XVIIe siècle en Lorraine — Wikipédia

Cette page est une liste d'événements qui se sont produits au XVIIe siècle en Lorraine.

Éléments de contexte[modifier | modifier le code]

  • Le début de ce siècle est marqué par de nombreuses épidémies, la peste en particulier. La population de Nancy est passée de 16 000 habitants en 1628 à 5000 en 1656.

Événements[modifier | modifier le code]

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

Le château d’Épinal au XVIIe siècle. Extrait d’un tableau de Nicolas Bellot représentant la Passion du Christ. L’artiste a symbolisé Jérusalem par le château d’Épinal. Le tableau est exposé dans la basilique Saint-Maurice.

Années 1600[modifier | modifier le code]

Margueritte de Gonzague
  • 1608 : Henri II devient Duc de Lorraine et comte de Bar; à l'âge de quarante-cinq ans et, sans réelle expérience politique, tomba sous l'influence de favoris dont le plus connu est Henri d'Ancerville, fils du cardinal de Guise.

Années 1610[modifier | modifier le code]

Années 1620[modifier | modifier le code]

Épinal - Tableau de Nicolas Bellot (1626).
Dessin de Jacques Callot - 1622
  • 1625, 12 mars : le rhingrave Philippe-Othon, converti au catholicisme après un voyage à Rome, par un édit en date du , interdit l'exercice du calvinisme, ferme les temples, bannis les pasteurs et maîtres d'école protestants et ordonne aux habitants de se faire instruire dans la foi catholique dans le délai d'une année, sous peine de bannissement. Le résultat de cet édit est la migration massive de la communauté protestante de Badonviller vers Sainte-Marie-aux-Mines, territoire limitrophe du duché de Lorraine où règne la tolérance.
  • 1626 : sous l'égide de la comtesse-douairière de Haraucourt est fondé le premier couvent de l'ordre de la Visitation des Duchés à Pont-à-Mousson.
  • 1627 : la peste fait son apparition entre Lunéville et Saint-Nicolas-de-Port, dans la vallée de la Meurthe.
  • 1629 :
    • Épinal est atteinte par une épidémie extrêmement violente de peste pendant les mois de juillet, août et septembre.
    • En septembre, Gaston de France se réfugie en Lorraine, et, sans le consentement de son frère le roi qui était le chef de sa maison, y épousa en 1632 celle qu'il appellera toute sa vie l'Ange, la jeune Marguerite, sœur du duc Charles.

Années 1630[modifier | modifier le code]

