Autobus de Grenoble — Wikipédia

Autobus de Grenoble
Image illustrative de l’article Autobus de Grenoble
Logo du réseau TAG.

Image illustrative de l’article Autobus de Grenoble
Un Irisbus Citelis 12 sur la ligne Chrono C0.

Situation Grenoble (Auvergne-Rhône-Alpes)
Drapeau de la France France
Type Autobus, Transport à la demande
Entrée en service (ancien réseau)
(réseau actuel)
Lignes 45
Arrêts 1 356[1]
Propriétaire SMMAG
Exploitant M TAG
Site Internet www.tag.fr
Slogan TAG, le réseau du SMMAG
Lignes du réseau
Réseaux connexes

Les autobus de Grenoble sont un réseau de 45 lignes régulières exploitées par la société publique locale M TAG en complément du tramway de Grenoble et desservant l'ensemble des communes de la Métro. Ce réseau est toutefois épaulé par 16 lignes des réseaux d'autocars Cars Région Express et Cars Région Isère dans le périmètre de transport urbain de la métropole grenobloise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Note : Cet historique se concentre uniquement sur les autobus, il ne comprend pas l'évolution des lignes de trolleybus, sauf si l'histoire est commune entre les deux modes.

Les années 1940 et 1950[modifier | modifier le code]

Un autocar Chausson APH-1 de la SGTE, conservé par Standard 216 Histobus Dauphinois.

La première ligne d'autobus de la SGTE est mise en service le entre la Place Grenette et la Cité HBM de l'Abbaye[2].

Les anciennes lignes de tramway de la SGTE sont fermées et remplacées par des lignes d'autobus ou de trolleybus entre 1949 et 1952[2]. Les lignes de trolleybus sont numérotés de 1 à 4, tandis que les lignes d'autobus sont numérotés de 5 à 9 à partir du [2]. À noter que le , les lignes 2 (Fontaine - Rue Félix-Poulat) et 3 (Gare SNCF - Hôpitaux) fusionnent pour former la ligne 2[2].

Le , mise en place d'une branche de la ligne 7 vers Poisat et Saint-Martin-d'Hères[2]. En , la ligne 10 est créée entre Félix-Poulat et la Cité Paul-Mistral[2].

Le , dans le cadre de l'« opération atomique » faisant référence à la mise en service du centre d'études nucléaire de Grenoble, les deux branches de la ligne deviennent les lignes 6A (vers l'Abbaye) et 6B (vers Beauvert et la commanderie à certains services)[2]. Le , la ligne 8 est prolongée de Varces à Saint-Paul-de-Varces, cette desserte subsistera jusqu'en 1975[2].

Les années 1960 et 1970[modifier | modifier le code]

Un Berliet PCM-U sur la ligne 72 en 1975.
Un Berliet PLR-C 10-U sur la ligne 8 en 1975.
Un Saviem SC 10 U PCM-U sur la ligne 10 en 1975.

Le , la ligne 6A est prolongée à Saint-Martin-d'Hères Village, la branche de la ligne 7 desservant cette commune est limitée à Poisat et les antennes de Saint-Égrève sont remplacées par une boucle[2]. Le , une nouvelle ligne 3 est créée entre Grenoble et Fontaine via le cours Berriat et l'année suivante, le , la ligne 9 est prolongée au cimetière du Grand Sablon[2].

Le , la ligne 11 est créée entre la rue Félix-Poulat et la Plaine de Seyssinet via les grands boulevards[2].

Le , les lignes 6A et 6B sont renumérotées respectivement 6 et 13 et la ligne 7 est scindée en deux lignes, la 7 (vers Eybens, Bresson et Brié-et-Angonnes) et la 14 (vers Saint-Égrève)[2]. Entre le et l'Été 1968, une ligne, non numérotée, est testée sans succès entre le Boulevard Joseph Vallier et l'avenue de Valmy[2].

Le , la ligne 13 reprend la desserte de La Luire à la ligne 8 et le , la ligne 11 est prolongée à Seyssinet-Percevalière[2]. Le , la ligne 9 est prolongée aux deux extrémités de Jean Macé à Place de la Résistance et de Grand Sablon à Doyen Gosse[2].

Le , l'antenne Commanderie dessert le Village Olympique et le , création de la ligne 15 entre Docteur Bailly et le Village Olympique[2]. Le , l'antenne La Luire de la ligne 13 dessert la nouvelle ZUP d'Échirolles et le , création à titre expérimental d'une ligne entre Pont-de-Claix et l'Abbaye via le Village Olympique, qui est supprimée le [2].

La , les trois branches de la ligne 13 sont renumérotées[2] : La branche d'Échirolles devient la 131, celle de la Commanderie devient le 132 et celle de La Luire devient la 133. En août 1971 et 1972 la ligne 9 est suspendue pour raisons financières[2]. Le , la ligne 15 est prolongée à La Luire et à Hôpital Sud, remplaçant de fait la ligne 133[2].

Le , les branches de la ligne 7 deviennent les lignes 71 (vers Eybens, Bresson et Brié-et-Angonnes) et 72 (vers Poisat) ; le suivant, en prévision de leur intégration au réseau, les lignes urbaines des VFD portant les numéros 1, 1A, 1B, 1C, 4, 6, 6A et 6B sont renumérotées respectivement avec les numéros 21, 22, 24, 23, 41, 62, 61 et 63, les lignes 62 et 63 sont en réalité des lignes départementales continuant leur trajet en dehors du périmètre du réseau urbain[2].

Le , en même temps que la SGTE laisse place à la Semitag et que le réseau prend le nom commercial TAG, les lignes 21 à 24, 41 et 61 à 63 sont intégrées au réseau[2]. Les biens de la SGTE confiés au domaine public de la Semitag sont le dépôt de 15 000 m2 de la rue Anatole-France, un terrain nu de 19 800 m2 à Saint-Martin d'Hères, les bureaux du siège social, cours de la Libération, une sous-station électrique de trolleybus du cours Berriat, 4 lignes aériennes de trolleybus et tous les véhicules.

Le , création de la ligne 18 entre Docteur Bailly et Grand'Place via l'Abbaye[2]. En , la ligne 9 est prolongée à la mairie de Meylan[2].

