillon sous l'Ancien Régime, puis commune à partir de 1790. Au fil du temps, différentes orthographes seront utilisées : Salèzes, Sallaises, Sallaize, Sallèze, Salaizes, Salaise et Salaize, mais le un arrêté préfectoral donne son nom actuel à la commune. Au début du siècle, Salaise compte 901 habitants. Aujourd'hui, Salaise en compte près de 4 000.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 1977 Laurent Bouvier PCF  
mars 1977 janvier 1993 Joseph Plat PCF  
juin 1993 octobre 2005 Joseph De Barros PCF  
octobre 2005 décembre 2015
(démission)
Jackie Crouail PCF  
décembre 2015 En cours Gilles Vial PCF Fonctionnaire[19]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 4 505 habitants[Note 4], en diminution de 1,01 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7567957539089431 0301 0581 0921 090
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0981 0671 0711 0561 1011 1071 0581 114937
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9089289358741 2412 2592 3622 5052 932
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 6092 7842 9763 3523 5113 6464 0464 1474 333
2018 2021 - - - - - - -
4 4854 505-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipement culturel et sportif[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Pierre en pays roussillonais qui recouvre plusieurs autres communes. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[24].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune possède une importante zone industrielle avec notamment :

  • une usine Trédi, société de traitement des déchets ;
  • la société Ouvaroff : isolation thermique industrielle ;
  • Eurofloat, spécialisé dans la fabrication de verre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Juste de Salaise-sur-Sanne
  • Église du prieuré des moines de Saint-Claude de Salaise-sur-Sanne
Église Saint-Juste à Salaise-sur-Sanne.
Le prieuré.

Des fouilles ont été menées dans la nef de l'église du prieuré de 1990 à 1993. Elles ont été dirigées par J.-F. Reynaud (Université Lumière Lyon II et CNRS) et financées par la ville de Salaise (avec la participation du ministère de la Culture et du conseil général).

Le Prieuré de Salaise-sur-Sanne[modifier | modifier le code]

Le prieuré des moines de Saint-Claude fait remonter les origines du bourg à l’époque carolingienne. Le chevet de l’église conserve une allure romane alors que la nef a été reconstruite tardivement (date sur le fronton de la façade), ainsi qu’une partie du prieuré. C’est en 847 sous le règne de Lothaire Ier que les moines de Condat (Saint-Claude) fondèrent la cella Salegiae grâce aux donations du comte Otton, seigneur du lieu, de son épouse Adalsinde et de leur fils le moine Amblard ; l’église, qui servait en même temps pour les moines et pour les fidèles, et le prieuré sont mentionnés en 1184. Des fouilles, presque exhaustives, ont été menées dans la nef. Le chœur et la crypte de la chapelle font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du  ; les murs de la nef et de la chapelle, le clocher, les façades et les toitures des bâtiments ouest et est sont inscrits par arrêté du  ; tandis que la nef de l'église prieurale, la maison du prieur et les fresques qu'elle contient sont inscrits par arrêté du [25].

La crypte[modifier | modifier le code]

Monument classé au titre des Monuments historiques en 1914. Quelques objets : gobelets en verre trouvés dans des tombes, fondation d’un moule à cloche, bas-relief dont les deux lions tenant une tête entre leurs pattes ont été restaurés et seront mis en valeur lors de la rénovation définitive du site.

La fontaine Saint-Juste[modifier | modifier le code]

La première mention de cette fontaine date du XVIIe siècle. Elle a peut-être été édifiée par des pèlerins pour honorer saint Juste de Condat. Certaines personnes ont témoigné que cette eau avait des vertus bénéfiques pour soigner les fièvres malignes des marais, mais aussi les morsures de serpent !

Le pont aux moines[modifier | modifier le code]

Datant du XIIe et XIIIe siècles, il est le plus vieux pont de Salaise et a souvent subi les assauts des crues de la Sanne, notamment en 1993, où l’une des trois arches a été emportée. Elle a été reconstruite dans le style d’origine.

La Rebatière[modifier | modifier le code]

Cette maison forte fut érigée par Antoine Régis Rebat, seigneur d’Ozon, au milieu du XVe siècle (1453). Au début simple ferme fortifiée, elle a néanmoins gardé son aspect “architecture italienne” car les Musino en étaient les propriétaires de 1520 à 1664 : poterne, mâchicoulis, tour poivrière. Notons également un très bel auvent dauphinois. La Rebatière appartenait, au début du XXe siècle, à Marc Morand, père d'Hubert Morand, normalien, chroniqueur au journal des Débats et professeur de Joseph Kessel. Aujourd'hui, une partie des bâtiments a été transformé en chambres d'hôtes.

Le Trianon[modifier | modifier le code]

Ce bâtiment a gardé l’aspect spécifique de la construction régionale : mariage des galets et du bois. Celui-ci servait de magnanerie (élevage de vers à soie). À l’intérieur subsiste la cheminée qui permettait de chauffer les chambres où les vers se développaient et tissaient leurs cocons. Un dispositif de poulies pour le transport des paniers de produits finis est encore en place.

Le vieux moulin[modifier | modifier le code]

Datant d'avant 1686, il utilisait comme énergie motrice l’eau grâce à une roue à aubes. Il ne reste que peu de choses de ce passé de meunerie.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La réserve naturelle de l'Île de la Platière s'étend pour partie sur la commune de Salaise-sur-Sanne, à l'ouest du territoire, le long du Rhône.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Salaise-sur-Sanne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Clavier Annick (dir.). Salaise, un prieuré à la campagne. Ed. Département de l'Isère, 2016, 96 p.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Salaise-sur-Sanne et Sablons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sablons », sur la commune de Sablons - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Sablons », sur la commune de Sablons - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau (V3330500) ».
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Vienne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-38-21-3-acc.pdf
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Site de la paroisse St Pierre en Pays Roussillonnais, page d'accueil, consulté le 7 janvier 2022.
  25. « PA00117278 », notice no Prieuré de Salaise-sur-Sanne, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]