Épinal : la croix des pestiférés à la Quarante-Semaine. La croix se situe à l’endroit où ont été inhumées les victimes de l’épidémie de peste de 1636.
1630[modifier | modifier le code]
  • la peste s'étend à Metz, Verdun, Bar, Saint-Dié, Épinal, Lunéville et Nancy. Fuyant la peste la cour de Lorraine quitte le palais ducal pour Lunéville.
1631[modifier | modifier le code]
1632[modifier | modifier le code]
  • désertés pour cause de peste les centres urbains sont déserts, l'herbe pousse dans les rues de la vieille ville de Nancy[5].
  • 3 janvier : "Monsieur", Gaston d'Orléans, épouse la princesse Marguerite de Lorraine, contre l'avis de son frère aîné, le roi de France Louis XIII, et donc contre "l'intérêt du royaume"[6].
  • 6 janvier : Traité de Vic avec la Lorraine lui imposant sa neutralité. Marsal est abandonnée au roi.
  • 19 janvier : Gaston d'Orléans, après avoir épousé secrètement Marguerite de Lorraine à Nancy (3 janvier) arrive au Luxembourg.
  • 26 mars : Charles IV reconnait par lettre patente les 32 religieuses de l’Annonciade sous la direction de la mère supérieure Seguin (ce couvent se situait sur la place du marché couvert)[7].
1633[modifier | modifier le code]
  • 15 janvier : le parlement de Metz est créé par Louis XIII. L'édit de création précise que les évêques de Metz, Toul et Verdun, l'abbé de Saint-Arnoul de Metz et le gouverneur de Metz sont et demeurent des conseillers nés du parlement de Metz[8]. Le roi a accordé à ce parlement les mêmes droits, honneurs, prérogatives et privilèges qu'aux autres parlements de France.
  • 30 juillet : le Parlement de Paris prononce la confiscation du Barrois. Deux jours plus tard les troupes françaises commencent à prendre les villes dont Bar-le-Duc et le mettent le siège devant Nancy. Le Charles IV par le traité de Charmes livre sa capitale et abdique. Seules résistent quelques places fortes, telles que Bitche, la porte nord-est du duché, et La Mothe, la porte sud.
  • Septembre, début du siège de Nancy : Louis XIII ordonne de brûler les moulins, occuper les châteaux, couper les ponts et construire retranchements et forts en mobilisant six mille soldats et dix mille paysans de Lorraine et de Champagne.
  • Louis XIII prend Nancy après en avoir fait le siège. Il demande à Jacques Callot d'en faire le dessin.
  • Épinal est attaquée par les troupes françaises du maréchal Caumont de La Force. La ville se rend sans combattre ce qui lui permet de négocier des conditions favorables (proclamation du ).
  • 20 septembre : le traité de Charmes, prévoit notamment le désarmement des troupes du duc de Lorraine et l'occupation d'une grande partie de la ville de Nancy, de ses points-clés et de ses alentours par les troupes françaises.
1634[modifier | modifier le code]
  • siège de La Mothe par le maréchal de La Force, défendue par Antoine de Choiseul seigneur d'Ische commandant une garnison de 400 hommes, la forteresse se rend le 21 juillet[9];
  • le parlement déclare non valable le second mariage de Gaston d’Orléans. Il condamne Charles IV de Lorraine pour félonie et rapt (de Gaston) et réunit le Barrois au royaume.
  • Août : le bailliage de Metz, ancienne entité administrative des Trois-Évêchés, existe de 1634 à 1790[10]..
1635[modifier | modifier le code]
Jean de Werth
  • le maréchal de La Force empêche Jean de Werth et la ligue catholique d’occuper Épinal. La ville est assiégée par Charles IV, installé à Rambervillers. La défense de la ville est sous les ordres du colonel Gassion. Charles IV doit se replier en novembre sur Besançon sans prendre la ville.
  • Saint-Nicolas-de-Port, Briey, sont saccagées par les Suédois alliés aux français[11].
  • 28 mars : décès de Jacques Callot.
  • D'août à décembre, Nancy enregistre 1000 morts de la peste[12].
1636[modifier | modifier le code]
  • À la suite d'un hiver doux, la peste se réactive, elle fut appelée peste suédoise.
  • La "peste suédoise" (qui tire son nom de la venue de troupes suédoises) provoque une très forte mortalité
    • à Metz, on lui attribue 1782 des 4430 décès enregistrés cette année-là
    • Épinal est touchée également. La mortalité est énorme, à la fin de l’épidémie, il ne reste que 1 000 habitants dans la ville.
    • Nancy enregistre 950 morts.
1638[modifier | modifier le code]
Catherine de Lorraine
  • Richelieu fait démanteler le château de Vaudémont.
  • Face aux troupes françaises de Turenne qui risquent de prendre la ville, Catherine de Lorraine parvient à mobiliser ses dames à des travaux de terrassement et galvanise à ce point la population que le valeureux homme de guerre renonce à poursuivre le siège de la cité de Remiremont.
1639[modifier | modifier le code]

Années 1640[modifier | modifier le code]

Vue de Blâmont et son château en 1645

Années 1650[modifier | modifier le code]

  • 1650, 16 août : la France est affaiblie par la Fronde, les troupes de Charles IV commandées par le colonel Lhuiller reprennent Épinal avec l’aide des habitants.
  • 1657 : les reliques de sainte Libaire sont envoyées aux chanoines de Saint-Léon à Toul, pour être soustraites aux pillages de mercenaires protestants allemands qui ravageaient périodiquement la Lorraine.