Le , les lignes 6 et 10 fusionnent pour former la ligne 10.6, et les lignes 11 et 14 fusionnent pour former la ligne 11.14[2]. En fin d'année, la ligne 9 est prolongée à l'Institut Laue-Langevin[2]. En avril, le dépôt d'Eybens est mis en service en remplacement de celui de la rue Anatole-France destiné à être démoli.

Le , la ligne 61 est supprimée[2]. À la rentrée 1978, la ligne 5 est prolongée au Mas des Îles à Seyssins et la ligne de trolleybus 25 reprend la desserte du 61[2]. Les premiers autobus articulés font leur apparition à Grenoble.

Le , la ligne 71 est effectuée en trolleybus jusqu'à Eybens, le reste de la ligne restant exploitée en autobus ; le , l'« opération Secteur Sud », qui consiste à la réorganisation des lignes sur Échirolles, conduit à la renumérotation des lignes 131 et 132 qui deviennent les lignes 13 et 16[2]. Le , la ligne 71 devient la ligne 7 et la ligne 72 laisse place à la ligne 18 qui est prolongée à Poisat[2].

Les années 1980[modifier | modifier le code]

Un Renault PR 180 R sur la ligne 8 en 1980.
Un Heuliez O 305 G sur la ligne 15 en 1980.

Le , création des lignes 17 (entre Grand'Place et Victor Hugo), exploitée en trolleybus à partir du , et 26 (entre Grand'Place et le Campus)[2].

En , création de la ligne de rocade 19, qui remplace la ligne 24, entre Fontaine et la Fac de Lettres par les Grands Boulevards[2]. La ligne 21 est prolongée à Gières Le Japin et la ligne 23 est prolongée à Grand'Place[2]. Mise en service en décembre de la Navette Le Rabot, qui dessert la cité universitaire du Rabot[2].

En , la ligne 63 est séparée du réseau TAG, elle continue à exister en tant que ligne départementale[2].

En 1984, puis ente 1989 et 1992, le réseau reçoit la plupart de ses autobus Heuliez GX 187. Entre 1984 et 1989, le réseau reçoit ses Renault PR 100.2.

Le , la ligne 8 est redynamisée, la ligne passe en autobus articulés, la desserte de Claix et Varces sont assurés en navette depuis Pont-de-Claix[2]. Le dépôt d'Eybens devient insuffisant en prévision de l'arrivée du tramway, aussi en octobre 1985, un nouveau dépôt destiné aux autobus est mis en service à Sassenage. En 1985/1986, le réseau reçoit ses premiers Renault PR 180.2. Entre 1985 et 1989, le réseau reçoit ses autobus Heuliez GX 107.

Le , à la suite de la mise en place de la ligne de trolleybus 32 qui reprend la branche 10 de la ligne 10.6, la ligne 6 réapparaît sur le trajet entre Grenoble, Les Alloves et Le Carina tandis que la ligne 7 ne subsiste qu'en tant que navette entre Eybens et Bresson[2]. Suppression des trolleybus au profit des trolleybus sur la ligne 4, en prévision de l'arrivée du tramway[2].

Le , à la suite de l'ouverture de la ligne A du tramway entre Gares et Grand'Place, la ligne 15 est limitée au parcours entre Grand'Place et Le Canton et le suivant, la ligne 41 est couplée à la ligne 21 et est prolongée dans Domène à Chenevrières, tandis que la ligne 21 est prolongée à la mairie de Domène[2].

Le , à la suite de l'ouverture de la ligne A du tramway vers Fontaine, le réseau est cette fois-ci fortement modifié[2] : Les lignes 3, 5, 6, 11.14, 18 et 19 sont supprimées, la ligne 7 est prolongée à Grand'Place, la ligne 9 est limitée au trajet entre Trois Dauphins et Meylan La Détourbe, création de la ligne 33 entre Saint-Égrève et Saint-Martin-d'Hères en remplacement de la ligne 6 et de la branche nord du 11.14, création de la ligne 34 entre Poisat et le Polygone scientifique en remplacement des lignes 9 et 18, création de la ligne 50 entre Fontaine et Claix qui remplace la ligne 5, de la ligne 51 entre Fontaine et Seyssins en remplacement du 11.14, du 51 barré entre Veurey, Sassenage et fontaine, du 52 entre Grenoble et Sassenage en remplacement du 19 et du 53 entre Seyssins et Saint-Martin-d'Hères en remplacement des lignes 11.14 et 19. Le 12 décembre, le prolongement de la ligne A de Louis Mansionnat à La Poya provoque la suppression du 51 barré et le prolongement du 51 à Veurey[2].

Le , la ligne 7 disparaît à la suite du prolongement de la ligne 16 à Eybens[2]. Le , la ligne 15 est supprimée et remplacée par la ligne 26 et le 10 juillet, la ligne 62 devient la ligne départementale 602[2]. En 1989/1990, le réseau reçoit une deuxième série de Renault PR 180.2 et progressivement la couleur des autobus passe du rouge au bleu afin de s'aligner sur la couleur des tramways.

Les années 1990[modifier | modifier le code]

Le , la ligne 13 est officiellement prolongée à Comboire à raison d'un bus sur deux et la desserte de Cap 38 par la ligne 33 est elle aussi officialisée[2]. Le , à la suite de l'ouverture de la ligne B du tramway, le réseau est à nouveau modifié[2] : la ligne 4 est supprimée, la ligne 9 perd son tronçon entre Trois Dauphins et Grand Sablon, la ligne 21 redevient indépendante et retrouve son terminus au Japin, la ligne 22 est supprimée et remplacée par un prolongement de la ligne 26 à la Gare de Gières et la navette IUT, circulaire, est créée à l'intérieur du campus.

Le , création de la Navette Les Garlettes entre Claix et Seyssins et le 10 septembre, création de la ligne 26 Spécial entre Docteur Calmette et André Argouges[2].

Le , dans le cadre du programme « Cité Bleue », le trajet de la ligne 13 est simplifié, la boucle de l'Hôpital Sud est supprimée, et la ligne 26 est modifiée dans le secteur ; le 10 septembre, création de la Navette Veurey-Châtelard[2]. En 1992 et 1994, le réseau reçoit en tout trois Gruau MG 36 pour les lignes à faible charge et la deuxième série d'autobus articulés Heuliez GX 187, la ligne 13 reçoit des Renault R312 neufs décorés de la même façon que le tramway dans le cadre du programme « Cité Bleue ».

Le , création de la Navette des Poulardes et le 2 novembre, création de l'Express Campus entre Victor Hugo et le Campus de Saint-Martin-d'Hères[2].

Le , suspension de la navette de Veurey et le , à la suite de la redynamisation du secteur de la rive gauche du Drac, le réseau est modifié dans ce secteur[2] : La ligne 54 abandonne la desserte de Veurey au nord et est prolongée au Sud vers les Chaumières à la place de la ligne 53, les lignes 50, 52 et 53 sont supprimées, création de la ligne 5 qui remplace globalement la ligne 53 et un bout de la ligne 52, création de la ligne 55 entre Seyssinet-Pariset et Sassenage, de la ligne 56 entre Fontaine et Veurey, avec une desserte du Châtelard en remplacement de la navette, de la ligne 57 entre Fontaine, Seyssins et Claix et de la Navette Boulevards entre Verdun et Joseph Vallier.

Le , création d'une antenne Les Arnauds sur la ligne 41 puis en , création de la Navette du soir de Meylan[2]. En 1995, puis 1996 et 1999, le réseau reçoit des autobus Heuliez GX 317 neufs.

Le , ouverture de la navette des Alpins, au départ de Verdun, cette navette est supprimée deux ans plus tard, le [2]. Le , à la suite du prolongement de ligne A à Échirolles, qui provoque la suppression de la ligne de trolleybus 1, la ligne 16 abandonne la desserte de Bresson à la nouvelle ligne 12 reliant Eybens à Grand'Place, et effectue son terminus au Canton à la place de la ligne 26 qui est limitée au trajet entre Grand'Place et Gières ; création de la nouvelle ligne 11 qui reprend la desserte de Comboire à la ligne 13 et dessert Saint-Martin-d'Hères[2]. Le , la ligne 51 est prolongée aux Nalettes et le 26 août, la ligne 23 est prolongée de Grand'Place à Seyssins Mas des Îles[2]. Suppression de la Navette Boulevards le [2]. La ligne 56 reçoit 6 Breda Menarini Bus 230CU, les seuls immatriculés en France.

Le , création de l'Ami'bus Hauts de Corenc et le 24 août, la ligne 8 est à nouveau redynamisée et devient la ligne 1, après aménagement des arrêts pour les rendre accessibles et l'équipement avec la priorité aux feux, les navettes vers Claix et Varces sont reprises par la nouvelle ligne 10[2]. Mise en place le , au départ de Victor Hugo, des lignes Noctibus N1 à N4, respectivement vers Claix, Seyssins, Saint-Égrève et Eybens[2]. La ligne 1 reçoit des Renault Agora L neufs commandés pour l'occasion. Entre 1998 et 1999, le réseau reçoit des Renault Agora S neufs.

Le , création de l'Express Domène entre La Tronche et Domène via l'autoroute, à titre expérimental pour une durée d'un an, la ligne n'est pas reconduite à la fin de cette période ; le , suspension de l'Express Campus[2]. Le , suppression des trolleybus sur la ligne 32, et le 24 juin pour la ligne 31, marquant la fin du trolleybus à Grenoble[2]. Le 12 juillet, création de la Navette Cimetière (Verdun - Grand Sablon) puis le 23 août, la ligne 11 devient une ligne de rocade à la suite de son prolongement au campus, elle remplace la navette IUT arrêtée le 19 juin précédent[2].

Les années 2000[modifier | modifier le code]

Un Renault Agora L sur la ligne 1 en 2006.
Un Irisbus Citelis 18 sur la ligne 3 en 2009.
Un Heuliez GX 117 sur la ligne 56 en 2007.

Le , création de l'Ami'bus Claix suivi le 18 septembre, des Ami'Bus Meylan et Sassenage[2]. Le 30 juin, suppression de la ligne 26 Spécial ; le 4 décembre, ouverture de la Navette ZIRST entre Grand Sablon et la ZIRST de Meylan et Montbonnot-Saint-Martin[2].

Le , la ligne 33 est redynamisée et est éclatée en trois lignes[2] : la ligne 3 entre Grenoble et le Fontanil-Cornillon, la ligne 30 comme desserte interne de Saint-Égrève et la ligne 33 entre l'Esplanade et Saint-Martin-d'Hères ; Le même mois, mise en place de la Navette Taxis entre La Tronche et le Cimetière du Grand Sablon et le 2 mai, mise en place de la ligne 35 à la suite du prolongement de la ligne B à Cité internationale, elle relie la Gare au Polygone Scientifique[2]. Le , les lignes 31 et 32 sont redynamisées, la boucle de Grand'Place est supprimée, la ligne 32 est prolongée de Grand'Place à Maison neuves et la lige 20 est créée entre Grand'Place et Albert 1er de Belgique ; le 1er octobre, l'Express Campus est remis en service[2]. La même année, mise en service d'une dernière série de Heuliez GX 317.

Le , la navette du Soir Meylan devient la Navette du Soir Grésivaudan et est étendue à La Tronche et Corenc et la navette du soir Belledonne est créée pour Saint-Martin-d'Hères, Gières, Murianette et Domène[2].

Le , la ligne 602 barré, partie urbaine de la ligne départementale 602, devient la 608[2] ; la même année, les autobus Renault Agora S GNV sont mis en service sur la ligne 13 à l'occasion du congrès de l'Union des transports publics.

La Navette du Soir Belledonne est supprimée le , tout comme la ligne 20 le , faute de fréquentation[2]. Le 25 août, la ligne 30 est prolongée de Cap des H' à la Gare via l'A48 et le Polygone Scientifique, provoquant la suppression de la ligne 35 ; le 10 novembre, la Navette Cimetière est supprimée, elle sera remise en service pour la Toussaint 2004 et 2005[2]. Mise en service la même année des autobus articulés Mercedes-Benz Citaro G sur les lignes 1 et 3 et des midibus hybrides Mercedes-Benz Cito.

Le , à la suite de l'intégration des communes de Varces-Allières-et-Risset, Saint-Paul-de-Varces, Vif et Le Gua, les lignes départementales 405A, 405B et 405C, exploitées par Grindler, intègrent le réseau ; le , la ligne 34 est prolongée au Château de Sassenage à certains services et le 25 octobre, création de la ligne 90 entre Verdun-Préfecture et le Parc relais de la Caronnerie, exploitée par Transdev Dauphiné[2].