Années 1660[modifier | modifier le code]

Charles IV de Lorraine

Années 1670[modifier | modifier le code]

Charles V de Lorraine
  • 1670 : les Français prennent la ville de Nancy, Charles IV se réfugie à Épinal. La ville défendue par le Lorrain comte de Tornielle est attaquée par les troupes du maréchal de Créqui. La France s'empare une troisième fois de la Lorraine.
  • 1671 : érection en cure de la paroisse de Clefcy
  • 1673, 22 septembre : l'édit de Nancy met au point l'enrôlement général des gens de mer. Première mesure sociale spécifique aux marins : la création de la Caisse des Invalides de la Marine Royale destinée à secourir les marins blessés ou invalides.
  • 1675, septembre : Charles V de Lorraine est nommé généralissime des armées impériales; il prend aussi le titre de duc de Lorraine et de Bar, son oncle Charles IV étant mort le même mois. Tous les États européens le reconnurent comme tel, à l'exception de la France, qui occupait les duchés.
  • 1678 :
  • 1679 : Signature entre la France et le Saint-Empire romain germanique du traité de paix (en latin) de Nimègue, le . L'article XIII donne Nancy et sa banlieue à la France, et les premiers articles suivants instaurent quatre couloirs qui relient la ville à des villes déjà françaises. Le duc de Lorraine et de Bar adresse aux puissances intéressées une Protestation le . Ces clauses finirons par être abandonnées.
  • Naissance de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar

Années 1680[modifier | modifier le code]

Charles-Joseph de Lorraine
  • 1682, 12 mai : les secousses d'un tremblement de terre font s'écrouler les voûtes du transept de l'église de l'Abbaye de Remiremont. Le roi Louis XIV, dont les armées occupent alors le duché de Lorraine, fait un don de 6 000 livres pour la reconstruction de l'abbatiale[13].

Années 1690[modifier | modifier le code]

Document relatant l'hommage du Duc de Lorraine au Roi en 1699 commémoré par une médaille, extrait de « Médailles sur les principaux évènements du règne entier de Louis le Grand, avec des explications historiques. » par « Académie des inscriptions et belles-lettres » 1723
  • 1697 :
    • le traité de Ryswick, qui terminait la guerre entre l'Empire et la France, enlevait la Lorraine à Louis XIV et la restituait à son duc légitime, Léopold, fils de Charles V, donne le droit de passage aux troupes françaises pour se rendre en Alsace et interdit la reconstruction des places fortes lorraines[16].
    • Henri-Charles du Camboust, duc de Coislin (1710), prélat français né à Paris le et mort dans la même ville le , neveu de Pierre de Coislin, devient évêque de Metz.

Année 1700[modifier | modifier le code]

Naissances[modifier | modifier le code]

Pont de Cormontaigne ou Pont-écluse sud, un de deux ponts historiques sur le canal des fortifications à Thionville.
Claude Florimont de Mercy
Johann Kasimir Kolbe Reichsgraf von Wartenberg
Valéran de Nassau-Usingen

Années 1600[modifier | modifier le code]

  • 1604, 5 avril à Nancy : Charles de Vaudémont, Charles IV de Lorraine (en allemand Karl IV.), mort le à Bernkastel, est duc de Lorraine et de Bar, de jure de 1625 à 1675 (de facto de 1625 à 1634, en 1641 et de 1659 à 1670), sous le nom de Charles IV. En tant que descendant de Gérard Ier de Lorraine, il aurait dû être numéroté Charles III de Lorraine, mais les historiographes lorrains, voulant établir la légitimité des ducs de Lorraine et des Guise et les rattacher directement aux Carolingiens, inclurent dans la liste des ducs le Carolingien Charles († 991), duc de Basse-Lotharingie.
  • 1605, 7 avril, à Nancy : Henriette de Lorraine (décédée le à Neufchâteau) dite Henriette de Phalsbourg, était la fille de François, comte de Vaudémont, troisième fils du duc Charles III et de Claude de France, et de Christine comtesse de Salm.
  • 1609 à Nancy :
    • François Collignon (Nancy, v.1609-Rome, ) est un graveur, marchand d'estampes et éditeur français.
    • 6 décembre : Nicolas-François de Vaudémont (décédé le à Nancy), cardinal et évêque de Toul de 1624 à 1634, puis duc de Lorraine et de Bar du au .