Le , l'Express Campus est définitivement supprimé ; le , les lignes 405A, 405B et 405C deviennent les lignes 17, 18 et 19 et restent exploitées par Grindler tandis que la Navette ZIRST devient la Navette Inovallée[2]. Le , la ligne 12 abandonne la desserte de Bresson à la suite de la sortie de cette dernière de l'agglomération puis le , mise en place d'un doublage urbain de la ligne départementale 6020 entre Grenoble et Meylan, qui remplace la ligne 90, tandis que la 608 est remplacée par la 6021[2]. Mise en service la même année des autobus Irisbus Citelis 12 et Heuliez GX 117 et retrait des derniers Heuliez GX 107 du réseau.

Le , la ligne 12 remplace la Navette des Poulardes supprimée deux jours avant et le , le prolongement de la ligne B à Gières provoque la limitation du 26 à Universités Biologie[2].

Le , la mise en service de la ligne C du tramway provoque une restructuration du réseau[2] : Les lignes 5, 57 et Noctibus N2 sont supprimées, La ligne 21 voit son terminus Docteur Martin ramené à Verdun-Préfecture, la ligne 23 est prolongée au Prisme d'un côté et fait terminus à Parc Paul Mistral de l'autre (les partiels à Grand'Place sont maintenus) la ligne 26 se voit ajoutée une branche jusqu'à Fontaine pour remplacer la ligne 57, la ligne 51 abandonne ses deux branches sud au profit de la nouvelle ligne 58 entre Claix et Fontaine ; La Navette Taxis devient la Navette La Traverse le même jour ; le 4 septembre, création de la navette Noyarey Village[2]. Le 2 octobre, création d'une antenne Le Prisme sur la ligne 51, la ligne 55 est modifiée à Fontaine et Seyssinet-Pariset[2]. L'année 2006 marque aussi le retrait des autobus Renault R312 et Renault PR 100.2 du réseau.

Le , les VFD perdent l'exploitation des 21 et 23 au profit de Transdev Dauphiné pour la ligne 21 et de la Semitag pour la ligne 23 et le voit la mise en service de la navette estivale desservant la base de loisirs du Bois français à Saint-Ismier[2].

Le , la ligne 26 est prolongée à nouveau à Fontaine et reprend le terminus Place du Néron de l'ancienne ligne 57[2]. Le 4 juillet, la navette Garlettes est supprimée au profit de l'ami'bus Claix et de la nouvelle Navette Val d'Allières ; le 1er août, la ligne 18 est supprimée et remplacée par des services scolaires et la ligne 19 est remplacée par la Navette Saint-Paul-de-Varces et enfin, le 25 août, la ligne 10 est remplacée par un prolongement des lignes 1 et 58 et ouverture de la Navette Hauts de Seyssins[2]. Le , le terminus du 17 est ramené de Gare Routière à Trois Dauphins[2]. Ouverture des Proxi'Tag Noyarey (qui remplace la Navette Noyarey Village), Prélenfrey et Reymure[2]. Mise en service la même année des autobus articulés Irisbus Citelis 18 et de trois Renault Master pour le service PMR.

Le , la ligne 12 est remplacée par la Navette Eybens Échirolles Gare[2].

Les années 2010[modifier | modifier le code]

Un Mercedes-Benz Citaro G C1 sur la ligne 1 en 2011.
Un Irisbus Agora S GNV sur la ligne 13 en 2012.

Le , la ligne 16 est prolongée à Montfleury et au Lycée du Grésivaudan à la place de la ligne 32 qui est limitée à Verdun - Préfecture, ancien terminus de la ligne 16[2]. Le 30 août, les navettes Innovallée et Eybens Échirolles Gare deviennent les lignes 42 et 43 et ouverture du Proxi'Tag Venon, desservant la commune de Venon ayant rejoint la Metro le 1er janvier 2010[2]. Le 28 octobre, création de la navette Cimetière du Gamond au départ de Maupertuis[2].

Le , création de la ligne 54 entre Saint-Égrève, Fontaine et Sassenage via le Pont-Barrage[2]. Le 4 avril, les lignes 1 et 3 fusionnent pour former la nouvelle ligne 1 entre Varces-Allières-et-Risset, Claix, Saint-Égrève et le Fontanil-Cornillon avec un terminus partiel à l'Esplanade, tandis que la ligne 33 voit son tronçon entre Petite Esplanade et Trois Dauphins disparaître tout comme les services Le Carina via Les Alloves[2]. Le 29 août, ouverture du Proxi'Tag Veurey-Actipole, tandis que le Proxi'Tag Venon devient l'Ami'Bus Venon ; suppression de la navette Cimetière du Gamond le 3 novembre[2].

Le , le réseau Nord-Ouest est restructuré[2] : Les lignes 9, 42, Navette La Traverse, Ami'bus Meylan et Ami'bus Hauts de Corenc sont supprimées, la ligne 16 est prolongée, pour expérimentation, à Maison de la Musique, le terminus du 31 est ramené de Maupertuis à Lycée du Grésivaudan, la ligne 6020 redevient une ligne purement départementale. Création de la ligne Chrono C0 entre Grenoble et Meylan qui fonctionne jusqu'à 22 h 30, de la ligne Proximo P0 entre Meylan et La Tronche et de la ligne Flexo F0 entre La Tronche et Corenc. Le 27 août, l'Ami'bus Venon devient le Flexo F1 et le 4 septembre le Proxi'Tag Prélenfrey devient le Flexo F2, avec desserte de Miribel-Lanchâtre, nouvelle commune de la Metro, enfin la ligne 54 est prolongée à l'ESAT Vence Écoparc[2].

Le , les VFD perdent l'exploitation des lignes 41 et Navette Le Rabot au profit de Philibert et le , la ligne 16 abandonne son terminus expérimental pour un prolongement à Meylan La Détourbe, tandis que la ligne 41 est limitée à Verdun - Préfecture au lieu de Docteur Martin[2]. Le 4 novembre, la F2 est prolongée au Col de l'Arzelier[2]. Mise en service la même année de deux autobus Irisbus Citelis 12 Hybrides.

Le à la suite de l'agrandissement de la Métro, les lignes départementales 3330 à 3333, 6050 et 7140 intègrent le réseau ; le à la suite de l'ouverture de la ligne E[2], la ligne 1 est limitée au trajet entre Louise Michel et Claix et fonctionne jusqu'à h 30, tout comme la nouvelle ligne « E bus » entre Saint-Martin-le-Vinoux, Saint-Égrève et le Fontanil-Cornillon qui remplace la partie Nord de la ligne 1 en attendant l'ouverture complète de la ligne E le . La ligne 17 est modifiée à Claix pour reprendre les arrêts abandonnés par la ligne 1, création des Flexo F55 et F56 à Saint-Martin-le-Vinoux et suppression des Noctibus N1 et N3, remplacés par les lignes E, E bus et 1.

Le , la ligne B du tramway est prolongée au polygone scientifique et le réseau d'autobus est complètement revu, seules les lignes E bus, 11 et 17 restant inchangées dans leurs noms et itinéraires[2] : La Chrono devient la ligne Chrono C1 prolongée à la Cité Jean Macé en remplacement du 34, la ligne 1 devient la ligne Chrono C2, la ligne 13 laisse place à la nouvelle ligne Chrono C3 et à la ligne 16, la ligne 21 est raccourci et est renumérotée 14, la ligne 23 est remplacée par la Chrono C6, la ligne 26 est remplacée par la Chrono C5, la ligne 30 laisse place au 22 et au tramway B, la ligne 31 est remplacée par les lignes Chrono C3 et la ligne 13, les 32 et 33 fusionnent en tant que ligne 12, la ligne 34 est éclatée entre le Tramway B, les lignes C1 et C6 et la ligne 13, les lignes 41 et 43 deviennent respectivement les lignes 15 et 18, la ligne 51 est remplacée par les lignes C6 et 19, la ligne 54 voit son trajet évoluer, la ligne 55 devient la 19, la ligne 56 est coupée en deux lignes 20 et 51, la 58 est remplacée par les lignes 21 et 49, les lignes ex-Transisère 3330 à 3333, 6050 et 7140 deviennent respectivement les lignes 65 à 69 et 62, la Noctibus N4 est remplacée par la Chrono C4, la navette du Soir devient la 58, les navettes prennent les indices 40, 46, 47, 49 et 57, la Proximo devient la 42, les Ami'bus deviennent les lignes 48 et 50, les Flexo deviennent les lignes 41, 43, 44, 55 et 56, les Proxi'Tag deviennent les lignes 45, 52 et 53 et création des lignes 60, 61 et 63.

En , le réseau de bus grenoblois devient le premier réseau français à tester le paiement sans contact sur la ligne Chrono C1[3]. Ce mode de paiement sans contact permettant aux voyageurs de payer leur trajet avec leur carte de paiement Visa sans contact.

Le , le réseau est légèrement adapté, principalement à Échirolles afin d'améliorer la desserte de la commune[2] : Le nombre d'arrêts est réduit sur la ligne C2 afin d'améliorer la régularité, tandis que la ligne C3 est prolongée jusqu'au centre du graphisme à Échirolles, entraînant la suppression de la ligne 18, en partie remplacée par la 67, mais aussi par la création de la ligne 64 entre la piscine Flottibulle, prolongée à la ZI des Îles en heures de pointe, et la station de tram Marie Curie. La ligne C6 est raccourcie d'un arrêt dans le polygone scientifique. À partir d' et jusqu'en , la Semitag expérimente sur les lignes C3 et C4 des bus électriques de cinq constructeurs différents afin d'en déterminer la fiabilité[4].

Le , les lignes dites du « Grand sud de la métropole », comprenant notamment Vizille et ses environs, sont réorganisées, avec notamment la transformation de la ligne « Flexo » 69 en une ligne « Proximo », la 23, devenant avec son service renforcé le nouvel axe majeur du secteur[5]. La ligne 65 est prolongée à ses deux extrémités, au nord en tronc commun avec la 67, et abandonne la desserte de Montchaboud à la nouvelle ligne 70 afin de simplifier son trajet, ces deux lignes desservent le lycée de Vizille ; la 70 dessert de façon fine Vizille ainsi que la commune de Champ-sur-Drac, jusque-là sans desserte[5]. Enfin une ligne 71 est créée afin de relier Champagnier à la gare de Jarrie - Vizille[5].

Lignes[modifier | modifier le code]

Le , le réseau TAG a été entièrement restructuré et réorganisé autour de trois catégories de lignes régulières[6] et, à partir de , une catégorie de lignes scolaires[7].

Lignes Chrono[modifier | modifier le code]

Logo des lignes Chrono.

Les lignes Chrono sont indicées C1 à C7[8].

Ces lignes sont les lignes majeures du réseau et circulent tous les jours de h 15 à h 30 avec une fréquence moyenne de 4 à 10 minutes et des aménagements spécifiques.

Lignes Proximo[modifier | modifier le code]

Logo des lignes Proximo.

Les lignes Proximo sont indicées 12 à 26[8].

Ces lignes sont les lignes principales du réseau, assurant le maillage de l'agglomération, et circulent tous les jours de h 15 à 20 h 45, avec une fréquence moyenne de 7 à 15 minutes.

Lignes Flexo[modifier | modifier le code]

Logo des lignes Flexo.

Les lignes Flexo sont indicées de 40 à 72[8]

Ces lignes sont les lignes de proximité du réseau, assurant les dessertes des zones les moins denses et les plus reculées de l'agglomération en service régulier ou sur réservation et circulent pour la plupart tous les jours de h 30 à 20 h, avec certaines dessertes assurées uniquement en soirée ou en été.

Lignes Sacado[modifier | modifier le code]

En complément du réseau régulier, les TAG proposent un réseau de plusieurs dizaines de lignes scolaires desservant les établissements scolaires pour lesquels la desserte régulière est insuffisante ou inexistante pour répondre aux besoins des élèves[9].

Le réseau scolaire prend à partir de le nom de Sacado, à la suite d'un concours organisé en avril 2018 pour trouver un nom à ce réseau[10],[7]. Ce nouveau nom est accompagné d'une numérotation de l'ensemble des services, afin de faciliter leur identification.

Transport à la demande[modifier | modifier le code]

Outre les lignes Flexo 40 à 72 disposant d'horaires sur réservation, deux autres services de transport à la demande existent sur le réseau TAG.

Chronopro[modifier | modifier le code]

Depuis , les communes de Notre-Dame-de-Mésage et Saint-Pierre-de-Mésage bénéficient d'un service de transport à la demande nommé « Chronopro » du lundi au samedi qui assure un rabattement à Vizille avec la ligne X3 du réseau Cars Région Express, accessible avec la tarification TAG[11]. Au , ce service est intégré à la famille des lignes « Flexo » sous l'indice 72[12]. La réservation s'effectue uniquement par une application smartphone[12].