Années 1610[modifier | modifier le code]

Années 1620[modifier | modifier le code]

Années 1630[modifier | modifier le code]

Années 1640[modifier | modifier le code]

Frédéric de Nassau-Weilbourg

Années 1650[modifier | modifier le code]

Tobias Cohn
  • 1652 à Metz : Tobias Cohn ou Tobias Kohn (en hébreu: Toviyyah ben Moshe ha-Kohen; en polonais: Tobiasz Kohn) (aussi nommé Toviyah Kats) (1652-1729), médecin juif polonais du XVIIe et XVIIIe siècle.
  • 1654 à Nancy : Ferdinand de Saint-Urbain, né en 1654 ou en 1658, mort à Nancy le , est un dessinateur, graveur et architecte lorrain ayant œuvré à Rome, à Nancy et ayant travaillé pour d'autres princes des cours d'Europe.

Années 1660[modifier | modifier le code]

  • 1660 à Metz : Jean Manassé d'Orthe (1660-1731), général prussien du XVIIIe siècle. Generalleutnant de Frédéric-Guillaume Ier de Prusse, il commanda les 13e et 22e régiments d'infanterie du Brandebourg.


  • 1665 à Metz : Louise Charbonnet[26] (1665 - 1739), pédagogue piétiste française. Auteur de plusieurs ouvrages pédagogiques, elle dirigea le « Gynäceum » de Halle de 1709 à 1739[27]

Années 1670[modifier | modifier le code]

  • 1676, 13 octobre à Metz : Pierre Carita, mort le (à 79 ans) à Oder bei Berlin, médecin français. Il fut membre de l’Académie royale des sciences de Prusse.

Années 1680[modifier | modifier le code]

1690 et après[modifier | modifier le code]

Une grille de Jean Lamour sur la place Stanislas à Nancy
  • 1698, 16 mars à Nancy : Jean Lamour (mort le à Nancy), serrurier et ferronnier lorrain au service du roi de Pologne, duc de Lorraine, Stanislas Leszczynski.

Décès[modifier | modifier le code]