Flexo+ PMR[modifier | modifier le code]

Flexo+ PMR est un service de transport à la demande destiné aux personnes à mobilité réduite pouvant utiliser le réseau régulier[13]. Le service est assuré sur l'ensemble du territoire de Grenoble-Alpes Métropole à la tarification habituelle et ce, tous les jours[13].

Autres services[modifier | modifier le code]

En plus de ces trois catégories de lignes et des services sur réservation, d'autres services viennent en renfort[14] :

Desserte du Stade des Alpes[modifier | modifier le code]

Lors d'événements au Stade des Alpes, la Semitag et le SMMAG adaptent le réseau pour faciliter la desserte du stade. Une navette au départ du parc relais Carronnerie-Île d'Amour est mise en place, et l'accès au parc relais Vallier - Catane est gratuit sur présentation du billet du match du jour. Le stade est aussi accessible avec la ligne de tram C et la ligne de bus C1 de façon directe à la station Hôtel de ville ainsi qu'avec la ligne de tram A à distance à la station Chavant que dessert aussi la ligne C.

Ligne Caractéristiques

N
Accessible aux personnes à mobilité réduite
Navette Stade des Alpes
La Tronche — Grand Sablon Grenoble — Hôtel de Ville
Ouverture / Fermeture
/ —
Longueur
Durée
min
Nb. d’arrêts
2
Matériel
Standard
Jours de fonctionnement
variable
Jour / Soir / Nuit / Fêtes
O / O / N / O
Voy. / an
Dépôt
N.C.
Desserte :
  • Villes et lieux desservis : La Tronche et Grenoble (Stade des Alpes)
  • Stations et gares desservies : La Tronche - Grand Sablon (B) et Grenoble - Hôtel de Ville (C).
Autre :
  • Arrêt non accessible aux UFR : Aucun.
  • Amplitudes horaires : La ligne fonctionne les jours de matches à raison de trois départs espacés de 20 minutes avant le match puis d'autant de services après le match.
  • Date de dernière mise à jour : .

Cars Région[modifier | modifier le code]

Seize lignes Cars Région Express et Cars Région Isère (ex-Transisère) sont accessibles avec la tarification TAG uniquement dans le périmètre de la métropole grenobloise.

Les lignes concernées sont (au 1er septembre 2021) :

Infrastructure[modifier | modifier le code]

Dépôts[modifier | modifier le code]

Les lignes du réseau sont remisées, en fonction de leur exploitant et/ou de leur localisation géographique, dans plusieurs dépôts.

Matériel roulant[modifier | modifier le code]

Le comité syndical du SMTC réuni le 24 février 2014 a confirmé l'acquisition de 40 autobus urbains hybrides à plancher surbaissé, livrés progressivement d'ici 2016. Cette technologie déjà en service avec deux bus hybrides en circulation, permet une consommation de gazole réduite de 30% et un rejet de gaz à effet de serre diminué de 25 tonnes par an et par véhicule. Parallèlement à cet investissement, 6 à 9 minibus aménagés pour le transport de personnes à mobilité réduite seront livrés entre 2014 et 2016[15].

En septembre 2018, la SEMITAG a reçu 48 Scania Citywide fonctionnant au gaz naturel pour véhicules dont 35 en version Low floor et 13 en version Low entry, plus adaptée aux ligne suburbaines, commandés via la centrale d'achat de l'union des groupements d'achats publics[16].

Matériel roulant actuel[modifier | modifier le code]

Articulés[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Remarques
Irisbus Citelis 18 Diesel 24 nos 4401 à 4424 2008
Scania Citywide LFA GNV GNV 28 nos 4511 à 4538 2020-2021

Standards[modifier | modifier le code]

Certains GX 317 sont affectés à Philibert (n° en 5xxx ; auparavant aux VFD) ou chez Transdev Dauphiné (n° en 7xxx). Il en est de même pour certains Citelis 12 chez Transdev Dauphiné.

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Transporteur Remarques
Irisbus Citelis 12 Diesel 5 n° 3125 à 3128 + 3130 2005 SPL M'Tag
Citelis 12 Hybride Hybride 2 nos 3501 à 3502 2013 SPL M'Tag
Iveco Bus Urbanway 12 Hybride Hybride 54 nos 511 à 564 2015 et 2016 SPL M'Tag
Iveco Bus Urbanway 12 GNV GNV 29 nos 3201 à 3229 2017 SPL M'Tag et VFD
Scania Citywide LF GNV GNV 35 nos 3230 à 3264 2018 SPL M'Tag
25 nos 3301 à 3325 2021 SPL M'Tag
25 nos 3401 à 3425 2023 SPL M'Tag
Citywide LE GNV GNV 13 nos 3271 à 3283 2018 Keolis Porte des Alpes Véhicules adaptés aux lignes périurbaines[19].
Iveco Bus Urbanway 10 GNV GNV 4 nos 227019 à 227022 2022 Keolis Porte des Alpes
Crossway LE Line NP GNV 2 nos 223038 à 223039 2022 Keolis Porte des Alpes
Heuliez GX 337 Elec Électrique 7 n° 581 à 587 2024 SPL M'Tag

Minibus et midibus[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Remarques
Gruau Bluebus Électrique 3 nos 1004 à 1006 2012 Navette interne du CEA Grenoble
Renault-Gruau Master Diesel 10 nos 1019 à 1024, 1026 et 1028 à 1030 2001 à 2008 PMR19 à PMR24 renumérotés en 1019 à 1024 en 2004 ; 1027 accidenté en 2013 ; Réformés ?
Dietrich Modulis 50 Diesel 9 nos 1031 à 1039 2014 et 2015 Châssis Citroën Jumper II.
Kutsenits Busconstruction TPRL Diesel 2 nos 5114 et 5115 2013 Confiés à Philibert. Construits sur-mesure pour la ligne Flexo 40.
Heuliez Bus GX 127 Diesel 1 no 7010 2019 Véhicule de Transdev Rhône-Alpes, ex-Synchro Chambéry
Heuliez Bus GX 127 L Diesel 1 no 137652 2013 Véhicule de Keolis Porte des Alpes ex-Zest Bus Menton
Mercedes-Benz Sprinter City 35 Diesel 1 no 1361 2016 Véhicule de Philibert.

Interurbains[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[18] Numérotation Années de
livraison
Transporteur Remarques
Irisbus Crossway LE Diesel 9 111 à 117 ; 122 et 123 2008 ; 2010 Grindler
Iveco Bus Crossway LE Diesel 4 141, 142, 144, 145 2014, 2015 Grindler
Iveco Bus Crossway Diesel 7 631, 634, 367, 5168 à 5171 2015-2016 6xx : VFD ; 5xxx : Keolis Porte des Alpes
Iveco Bus Crossway LE 10,8 m Diesel 2 N.C. et 689 2017, 2018 Perraud Voyages ; 689 : VFD
Iveco Bus Crossway 10,8 m Diesel 1 140 2014 Grindler
Probus 215 Diesel 1 1119 2006 Perraud Voyages
Renault VI Ares Diesel N.C. 300-361 2002 VFD
Setra S 416 NF Diesel 1 128 2012 Grindler
TEMSA Tourmalin Diesel 4 205-220, 8136 et 166064 2009 et 2016 2xx : VFD ; autres : Keolis Porte des Alpes
Van Hool T 915 CL Diesel N.C. 92 à 105 2003 à 2007 Grindler Plusieurs d'entre eux sont réformés
ou ne sont plus utilisés pour le réseau TAG
Van Hool TD 925 Astromega Diesel 1 127 2011 Grindler

Midibus et minibus interurbains[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[18] Numérotation Années de
livraison
Transporteur Remarques
Ferqui Sunset Diesel 2014 Perraud Voyages Châssis d'Iveco Daily.
Otokar Navigo 185SH Diesel 2013 Philibert
Otokar Vectio C Diesel 2 1211-1212 2014 Philibert
Otokar Vectio U LE Diesel 1 324 2014 Perraud Voyages
TEMSA MD9 LE Diesel 2 8136-8137 2016 Keolis Porte des Alpes
Anadolu Isuzu Novociti Life Diesel 1 424 2018 Perraud Voyages
Volkswagen Crafter Diesel 1 8264 2014 Keolis Porte des Alpes
Mercedes-Benz Sprinter Diesel 1 no 177042 2017 Keolis Porte des Alpes

Ancien matériel roulant[modifier | modifier le code]

Anciens autobus articulés[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Années de
réforme
Remarques
Saviem-Man SG 220 Diesel 11 nos 101 à 111 1978/1979 1989 à 1991
Heuliez O 305 G HLZ Diesel 34 nos 149 à 182 1979 à 1982 1991 à 1997
Heuliez GX 187 Diesel 48 nos 321 à 368 1984 à 1994 1999 à 2008 112 à 198 renumérotés en 321 à 338 en 1992 ; 321 et 322 ex-VFD
Renault PR 180 R Diesel 8 nos 821 à 828 1984 2003 à 2005 121 à 128 renumérotés en 821 à 828 en 1992
Renault PR 180.2 Diesel 12 nos 829 à 840 1985 à 1990 1999 à 2003 129 à 140 renumérotés en 829 à 840 en 1992
Renault Agora L Diesel 18 nos 850 à 871 1998 Entre 2017 et 2020
Mercedes-Benz Citaro G Diesel 8 nos 4501 à 4508 2003 2020

Anciens autobus standards[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Années de
réforme
Remarques
Verney LP Diesel 1 no 79 1948 ?
Renault R-4221 Diesel 6 nos 501 à 506 1955 1970 ex-Bordeaux
Chausson APH-1 Diesel 5 nos 182 à 186 1949 1961/1962 182 ex-Nice
APH-2/50 Diesel 7 nos 187 à 193 1951 1970
APH-521 Diesel 5 nos 194 à 198 1954 à 1955 1972 et 1974
AHH-521 Diesel 1 no 280 1954 1974
APH-2/522 (2 portes) Diesel 9 nos 199 à 207 1956/1957 1974 à 1976
APH-2/522 (3 portes) Diesel 3 nos 208 à 210 1958 1975
Chausson-Saviem APH-A Diesel 3 nos 211 à 213 1963 1976
Berliet PCK-B21 G Diesel 2 nos 80 et 81 1940/1941 1955 ex-SATAD
PLR-8b Diesel 3 nos 300 à 302 1955 1974
PLR-C-10-U Diesel 3 nos 506 à 509 1956 1975 ex-Marseille ; 505 renuméroté 509
PH-80 Diesel 7 nos 303 à 309 1959/1960 1974 à 1976
PH-8-100 Diesel 12 nos 310 à 321 1962 1973 à 1976
PCM-U Diesel 13 nos 322 à 334 1967/1969 1979 à 1984
PH 3/620 Diesel 1 no 500 1969 1981 ex-Lyon ; 400 renuméroté 500 en 1973
PH 4/620 Diesel 5 nos 501 à 505 1973 1981
Saviem SC 10 U (044) Diesel 27 nos 241 à 238 et 284 et 285 1966 à 1973 1982 à 1991 284 et 285 ex-VFD 248 et 250 en 1977 ; 228 à 232 mutés aux VFD en 1979
SC 10 U (444D) Diesel 45 nos 239 à 283 1974 à 1978 1982 à 1991 281 à 283 ex-VFD 263, 265 et 266 en 1978/1979 ; 239 à 242 mutés aux VFD en 1981
SC 10 U-PF (244D) Diesel 1 no 286 1978 2008 ex-VFD 264 en 1978 ; A servi de bus info
Berliet PR 100 B Diesel 73 nos 347 à 418 1974 à 1976 1984 à 1992 347 à 350 ex-VFD B16 à B19 en 1974
PR 100 MI (2 portes) Diesel 15 nos 419 à 432 1977/1978 1981 à 1993
PR 100 MI (3 portes) Diesel 3 nos 433 à 435 1979 1992 à 1995
Renault PR 100 MI (3 portes) Diesel 23 nos 436 à 458 1980 à 1982 1991 à 1997
PR 100.2 Diesel 63 nos 459 à 521 1984 à 1989 1997 à 2006 517 à 521 prêtés pour les JO d'Albertville en 1992 ; Après 1996, nombreux exemplaires confiés aux VFD avec numéros en 5xxx
Heuliez GX 107 Diesel 34 nos 201 à 234 1985 à 1989 1997 à 2005
Renault R312 Diesel 16 nos 901 à 916 1991 2003 à 2006
Agora S Diesel 56 nos 400 à 455 1999 2008 à 2017
Heuliez Bus GX 317 (2 portes) Diesel 33 nos 600 à 632 1995 à 2001 2013 (608) et 2017 à 2019 ? 608 détruit en 2013 par un incendie moteur.
GX 317 (3 portes) Diesel 30 nos 921 à 957 1995 à 2001 SPL M'Tag
Irisbus Citelis 12 Diesel 25 n° 3101 à 3124 + 3129 2005 2023
Agora S GNV GNV 71 nos 3001 à 3072 2002 2021
Alstom Aptis Électrique 7 nos 571 à 577 2020 2023 Véhicules repris par Alstom en novembre 2023.