Jean Jacques Boissard
Henriette de Lorraine, Princesse de Phalsbourg (1605 - 1660)
  • 1616 à Nancy : Jacques Bellange appelé aussi Jacques de Bellange, né en Bassigny vers 1575, peintre, dessinateur et aquafortiste lorrain au service de la maison ducale.
  • 1631, 8 avril à Nancy : Jean L'Hoste, mathématicien, ingénieur, conseiller de guerre et intendant des fortifications du duc de Lorraine. Né à Nancy vers 1586.
  • 1632,
    • 7 février à Nancy : Marguerite de Gonzague ou « de Mantoue » , princesse italienne de la Maison Gonzague, née le à Mantoue (région de Lombardie, Italie).
    • 14 octobre à Badonviller : François II, duc de Lorraine et de Bar, né à Nancy le , troisième fils du duc Charles III et de Claude de France. Influencé par son fils le co-duc Charles IV de Lorraine, il fut amené à se faire proclamer duc de Lorraine et de Bar brièvement du 21 au .
  • 1633, 20 octobre à Nancy : Jean Le Clerc (naissance à Nancy en août 1586), peintre d'histoire baroque caravagesque rattaché à l'école de Lorraine. Il se met au service de la République de Venise, et est aussi ambassadeur des ducs de Lorraine.
  • 1655 à Pont-à-Mousson : Nicolas Abram (né en 1589 à Xaronval), jésuite lorrain, philologue et historien, professeur de belles-lettres et d'Écriture sainte.
  • 1657, 4 août à Montmédy : Jean V d'Allamont, seigneur de Malandry, baron de Buzy, chevalier-profès de Santiago, né le à Montmédy, alors dans le duché de Luxembourg, militaire des Pays-Bas espagnols et dernier gouverneur, capitaine et prévôt de Montmédy sous autorité espagnole.
  • 1660 à Neufchâteau : Henriette de Lorraine (née le à Nancy) dite Henriette de Phalsbourg, était la fille de François, comte de Vaudémont, troisième fils du duc Charles III et de Claude de France, et de Christine comtesse de Salm.
  • 1672, 10 juin à Nancy : Henry de Lorraine (né en 1596), fils d'Henri de Lorraine, comte de Chaligny et marquis de Moy, né à Nancy le et mort à Vienne le , et de Claude de Moy (1572 † 1627), marquise de Moy.
  • 1693, 16 mars à Metz : Gershon Ashkenazi né en 1618 à Ulf, rabbin éminent et autorité religieuse respectée. Son nom de famille original est Ulif (Olive ?), son surnom Ashkenazi est usuellement conféré en Pologne aux Juifs dont la famille est originaire d'Allemagne. Il est considéré comme un des plus grands poskim (autorité religieuse) de son époque.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. L'affrontement des religions, in Histoire de la Lorraine; Les temps modernes, t.1, PUN, Nancy, 1991 (p. 113-114)
  2. Dictionnaire du département de la Moselle p. 386, Claude Philippe de Viville (1817)
  3. « Conseils de Prud’hommes (Bar-le-Duc, 1604) » Accès libre, sur structurae.net, (consulté le ).
  4. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00105991
  5. Léopold Bouchot, Leçons et récits sur l'histoire de la Lorraine, Berger-Levrault, Nancy, 1930, page 82
  6. Max Gallo, Richelieu, la foi dans la France, Villeneuve d'Ascq & Mayenne, XO éditions, , 370 p. (ISBN 978-2-84563-381-0), partie VI : "Je souhaite votre gloire..." (1630-8), « Chapitre 26 (page 256) ».
  7. Annales de la Société d’émulation du département des Vosges
  8. Emmanuel Michel, Histoire du parlement de Metz, p. 21-22
  9. D'Haussonville (Histoire de la réunion de la Lorraine à la France), tome 1, page 321, Lévy éditeur à Paris
  10. Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine : des provinces aux départements et à la région (monographie), Paris, Fernand Lanore, [1re éd.], 577 p., 25 cm (OCLC 461732472, BNF 34683566), p. 87 [lire en ligne (page consultée le 9 mars 2016)].
  11. Mourin (Récits Lorrains) Berger-Levrault et Cie éditeurs
  12. « Nancy », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. Le tremblement de terre de 1682 et les dégâts sur l'église Saint Pierre
  14. Stéphane Gaber, Et Charles V arrêta la marche des Turcs, Presses universitaires de Nancy, 1986 (ISBN 2-86480-227-9)
  15. Le Siècle de Louis XIV.
  16. Léopold Bouchot, Leçons et récits sur l'histoire de la Lorraine, Berger-Levrault, Nancy, 1930, page 80
  17. « Les mines de fer en Lorraine (France) », sur industrie.lu (consulté le ).
  18. Gianni Mombello (éd.), Laura Ghiosso (annotations), La correspondance d’Albert Bailly, Aoste, Académie Saint-Anselme, , réf. page 131; 307
  19. Saint-Simon, Mémoires de Saint-Simon, Paris, Hachette, , réf. p. 332
  20. Corresp. manuscrite de Christine de France, duchesse de Savoie (1606-1663) avec son ambassadeur à Paris V. Berro (Archives d’État, Turin, Lettere Ministri, Francia, maz. 64, f. 3).
  21. Bernd Moeller, Bruno Jahn : Deutsche Biographische Enzyklopädie der Theologie und der Kirchen, Saur, Munich, 2005 (p.40).
  22. Notice d’autorité sur Katalog der Deutschen Nationalbibliothek.
  23. Kasimir Kolbe Graf von Wartenberg sur preussen-chronik.de.
  24. Louis Moréri: Le grand dictionaire historique, ou Le mêlange curieux de l'histoire sacrée et profane (...), Utrecht, 1740.
  25. Basil Ringrose mentionne le capitaine Bernanos, là où d'autres nomment le capitaine Lassonde, lors d'un rendez-vous de flibustiers à Boca del Toro au début de 1680 Lassonde : flibustier français
  26. Notice d'autorité sur Katalog der Deutschen Nationalbibliothek
  27. Juliane Jacobi: Mädchen- und Frauenbildung in Europa: Von 1500 bis zur Gegenwart, ed. Campus, 2013 (pp. 119-120,155).
  28. Notice sur geneanet.org.
  29. notice biographique sur icareconcept.com.
  30. Notice d'autorité sur Katalog der Deutschen Nationalbibliothek
  31. Ministère de l'éducation nationale, Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, vol. 20, France, (présentation en ligne)
  32. Jacqueline Carolus-Curien, "Médecine et exorcisme dans le traitement de la maladie du Cardinal Charles de Lorraine", dans La lettre du Musée (Association des amis du musée de la Faculté de médecine de Nancy), automne-hiver 2011, n° 62, 3 (p. 2-4) et 62, 4 (p. 2-3). Article réédité sur Cour de France.fr le dans le cadre du projet "La médecine à la cour de France" (http://cour-de-france.fr/article2921.html).
  33. Notice d'autorité sur bnf.fr.
  34. La date « traditionnelle », donnée par Félibien, est le 28. Mais l'épitaphe du tombeau de Callot donne la date du 24 mars, sans doute la date réelle. G. Sadoul donne cependant le 25, sur la base du texte latin de l'épitaphe écrite par Siméon Drouin.
  35. C'est la date très généralement admise aujourd'hui, qui résulte du fait que l'épitaphe gravée sur le tombeau de Callot indique qu'il est mort le 24 mars 1635, à l'âge de 43 ans. Depuis 1975, les travaux de Pierre Marot ont montré que le recoupement de documents sûrs situe la date de naissance de Callot entre le 25 mars et le 21 août 1592. Cf. Exposition 1992.
  36. La Guerre de Trente Ans éclata en 1618, et s'étendit à la Lorraine en 1633, lorsqu'elle fut occupée par les troupes françaises, par suite des positions anti-françaises adoptées par Charles IV de Lorraine.
  37. dans la maison sise au no 5 de l'actuelle rue saint Pierre Fourier
  38. La chapelle du Bon Père Fourier à Fenneviller (54)
  39. L'oratoire au Bon Père Pierre Fourier à Petitmont (54)
  40. Notice du Fichier d'autorité international virtuel.
  41. Lepage 1864, p. 271.
  42. Eugène et Émile Haag, La France protestante, ou Vies des protestants français qui se sont fait un nom dans l'histoire depuis les premiers temps de la réformation jusqu'à la reconnaissance du principe de la liberté des cultes par l'Assemblée nationale, tome 4, Cherbuliez, Paris, 1859, pp. 364-365.
  43. Pierre Dorveaux, Le baume vert de Metz, in Bulletin de la Société d'histoire de la pharmacie, volume 14, numéro 52, octobre 1926, pp. 307-314 (en ligne)
  44. Notice d'autorité Ferry, Paul (1591-1669) sur catalogue.bnf.fr
  45. Katalog der Deutschen Nationalbibliothek
  46. Les mariages du pasteur Paul Ferry sur inist.fr.

Voir aussi[modifier | modifier le code]