Les VFD disposaient de Saviem SC 10, propriétés du SMTC :

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Années de
réforme
Remarques
Saviem SC 10 U (044) Diesel 14 nos 231 à 234, 244 et 251, 261 et 262 1975 à 1977 1987 248 et 250 devenus 284 et 285 à la Semitag en 1987
SC 10 U (444D) Diesel 3 nos 263, 265 et 266 1978/1979 1987 Devenus 281 à 283 à la Semitag en 1987
SC 10 U-PF (244D) Diesel 1 no 264 1978 1987 ex-Démo Saviem de 1976 ; Devenu 286 à la Semitag en 1987

Anciens minibus et midibus[modifier | modifier le code]

Constructeur Modèle Carburant Nombre[17],[18] Numérotation Années de
livraison
Années de
réforme
Remarques
Peugeot-Durisotti J7 Diesel 3 nos 301 à 303 1979 1988 à 1991
Peugeot-Durisotti J9 Diesel 1 no 304 1980 1991
Mercedes-Benz 608 Diesel 2 nos 443 et 447 1981 et 1985 1993 Numérotation VFD
Renault-Durisotti Master FB 30 Diesel 9 nos V16 à V21 et PMR22 à PMR24 1983 à 1994 1994 à 2002 305 à 312 renumérotés V16 à V23 en 1992
V22 à V24 renumérotés PMR22 à PMR24 en 2001
Gruau MG 36 Diesel 13 nos 100 à 113 1992 à 1995 2003 à 2013 Certains affectés aux VFD puis à Philibert avec numéros en 51xx
104 et 106 donnés au CEA puis redonné à la SEMITAG ou réformé
Breda 230-CU Diesel 6 nos 121 à 126 1996 2006 Uniques véhicules de ce type en France.
Peugeot-Durisotti Boxer Diesel 3 nos 1017, 1018 et 1025 1997 2008 V17, V18 et V25 renumérotés PMR17, PMR18 et PMR25 en 2001
renumérotés 1017, 1018 et 1025 en 2004
Mercedes-Benz Cito Hybride 6 nos 1501 à 1506 2003 2014 ou 2015 4001 à 4006 renumérotés en 1501 à 1506 en 2003
Renault-Gruau Master Diesel 1 no 1027 2004 2013 Accidenté
Breda Zeus M2000E Électrique 3 nos 1001 à 1003 2011 2011 1003 d'occasion
Retirés à la suite de la à défaillance du Crédit-Bailleurs, ces véhicules étaient en location longue durée pour le CEA
Heuliez Bus GX 117 Diesel 9 nos 1510 à 1518 2005

Galerie[modifier | modifier le code]

Projet de BHNS[modifier | modifier le code]

Dans le but d'améliorer les transports en commun entre Grenoble et Montbonnot-Saint-Martin, le SMMAG envisage de transformer l'actuelle ligne C1 en ligne C1+ avec dans un premier temps un prolongement jusqu'à Montbonnot dès l'automne 2020, accompagné d'un nouveau parc relais, puis d'équiper la ligne avec un matériel roulant dédié (bus au gaz ou trolleybus) à définir dans le cadre de la concertation publique menée du 16 septembre au 31 octobre 2019[20].

D'ici 2023, date de réalisation du pôle d'échanges Charmeyran à La Tronche, la ligne C1+ devrait relier Grenoble à Meylan en 28 minutes contre 30 à 40 grâce à des voies réservées et à la priorité aux feux et voir transiter quotidiennement 15 à 20 000 voyageurs contre 10 000 avec la ligne actuelle ; à noter que la concertation permettra de valider deux variantes de tracé entre La Tronche et Meylan ainsi que le terminus ouest de la ligne (Cité Jean Macé ou station de tram Oxford au sein du Polygone scientifique)[21].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Magazine Métropole N°6, automne 2016, page 22.
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq cr cs ct cu cv cw cx cy et cz SnoTAG - Histoire des lignes
  3. Florence Guernalec, « Grenoble va expérimenter le paiement sans contact à bord des bus », sur mobilicites.com, (consulté le ).
  4. lessor.fr du 19 novembre 2016, Le SMTC expérimente les bus électriques.
  5. a b et c « Refonte du réseau dans le Grand sud de la métropole », sur tag.fr (consulté le ).
  6. France 3 Alpes du 29 août 2014.
  7. a et b « SACADO, le nouveau nom de vos lignes scolaires », sur tag.fr (consulté le ).
  8. a b et c Lignes et horaires TAG.
  9. « Dessertes scolaires », sur tag.fr (consulté le ).
  10. « Le nouveau schéma de mobilité du "Grand Sud de la Métropole Grenobloise" trace son chemin. », sur tag.fr (consulté le ).
  11. « Grenoble teste Chronopro pour desservir un territoire peu dense », sur busetcar.com, (consulté le ).
  12. a et b « Chronopro », sur tag.fr (consulté le ).
  13. a et b « Flexo+ PMR », sur tag.fr (consulté le ).
  14. a b c et d tag.fr - Autres services
  15. Métroscope N°108 de mai-juin 2014, page 21.
  16. Michael Torregrossa, « Grenoble : la Semitag commande 13 bus GNV supplémentaires », sur gaz-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. a b c d e f et g Standard 216 - État de parc de 1900 à nos jours
  18. a b c d e f g h et i « TC Infos - État de parc du réseau TAG », sur tc-infos.fr (consulté le ).
  19. Emeric Tapia-Almosnino, « Scania débarque à Grenoble », sur snotag.fr, (consulté le ).
  20. « Maxi-bus, trolleybus ou tramway grenoblois à Montbonnot ? », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  21. « Concertation préalable - Ligne C1+ », sur metromobilite.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]